Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Un premier film passionnant, mais très dur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Sans putasserie ni moralisme, d'une justesse absolue.
Culturopoing.com
par Anna Fournier
Malgré ses couleurs aguicheuses et sucrées, le film dépeint avec autant d’honnêteté que de cruauté le désenchantement de son héroïne dans un univers toxique. Terrible, Pleasure n’a rien à envier aux meilleurs films d’horreur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Si le souci d'exhaustivité donne un air très mécanique au récit de Pleasure, Ninja Thyberg et Sofia Kappel s'emparent d'une industrie destructrice et étalent ses vices, pourtant parfois minutieusement dissimulés.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
A l'heure où le X façonne les sexualités, Pleasure est précieux.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un regard clairvoyant sur ce biotope capitaliste fondé sur le male gaze et le brouillage des frontières entre liberté sexuelle et esclavagisme moderne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Une fiction crue, parfois dérangeante mais jamais gratuite, qui dévoile l’envers du décor de l’industrie du X sans pour autant la condamner.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
Pleasure est la fiction la plus réaliste jamais réalisée sur l’industrie du porno, un réalisme qui mène d’ailleurs la réalisatrice à étudier en quoi ce milieu est comme les autres.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Violence physique et psychologique, approche frontale de la nudité et du sexe, rivalité féroce et misogynie crasse : rien ne nous est épargné dans cette fiction à la lisière du documentaire, édifiante et glaçante, dont chaque situation a été inspirée de faits réels !
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
Pleasure ouvre de vastes champs de réflexion, laissant soin au spectateur d'en tirer les conclusions qu'il veut ou de patauger dans les zones grises que lui désigne le cinéaste.
Le Parisien
par La Rédaction
Film choc, primé au dernier Festival de Deauville, « Pleasure » est - à juste titre - interdit aux moins de 16 ans. Les spectateurs prévenus vont assister à des scènes qui font très mal, voire insoutenables. Et malheureusement extrêmement proche de la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Ninja Thyberg évite pourtant tous les pièges du crapoteux en préservant une certaine pudeur dans les scènes les plus hard – rigoureux et documenté, Pleasure est un film sur le milieu du X, pas un film X.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Plutôt qu’un long boyau infernal dans les arcanes de la pornographie, Pleasure serpente plutôt indolemment dans cet empire de papier glacé et d’image sacrifiée, et figure habilement un portrait sincère et assez superbe, aux antipodes de l’apitoiement sulpicien attendu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
La grande intelligence du film est de déconstruire les lieux, de détourner avec malice les poncifs psychologisant sur la profession, et d’exposer les dérives d’un système où dire non à une pratique sexuelle vous exclut immédiatement de la meute.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Saisissant, parfois malaisant mais aussi touchant.
Ouest France
par La Rédaction
Portrait passionnant et documenté du petit monde du cinéma X.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Rarement l’envers du fantasme et du rêve américain aura été si oppressant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Rouyer
Pleasure est un film puissant et mélancolique qui porte un regard lucide sur un monde sexiste et macho où les rêves ne peuvent que se briser.
Première
par Frédéric Foubert
Pleasure démonte avec précision, sans aucun trémolo ni incartade mélo, les rouages d’un système montré comme patriarcal et ultra-libéral. C’est un film qui tord le bide. Une date dans la représentation à l’écran d’un monde au fond méconnu. Tout sauf une partie de plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Sarah Lévy
L'actrice, Sofia Kappel, a tout osé. Le film est graphique, violent et elle assure toutes les scènes avec un aplomb incroyable.
Télérama
par Jérémie Couston
POUR : Film choc et nécessaire, visible à partir de 16 ans, Pleasure, à l’image de l’antiphrase de son titre, questionne, sans fausse pudeur, la fascination et la répulsion provoquées par le porno, de part et d’autre de la caméra, dans le sillage de la révolution #MeToo.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par V.C.
Sous ses airs de making of cru et intimiste de la pornographie, Pleasure dresse un portrait de femme troublant mais surtout celui d'une époque d'affirmation identitaire par la réification des corps.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Même s’il y a une progression dans le parcours de son anti-héroïne, l’effet de répétition aurait pu être élagué et donner plus de rythme à un sujet par ailleurs au cœur de l’actualité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Libération
par Sandra Onana
Mettre d’accord le trash et l’acidulé aboutit à un corps à corps finalement peu clivant entre le film et son sujet. C’est la rançon du souci de nuances de la cinéaste, de bonne volonté pour complexifier la description des rapports de force et la pression des pairs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Séverine Danflous
La question la plus passionnante du film est celle de la limite entre la fiction et le réel : où commence et s’arrête l’interprétation d’une actrice qui accepte de se faire cracher dessus, insulter puis violer ? Où sont les limites de cette mise en scène qui ne simule plus quand la chair est malmenée ? La réponse est terrifiante.
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
L’incroyable prestation de Sofia Kappel est l’un des atouts du film : à la fois fragile et déterminée, elle est totalement crédible en Lolita moderne à la moue boudeuse. Cette œuvre choc, provocatrice et extrême, ne pourra pas plaire à tous, principalement aux plus sensibles.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Le film a beau se clore sur pied de nez à peine provocateur et afficher des sarcasmes proches d’un Lars Von Trier, il n’arrive pas à figurer un désir autre que ceui de contraindre, dans lequel son féminisme de façade finit par se dissoudre.
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Pleasure a d’indéniables qualités documentaires, mais Ninja Thyberg porte sur ce milieu un regard très moralisateur qui amoindrit la force des scènes de tournage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Dans Pleasure, même sous couvert d'étude sociologique d'un milieu spécifique, aucune vision ne traverse la trajectoire hallucinante de cette jeune suédoise qui rêve d'être une star du X. C'est bien ça le drame...
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le film, hélas, s’abîme dans des outrances chocs et se distingue avant tout par sa complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télérama
par Frédéric Strauss
CONTRE : La naïveté l’emporte dans ce regard sur une industrie du sexe qui peut fournir matière à des images fortes, mais dont la vérité reste hors champ, comme un vain fantasme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Un premier film passionnant, mais très dur.
CinemaTeaser
Sans putasserie ni moralisme, d'une justesse absolue.
Culturopoing.com
Malgré ses couleurs aguicheuses et sucrées, le film dépeint avec autant d’honnêteté que de cruauté le désenchantement de son héroïne dans un univers toxique. Terrible, Pleasure n’a rien à envier aux meilleurs films d’horreur.
Ecran Large
Si le souci d'exhaustivité donne un air très mécanique au récit de Pleasure, Ninja Thyberg et Sofia Kappel s'emparent d'une industrie destructrice et étalent ses vices, pourtant parfois minutieusement dissimulés.
L'Humanité
A l'heure où le X façonne les sexualités, Pleasure est précieux.
L'Obs
Un regard clairvoyant sur ce biotope capitaliste fondé sur le male gaze et le brouillage des frontières entre liberté sexuelle et esclavagisme moderne.
LCI
Une fiction crue, parfois dérangeante mais jamais gratuite, qui dévoile l’envers du décor de l’industrie du X sans pour autant la condamner.
La Septième Obsession
Pleasure est la fiction la plus réaliste jamais réalisée sur l’industrie du porno, un réalisme qui mène d’ailleurs la réalisatrice à étudier en quoi ce milieu est comme les autres.
Le Journal du Dimanche
Violence physique et psychologique, approche frontale de la nudité et du sexe, rivalité féroce et misogynie crasse : rien ne nous est épargné dans cette fiction à la lisière du documentaire, édifiante et glaçante, dont chaque situation a été inspirée de faits réels !
Le Monde
Pleasure ouvre de vastes champs de réflexion, laissant soin au spectateur d'en tirer les conclusions qu'il veut ou de patauger dans les zones grises que lui désigne le cinéaste.
Le Parisien
Film choc, primé au dernier Festival de Deauville, « Pleasure » est - à juste titre - interdit aux moins de 16 ans. Les spectateurs prévenus vont assister à des scènes qui font très mal, voire insoutenables. Et malheureusement extrêmement proche de la réalité.
Le Point
Ninja Thyberg évite pourtant tous les pièges du crapoteux en préservant une certaine pudeur dans les scènes les plus hard – rigoureux et documenté, Pleasure est un film sur le milieu du X, pas un film X.
Les Fiches du Cinéma
Plutôt qu’un long boyau infernal dans les arcanes de la pornographie, Pleasure serpente plutôt indolemment dans cet empire de papier glacé et d’image sacrifiée, et figure habilement un portrait sincère et assez superbe, aux antipodes de l’apitoiement sulpicien attendu.
Les Inrockuptibles
La grande intelligence du film est de déconstruire les lieux, de détourner avec malice les poncifs psychologisant sur la profession, et d’exposer les dérives d’un système où dire non à une pratique sexuelle vous exclut immédiatement de la meute.
Marie Claire
Saisissant, parfois malaisant mais aussi touchant.
Ouest France
Portrait passionnant et documenté du petit monde du cinéma X.
Paris Match
Rarement l’envers du fantasme et du rêve américain aura été si oppressant.
Positif
Pleasure est un film puissant et mélancolique qui porte un regard lucide sur un monde sexiste et macho où les rêves ne peuvent que se briser.
Première
Pleasure démonte avec précision, sans aucun trémolo ni incartade mélo, les rouages d’un système montré comme patriarcal et ultra-libéral. C’est un film qui tord le bide. Une date dans la représentation à l’écran d’un monde au fond méconnu. Tout sauf une partie de plaisir.
Public
L'actrice, Sofia Kappel, a tout osé. Le film est graphique, violent et elle assure toutes les scènes avec un aplomb incroyable.
Télérama
POUR : Film choc et nécessaire, visible à partir de 16 ans, Pleasure, à l’image de l’antiphrase de son titre, questionne, sans fausse pudeur, la fascination et la répulsion provoquées par le porno, de part et d’autre de la caméra, dans le sillage de la révolution #MeToo.
Voici
Sous ses airs de making of cru et intimiste de la pornographie, Pleasure dresse un portrait de femme troublant mais surtout celui d'une époque d'affirmation identitaire par la réification des corps.
Franceinfo Culture
Même s’il y a une progression dans le parcours de son anti-héroïne, l’effet de répétition aurait pu être élagué et donner plus de rythme à un sujet par ailleurs au cœur de l’actualité.
Libération
Mettre d’accord le trash et l’acidulé aboutit à un corps à corps finalement peu clivant entre le film et son sujet. C’est la rançon du souci de nuances de la cinéaste, de bonne volonté pour complexifier la description des rapports de force et la pression des pairs.
Transfuge
La question la plus passionnante du film est celle de la limite entre la fiction et le réel : où commence et s’arrête l’interprétation d’une actrice qui accepte de se faire cracher dessus, insulter puis violer ? Où sont les limites de cette mise en scène qui ne simule plus quand la chair est malmenée ? La réponse est terrifiante.
aVoir-aLire.com
L’incroyable prestation de Sofia Kappel est l’un des atouts du film : à la fois fragile et déterminée, elle est totalement crédible en Lolita moderne à la moue boudeuse. Cette œuvre choc, provocatrice et extrême, ne pourra pas plaire à tous, principalement aux plus sensibles.
Cahiers du Cinéma
Le film a beau se clore sur pied de nez à peine provocateur et afficher des sarcasmes proches d’un Lars Von Trier, il n’arrive pas à figurer un désir autre que ceui de contraindre, dans lequel son féminisme de façade finit par se dissoudre.
Critikat.com
Pleasure a d’indéniables qualités documentaires, mais Ninja Thyberg porte sur ce milieu un regard très moralisateur qui amoindrit la force des scènes de tournage.
Le Figaro
Dans Pleasure, même sous couvert d'étude sociologique d'un milieu spécifique, aucune vision ne traverse la trajectoire hallucinante de cette jeune suédoise qui rêve d'être une star du X. C'est bien ça le drame...
Marianne
Le film, hélas, s’abîme dans des outrances chocs et se distingue avant tout par sa complaisance.
Télérama
CONTRE : La naïveté l’emporte dans ce regard sur une industrie du sexe qui peut fournir matière à des images fortes, mais dont la vérité reste hors champ, comme un vain fantasme.