Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Un naturalisme éblouissant, élément supplémentaire dans cette descente vers de sombres abysses. Malik Zidi, aussi halluciné que Klaus Kinski dans le mythique « Aguirre » (1972) de Werner Herzog, grand frère en sauvagerie habitée de ce film, ajoute à sa réussite totale.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Obs
par François Forestier
Beau film, qui porte aussi une question troublante : au fond, qu’est-ce qu’une image ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le cinéaste travaille l’explosion au ralenti, à répétition, révélant comme dans Zabriskie Point (1970), de Michelangelo Antonioni, un monde à détruire. Reste la magnificence des images.
Ouest France
par Thierry Chèze
Une oeuvre envoûtante, malgré son aspect un peu trop artificiellement contemplatif.
Positif
par William Le Personnic
Outre le soin accordé à la composition des plans, ce qui marque dans "Vers la bataille" ce sont ses airs de Western joués à contretemps.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un récit épique et intime poignant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Isabelle Danel
Ce premier long-métrage d’Aurélien Vernhes-Lhermusiaux, court-métragiste prolifique, est un projet grandiose et têtu. Il est parcouru d’un feu assez rare pour qu’on s’y attarde.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Croix
par Céline Rouden
Malgré un scénario au premier abord convenu, le réalisateur filme de manière quasi organique, amplifiée par la magnifique bande originale signée de Stuart Staples, cette épopée solitaire aux allures de western.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Aurélien Vernhes-Lermusiaux met en scène le Mexique en guerre du XIX e siècle et la mystérieuse épopée d'un photographe. Un premier film envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Un film ambitieux qui déçoit un peu, faute de se laisser davantage aller aux ténèbres et à la poésie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Julien Gester
Le premier film d’Aurélien Vernhes-Lermusiaux, ambitieux et à la plastique soignée, a du mal à donner chair à ses promesses.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Aurélien Vernhes-Lermusiaux a aussi du talent pour créer des images, le film aussi imparfait soit-il, impressionne par séquence pour ses qualités formelles, notamment grâce à la photographie de David Chambille, le chef opérateur de Bruno Dumont.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
Le lent travelling avant qui dévoile la supercherie place Louis en narrateur soudain omniscient et désespéré. Ce plan vaudrait presque à lui seul le déplacement.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le scénario s’attache parfois à quelques facilités narratives qui permettent aux personnages de se sortir des situations les plus inextricables. Pour autant, on suit avec intérêt les pérégrinations de ce personnage, plus philosophe que reporter de guerre, qui dénonce l’absurdité du combat des hommes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Avec un regard de plasticien, Vernhes-Lermusiaux ne filme pas tant le bout du monde que la fin du monde, lorsque, parmi les reflets de la vanité humaine, il ne subsiste que les pierres et la beauté des arbres dont on ignore le nom.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Ce premier film, qui se veut une réflexion ambitieuse sur l'invention du photoreportage de guerre et les fake news s'embourbe assez vite dans un solide ennui. N'est pas Werner Herzog qui veut.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Dommage qu’en dépit de ses belles images le périple se mue en voyage au bout de l’ennui.
Le Parisien
Un naturalisme éblouissant, élément supplémentaire dans cette descente vers de sombres abysses. Malik Zidi, aussi halluciné que Klaus Kinski dans le mythique « Aguirre » (1972) de Werner Herzog, grand frère en sauvagerie habitée de ce film, ajoute à sa réussite totale.
L'Obs
Beau film, qui porte aussi une question troublante : au fond, qu’est-ce qu’une image ?
Le Monde
Le cinéaste travaille l’explosion au ralenti, à répétition, révélant comme dans Zabriskie Point (1970), de Michelangelo Antonioni, un monde à détruire. Reste la magnificence des images.
Ouest France
Une oeuvre envoûtante, malgré son aspect un peu trop artificiellement contemplatif.
Positif
Outre le soin accordé à la composition des plans, ce qui marque dans "Vers la bataille" ce sont ses airs de Western joués à contretemps.
Télérama
Un récit épique et intime poignant.
Bande à part
Ce premier long-métrage d’Aurélien Vernhes-Lhermusiaux, court-métragiste prolifique, est un projet grandiose et têtu. Il est parcouru d’un feu assez rare pour qu’on s’y attarde.
La Croix
Malgré un scénario au premier abord convenu, le réalisateur filme de manière quasi organique, amplifiée par la magnifique bande originale signée de Stuart Staples, cette épopée solitaire aux allures de western.
Les Echos
Aurélien Vernhes-Lermusiaux met en scène le Mexique en guerre du XIX e siècle et la mystérieuse épopée d'un photographe. Un premier film envoûtant.
Les Fiches du Cinéma
Un film ambitieux qui déçoit un peu, faute de se laisser davantage aller aux ténèbres et à la poésie.
Libération
Le premier film d’Aurélien Vernhes-Lermusiaux, ambitieux et à la plastique soignée, a du mal à donner chair à ses promesses.
Paris Match
Aurélien Vernhes-Lermusiaux a aussi du talent pour créer des images, le film aussi imparfait soit-il, impressionne par séquence pour ses qualités formelles, notamment grâce à la photographie de David Chambille, le chef opérateur de Bruno Dumont.
Première
Le lent travelling avant qui dévoile la supercherie place Louis en narrateur soudain omniscient et désespéré. Ce plan vaudrait presque à lui seul le déplacement.
aVoir-aLire.com
Le scénario s’attache parfois à quelques facilités narratives qui permettent aux personnages de se sortir des situations les plus inextricables. Pour autant, on suit avec intérêt les pérégrinations de ce personnage, plus philosophe que reporter de guerre, qui dénonce l’absurdité du combat des hommes.
Cahiers du Cinéma
Avec un regard de plasticien, Vernhes-Lermusiaux ne filme pas tant le bout du monde que la fin du monde, lorsque, parmi les reflets de la vanité humaine, il ne subsiste que les pierres et la beauté des arbres dont on ignore le nom.
Le Figaro
Ce premier film, qui se veut une réflexion ambitieuse sur l'invention du photoreportage de guerre et les fake news s'embourbe assez vite dans un solide ennui. N'est pas Werner Herzog qui veut.
Le Journal du Dimanche
Dommage qu’en dépit de ses belles images le périple se mue en voyage au bout de l’ennui.