Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Critikat.com
par Thomas Choury
Enveloppé dans un tissu sonore envoûtant, la mise en scène accueille les temps faibles, les accidents, les hésitations et conditionne le récit à un environnement languissant qui déteint sur les personnages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Nous voici sur les traces d’un Rohmer, avec ses couples contrariés, à ceci près que les protagonistes ici se livrent peu, les dialogues cultivant le mystère et l’aridité d’un western.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
C'est un joli film, fragile et sensible, que nous offre le réalisateur Kiyé Simon Luang. Presque un récit d'apprentissage, dans un esprit d'attente rafraîchissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Maintenant ses personnages dans un état de suspension non résolu, le film progresse lentement, avec une assurance apaisée et sublimée par la grâce photogénique de son lieu et d’un écrin argentique 16mm resplendissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
La beauté indéniable de l’ensemble, sa mélancolie sereine et même l’espoir qu’il entretient – celui de voir Mister Wong défait par l’amour, et son projet capitaliste ainsi mis à mal – semblent étrangement anachroniques et font flotter le film dans une zone d’hommage cinéphile (Duras, Akerman) parfois un peu lénifiant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Goodbye Mister Wong est une sorte d’ode durassienne dans un Laos iconoclaste et romantique, où les rapports de force amoureux s’intercèdent à travers des enjeux économiques et politiques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
par Eithne O’Neill
La mise en scène délicate est dominée par une langueur d’approche qui contribue à une lenteur du tempo, voire à une absence de confrontation quasi totale, sans doute voulue pour traduire les mœurs ancestrales de la population locale, certes accueillante.
Télérama
par Hélène Marzolf
Un magnifique objet visuel, avec ses collages nostalgiques, sa patine rétro, sa langueur durassienne et ses couleurs passées. Mais trop de dialogues sentencieux, sinon abscons, et des personnage inutilement énigmatiques peinent à donner chair à ce beau film hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Thierry Chèze
Son dépouillement revendiqué donne tout à la fois naissance à une œuvre d’une grande élégance visuelle (remarquable utilisation du 16 mm) et à une sensation de long tunnel scénaristique qui n’en finit pas de finir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
Enveloppé dans un tissu sonore envoûtant, la mise en scène accueille les temps faibles, les accidents, les hésitations et conditionne le récit à un environnement languissant qui déteint sur les personnages.
Le Monde
Nous voici sur les traces d’un Rohmer, avec ses couples contrariés, à ceci près que les protagonistes ici se livrent peu, les dialogues cultivant le mystère et l’aridité d’un western.
Les Fiches du Cinéma
C'est un joli film, fragile et sensible, que nous offre le réalisateur Kiyé Simon Luang. Presque un récit d'apprentissage, dans un esprit d'attente rafraîchissant.
Les Inrockuptibles
Maintenant ses personnages dans un état de suspension non résolu, le film progresse lentement, avec une assurance apaisée et sublimée par la grâce photogénique de son lieu et d’un écrin argentique 16mm resplendissant.
Libération
La beauté indéniable de l’ensemble, sa mélancolie sereine et même l’espoir qu’il entretient – celui de voir Mister Wong défait par l’amour, et son projet capitaliste ainsi mis à mal – semblent étrangement anachroniques et font flotter le film dans une zone d’hommage cinéphile (Duras, Akerman) parfois un peu lénifiant.
aVoir-aLire.com
Goodbye Mister Wong est une sorte d’ode durassienne dans un Laos iconoclaste et romantique, où les rapports de force amoureux s’intercèdent à travers des enjeux économiques et politiques.
Positif
La mise en scène délicate est dominée par une langueur d’approche qui contribue à une lenteur du tempo, voire à une absence de confrontation quasi totale, sans doute voulue pour traduire les mœurs ancestrales de la population locale, certes accueillante.
Télérama
Un magnifique objet visuel, avec ses collages nostalgiques, sa patine rétro, sa langueur durassienne et ses couleurs passées. Mais trop de dialogues sentencieux, sinon abscons, et des personnage inutilement énigmatiques peinent à donner chair à ce beau film hypnotique.
Première
Son dépouillement revendiqué donne tout à la fois naissance à une œuvre d’une grande élégance visuelle (remarquable utilisation du 16 mm) et à une sensation de long tunnel scénaristique qui n’en finit pas de finir.