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Julien
26 abonnés
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5,0
Publiée le 3 septembre 2024
Je met un petite mention pour le film qui se déroule en France, c'est trop bien. C'est une petite référence à notre pays. Et apparemment les acteurs se sont encore plus pris au jeu en tournant dans Martigues, Marseille et Tarascon.
Le film commence à Tarascon en France, 1956
La première scène nous met déjà dans une ambiance glaçiale. On reconnais les code du cinéma horrifique. Les bruits de pas qui résonnent fort, les bruits de cloche, le prêtre l'église, l'hostie et la bouteille vin qui explose.
Le vin qui se brise en mille morceaux avec un gros bruit bien fort , en référence au sang du christ. On voit quespoiler: le démon en veut à la religion.
Un vallak qui a de gros pouvoir et qui est puissant. . Les bougies, tout s'éteint très rapidement , il y a un gros souffle de vent et bam la scène reste mémorable. spoiler: Le prêtre levé au ciel et il prend feu 🔥 Je ne m'y attendais pas du tout. Ça arrive soudainement, et la scène est très original.
Je l'ai vu à sa sortie en 4d et avec les sièges qui bougent, et le vent; c'était très bien.
La scène du début est vraiment une atteinte au christianisme, le réalisateur montre qu'il veut que la nonne soit le film d'horreur 2023.
La scène avec toute les bonnes soeur explique bien l'histoire du premier film La Nonne. Elle parle directement d'un secret et dit qu'un spoiler: démon s'est échappé et qu'il prend toutes les formes afin de troubler notre esprit. Là il choisi la forme la plus blasphématoire, une nonne.
Alors un couple est envoyé par spoiler: le Vatican, et utilise une relique, le flacon qui contenait le sang de Jésus Christ afin de détruire le démon Vallak.
La, les réalisateurs font suite directement à la fin du un. En disant que la nonne qui a spoiler: détruit valak avait perdue la tête.
La scène des Journeaux est tres bien faite, L apparition de vallak est extrêmement soignée. Les producteurs jouent avec la caméra en vacillant d'une image lente et plutôt à plan fixe, à des images rapide et brusque. La différence joue avec nos nerfs. Et nous mets de la pression en tant que spectateur.
La scène avec le spoiler: prêtre au archives catholique de France est une révélation du film. L'histoire de Sainte Lucie, on comprend ce que spoiler: vallak souhaite acquérir. Et les recherches les amène à Sainte Marie situé à Aix en Provence en France, un pensionnat pour jeune fille.
Le faite qu'il reutilse l'actrice qui joue Irène est une très bonne idée. Dans ce deuxième opus La nonne, les réalisateurs développent un peu les histoires sur son passé. On comprend à la fin que c'est spoiler: parce qu'elle est la descendante de Sainte de Lucie.
L'acteur du un, a aussi un bon rôle pour ce deuxième film, il joue super bien. Dans çe second rôle il ne se spoiler: rend pas vraiment compte qu'il est possèdé. Et de son côté Vallak l'utilise à sa guise, jusqu'à cette fameuse scène où vallak rencontre a nouveau soeur Irène, là il dévoile son vrai visage.
Comme dans la plus part des films d'horreur du genre , une personne a des soupçons sur un démon mais personne ne l'écoute.
Le bouc est très bien fait aussi, on voit une nouvelle forme de vallak. Apparament le réalisateur souhaitais montrer d'autres forme de Vallak et c'est assez réussi.
spoiler: La scène où la cloche tombe est très bien réalisée. Les yeux de Sainte Lucie commencent à s'illuminer et là ,la cloche tombe avec plein de fumée.
Et a ce moment vallak a tous ses pouvoirs.
Il y a un gros suspens de fin quand soeur Irène spoiler: Le prêtre levé au ciel et il prend feu0
Pour cette scène de fin on voit spoiler: Le prêtre levé au ciel et il prend feu1
C'est bien que dans un film d'horreur, il y a pas énormement de mort. On voit que l'on peut faire de gros jumpscare et un film, sans forcément faire que du slasher.
Ce n'est pas vraiment çe à quoi je m'attendais pour cette suite comme histoire mais le tournant qui est pris me convient. Et pourtant ce n'est pas de James Wan.
L'univers du Conjuring-Vers ce développe, et ils nous donnent un scène post-génerique qui laisse dans le trouble.
"Tu pousses le bouchon un peu loin, Maurice..." Attention, derrière toi ! Quoi, la Nonne ? Non, pire : Maurice !... Enfin, "Mauwis", comme tous les noms français de la VO sont inexplicablement massacrés (aucun effort sur la prononciation, ce qui en devient vite hilarant : préparez-vous à des "Saint'-Loucie" risibles). Et à voir "Mauwis" (un mec énervé qui crie et qui bave), on sait qu'on a perdu au change. Mais elle est passée où, la Nonne ? Elle tourne des pages de magazines. Pendant une éternité. Cette scène n'en finissait plus, et on a cru à une parodie, avec la sœur qui regarde gentiment les pages se tourner encore et encore, comme si elle ne savait pas que ce n'était pas normal, des magazines qui se feuillettent tous seuls pendant 8 minutes (s'enfuir, c'est très surfait). Ou alors elle passe à travers un tableau (oui, "encore" - cf Conjuring), ou alors elle pose sa main sur l'épaule d'un gamin possédé (oui, "encore" - cf Annabelle 2), bref n'espérez rien de nouveau sous les Tropiques (enfin, sous le toit du couvent), on ne la retrouve pleinement que pour les dix minutes de final. Et après avoir soupé péniblement des gens qui gémissent de dos et se mettent à sortir leurs mains d'endroits improbables pour choper les gamines (les jumpscares bas du front) : on est quand même bien contents quand on arrive à ce final qui nous débarrasse de ces sursauts "pouet-pouet" (silence interminable, "pouet !" : oh, vous avez eu peur, rendez-vous dans 15 minutes pour le prochain coup de klaxon). On ne sauve finalement que Taissa Farmiga, qui joue décidément bien de sa bonne bouille (comme sa frangine dans la saga Conjuring) et Bonnie Aarons (la Nonne) qu'on aurait aimé voir plus souvent dans cet opus qui préfère mettre à l'honneur un pauvre plouc qui court après des gamines (ce qui est nettement moins impressionnant), avec ponctuellement des hallucinations de la sœur Irène qui sont des artifices balourds pour inclure au forceps des touches de fantastique horrifique dans un volet qui en manque cruellement. On ne sait pas ce qui est pire entre les magazines qui se feuillettent pendant 5 minutes non-stop (une éternité) avec la sœur qui reste plantée devant comme un piquet ("oh, mais quoi-donc-est-ce ?"), ou l'idée de remplacer un monstre qui marche bien par un florilège de gens "classiques" qui grognent (ouh, ça fait peur). Peut-être le pire reste ce nom qui casse constamment l'ambiance, "La Malédiction de Mauwis à Saint'-Loucie", vraiment, l'univers Conjuring pousse le bouchon un peu loin.
Quelle excellente suite pour notre ami Valak ! J'avais déjà adoré le premier volet mais là franchement c'est super convaincant aussi ! J'ai beaucoup aimé l'ambiance pensionnat pour jeunes filles et j'ai beaucoup aimé que sœur Irène retrouve Frenchie alors qu'il est possédé par le yiable et encore une fois on assiste à des scènes bien flippantes et on fait le bond plus d'une fois ! Seul petit bémol : la fin est nettement plus décevante que dans le premier épisode car les sœurs battent Valak un peu trop facilement et la fin n'a pas un rebondissement qui glace les sangs comme dans le un et tout cela m'a laissé un peu sur ma faim ! Tant pis..
Dans les splendides rues du sud on a tourné l'énième volet de la saga Conjuring. Des scènes flippantes et de nombreux rebondissements. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
Suite de la Nonne, par Michael Chaves, qui comporte un certain nombre d’effets spéciaux sympa - autocombustion - qui ne manqueront pas de plaire aux inconditionnels et/ou jeunes... ! Les autres auront toujours "les yeux" de Ste Lucie pour pleurer ou dormir. En effet ses yeux sont une caractéristique qui sera reprise plusieurs fois, très expressifs, le reste étant convenu. Seuls quelques bons bruitages feront illusion, voire produire quelques frissons.... Donc quelques bonnes scènes dans un ensemble en dessous des attentes... !!**
Le problème avec les grandes franchises d'horreur US, comme « Conjuring », « Annabelle » et « La nonne »... toutes (plus ou moins) liées entre elles par les inoxydables « époux Warren », c'est que l'originalité est forcément diluée par le nombre d’œuvres qu'elles engendrent. En effet, chaque titre est décliné en plusieurs épisodes et les scénaristes peinent à se renouveler (et je me mets bien volontiers à leur place). Pour autant, il faut reconnaître que les œuvres sont toujours presque parfaites, tant au niveau de la technique que de l'interprétation. Chaque film est idéalement réalisé et bénéficie des meilleurs acteurs et des plus impressionnants effets spéciaux possibles. Sans grande surprise, « La nonne, la malédiction de Sainte Lucie » partage donc toutes ces qualités... et ces inévitables défauts ! On découvre, avec un réel plaisir, les décors sublimes tournés en France (avec des moyens financiers considérables), les effets visuels parfaits et des personnages attachants et bien défendus par des acteurs convaincants. On sursaute, on transpire... mais finalement on n'est jamais vraiment surpris par cette œuvre calibrée pour plaire au plus grand nombre. C'est du bon cinéma, indiscutablement... mais où est la créativité dans tout ça ?
J'avais trouvé le 1er très moyen, j'ai laissé une chance au numéro 2. Idem que le premier, on s'ennuie. Et pour moi un vrai film d'horreur ne repose pas des jumpscare à outrance. On a compris : 30secondes de silence est l'annonce d'un son très fort pour te faire sursauter sur ton canapé car le monstre au lieu d'apparaitre à gauche, bah il sera à droite. La recette ne marche plus, le dernier à l'avoir brillament utilisé fut James Wan, mais depuis…
J'avais bien aimé le premier volet et j'attendais beaucoup plus de celui-ci. Au final rien de nouveau, l'histoire suit son cours avec des incohérences.
Le premier film était un huis-clos efficace grâce à son ambiance horrifique, ses retournements de situation et son fameux démon plein de présence renforcé par une bande-originale maîtrisée, ce qui lui permettait de se situer dans le haut du panier des films récents du genre qui n'ont rien d'autre à proposer que des jumpscares faciles à base de portes qui claquent et d'ombres qui passent devant la caméra. Hélas, ce second film totalement dispensable choisit de partir précisément dans cette direction, ce qui aboutit au contrepied total du premier film. Il en fait tout simplement trop à tous les niveaux : trop d'effets visuels grandiloquents, trop de personnages (inutiles et inintéressants), trop de musique fonctionnelle sans inspiration, trop de longueurs et une fin en totale incohérence avec ce qui est montré dans le premier film concernant le destin de Frenchy. Le film est trop long pour en raconter bien peu et très mal, quant à l'horreur, on repassera, le meilleur est dans la bande-annonce et le reste est semblable à ce que tous les autres films actuels du genre montrent. Si vous vous attendiez à un miracle, cette Nonne 2 ne vous fera que perdre la foi !
Super surpris, j'ai adoré ce deuxième volet de "La Nonne" avec de l'horreur comme je l'aime, avec de temps en temps de petits frissons au top. Pressé de voir la suite (comme à chaque films lol) du projet Warren.
La lourdeur de ce film. Portes qui grincent, créatures maléfiques au fond du couloir, bruitages bourrins, possession démoniaque évidemment... Les ingrédients classiques du cinéma d'horreur américain dans un contexte religieux sont scrupuleusement proposés sans aucune surprise ni finesse.
Décevant. Pourtant j'avais bien aimé le premier, l'ambiance était pesante et finalement le démon assez bien réussi je me souviens avoir passé un bon moment. Mais dans ce deuxième opus, quel ennuie ! On sent que c'est Michael Chaves aux commandes car lui il traite l'horreur avec des scènes d'action, qui pourtant le réussit bien j'avais bien aimé les derniers qu'il a faits "Conjuring 3" et "La malédiction de la dame blanche". La Nonne 2 est long, avec peu d'originalité dans l'avancement de l'histoire, les acteurs restent convenables.
La Nonne, c’était naze de chez naze, tout le monde s’accordera là-dessus. Il constitue un exemple criant de la pire manière dont le cinéma d’horreur peut être envisagé, et le résultat ne peut même se retrancher derrière l’excuse d’une volonté de densifier l’intrigue ou les personnages comme dans les ultimes rejetons de franchise (‘Saw’, ‘Insidious’, ‘The conjuring’,...) que j’ai vu récemment. Pourtant, on ne peut pas dire que ce deuxième volet soit mis en scène avec les pieds, qu’il manque de moyens, que les effets spéciaux soient pourris ou que les décors soient misérables,...non, au contraire, ‘La nonne 2’ se tient plutôt bien à ce niveau. Je dirais même que son “exotisme” a tendance à jouer en sa faveur : après la Roumanie, cet épisode se déroule en France, toujours dans l’immédiate après-guerre (la France n’est peut-être pas hyper exotique pour nous mais j’ai toujours autant de mal à considérer les Etats-Unis comme un endroit potentiellement hanté par de vieilles malédictions). Valak ressemble toujours à un Marilyn Manson transformiste et, suivant une tendance en vogue depuis quelques années, ce deuxième opus n’hésite pas à dévoiler franchement d’autres créatures, comme un chouette démon-bouc techniquement impeccable…qui aurait toute sa place dans un blockbuster consacré aux Maîtres de l’univers mais s’avère bien moins dérangeant que le célèbre Black Philipp dans ‘The witch’. Peut-être toute l’imagerie catholique, les cols romains, les exorcistes, les voiles des soeurs, les encensoirs et les goupillons, sont-ils porteurs de noirs secrets aux yeux du public américain, un peu comme le vaudou et la wicca pour nous ? Ce qui est certain, c’est que cette présente suite ne fait pas plus peur que la précédente, ne fait même pas sursauter, ne provoque pas même le moindre petit sursaut de dégoût tant ses ficelles et ses effets de manches sont usés jusqu’à la corde (seule une séquence où Valak apparaît en surimpression dans un présentoir de livres fait preuve d’originalité)…et ça, c’est très embêtant pour un film dont il s’agit du seul objectif.