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    Madre
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    3,3
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    121 critiques spectateurs

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    Mrik S.
    Mrik S.

    63 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2020
    L'ouverture est dingue de tension et de mise en scène, hélas le reste du film peine à retrouver cette même intensité, même si l'intrigue et la relation entre le jeune homme et l'héroïne demeure intéressante.
    PBI-69
    PBI-69

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2020
    Très beau film espagnol. La scène d'ouverture est bluffante de réalisme, d'émotion et donne des frissons. Atmosphère. Scénario. Photo. Jeux d'acteurs. Rien à jeter ! On conseille fortement. A voir impérativement en VO.
    Aurélia R
    Aurélia R

    16 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 août 2020
    Un chef d'œuvre cinématographique. J'y suis allée par hasard et j'en suis sortie complètement chamboulée. Le premier film qui m'a fait vivre une telle émotion. C'est beau, c'est immersif, c'est intimiste... C'est émouvant et percutant ! Bravo à l'actrice principale qui est magnifique dans son rôle ! Merci Rodrigo Sorogoyen pour ce moment !
    dejihem
    dejihem

    141 abonnés 674 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 août 2020
    À part l'excellente scène de début du film,toute en tension sourde où l'imagination du spectateur est à son comble, ce film est raté sur le fond avec une esthétique trop forcée sur la forme.
    Sur le fond je ne sais pas où veut en venir le réalisateur en confiant au personnage principal la charge d'opérer une forme de transfert d'amour maternel sur un adolescent de l'âge de son fils s'il était toujours vivant. Le réalisateur ne réussit pas à transmettre une quelconque émotion sur la relation de ces deux personnages.
    Bref, à l'inverse de la plupart des membres du club 300, je n'adhère absolument pas aux propos et à l'esthétique du film.
    BGV
    BGV

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2020
    Excellent film qui vous met sous tension dès les premiers instants . Ce film intimiste , sous forme de thriller , vous baigne dans une atmosphère parfois suffocante . Marta Nieto est particulièrement convaincante .
    Christoblog
    Christoblog

    840 abonnés 1 689 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 août 2020
    Madre, exercice de style bien léché, confirme que Rodrigo Sorogoyen est un réalisateur doué et maniériste.

    Doué d'abord, parce qu'on ne peut pas nier que sa mise en scène soit efficace, par moment tellement belle que cela en devient gênant : quelques plans semblent guidés plus par une volonté de "faire beau" que d'exprimer quelque chose.

    Maniéré, parce que le film se complait dans une sorte de lenteur sourde et sentencieuse, comme El reino semblait vouloir nous égarer dans une excitation de tous les instants. Dans les deux cas, il s'agit, j'imagine, de refléter les états d'âmes des personnages principaux, quitte à paraître parfois un peu scolaire.

    Personnellement, j'ai vraiment eu un peu de mal à adhérer à l'histoire qui mettait proposée. Probablement parce que l'ambition du film me semble se résumer à son programme clairement exposé dès les premières minutes du films (voire dès son premier plan) : le deuil va être long, compliqué et douloureux. Peut-être aussi parce que les personnages me semblent trop corsetés dans des postures qui n'évoluent pas tout au long du film, et qui sont souvent très caricaturales. Enfin, parce que le film est trop long de trente minutes.

    Je reconnais toutefois que certaines scènes ne manquent pas de brio, comme celle du début, ou celle du repas avec l'ex-mari. Bien que téléguidée, la prestation de l'actrice Maria Neto, mérite aussi d'être vue. Elle a d'ailleurs reçu un prix à Venise.
    bobmorane63
    bobmorane63

    199 abonnés 1 988 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 août 2020
    Il y a des bons films a voir au cinéma en cette période très difficile du Corona Virus de l'été 2020, la preuve avec "Madre" du cinéaste Rodriguo Sorogoyen (un nom a retenir) dans une production Franco/ Espagnole !! Ce long métrage commence par un plan d'un quart d'heure avec une mère nommé Hélèna qui reçoit un coup de téléphone de son fils en vacances avec le père dans les Pyrénées au bord d'une plage qui se sent perdu sans son papa et c'est la détresse pour l'orienter et le perdre avec un mystérieux homme qui s'approche. La mère le recherche, mème dis ans plus tard sur les traces de son fils perdu, travaillant comme serveuse dans un restaurant en France, rencontrant un jeune adolescent qui y ressemble auquel elle sympathise et s'amusant avec ses amis tout en ayant un compagnon dans la vie. Une oeuvre que j'ai beaucoup aimé qui a la principale qualité de faire des plans longs et magnifiques en mouvement suivant surtout son actrice Maria Nieto formidable et exceptionnelle. La plage et les alentours sont superbes à l'image. Les acteurs secondaires sont très bons aussi et le scénario prend bien son temps pour raconter l'histoire. Je le conseille à tout bons cinéphiles.
    Albane A
    Albane A

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juin 2021
    Un film très bien réalisé. La justesse du jeu d'acteur nous plonge dans leur quotidien et nous bouleverse dès les premières minutes. Le reste du film nous laisse envisager diverses possibilités. Une fin plutôt intrigante qui nous reste en-tête.
    marmottedu77
    marmottedu77

    11 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 août 2020
    C'est un film qui part comme une brute, une première séquence qui happe complètement, qui soulève, fait rentrer en apnée. 10 premières minutes qui nous clouent à notre siège, une force qui se lève, lentement, sûrement, la respiration qui s'arrête, une séquence qui jamais ne semble devoir s'arrêter, qui nous emporte dans le drame le plus douloureux qui soit, celui de perdre un enfant. Et derrière, l'océan. Immense, magnifique, insubmersible, insondable témoin de tout, il dévore les plus terribles des secrets et ne les laissent pas réchapper. Muet. Les vagues font des allers-retours sur le sable. La caméra suit une personne sur la plage. L'espace est aussi ample que l’abîme creusé par la douleur. Marta Nieto est belle, sensible, impossible à cerner. Comment vivre après ça ? Comment se reconstruire ? Et qui sommes nous pour juger de son comportement, aussi choquant, aussi déroutant, puisse-t-il être. La seconde partie du film ouvre malheureusement sur des longueurs dont on se passerait bien. L'histoire d'amour impossible avec un jeune mineur qui aurait eu l'âge de son fils offre des scènes qui manquent parfois de crédibilité. Jules Porier joue tout sur le même registre et si le rôle d'Elena est passionnant, le sien est assez incompréhensible, son interprétation assez maladroite. La fin est prévisible, un peu facile et finalement, que veut-on nous dire ?
    Hector184
    Hector184

    7 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2020
    Madre est un film particulièrement intéressant, d'une part parce qu'il se regarde de bout en bout sans ennui ni lassitude, porté par les deux personnages principaux, excellents, d'autre part parce qu'il exige la participation intense du spectateur. Une question en effet semble rester en suspens, du moins de manière explicite : l'enfant d'Elena, Ivan, est-il mort ou a-t-il simplement, si j'ose dire, disparu ? La question est essentielle, car elle détermine toute la vision que l'on a du personnage de la "madre", et le "jugement" que l'on peut porter sur elle. Si l'enfant est mort, que son corps a été retrouvé au bord de cette plage des Landes, transporté à Madrid pour y être enterré ou incinéré, alors Elena peut apparaître effectivement folle, ou du moins en proie à une raison égarée. SI elle voulait se rapprocher du corps de son enfant défunt, il n'y avait rien de mieux que Madrid, la tombe où repose le petit corps, l'urne où sont enfermées les cendres, et sur lesquelles elle aurait pu se recueillir chaque jour. Mais s'il a "simplement" disparu, alors on comprend que cette mère, dans un désir désespéré de retrouver un jour son enfant, qu'elle peut croire encore vivant, soit venue s'installer aux abords de l'endroit où il s'est volatilisé. Et la mère, de folle devient pathétique. Or si la réponse à cette question ne nous est pas donnée explicitement, elle l'est de manière indirecte et elle sollicite alors la capacité du spectateur à la lecture sémantique et à la lecture d'image. C'est en cela que le film est également intéressant. Pour répondre à cette interrogation, il existe dans "Madre" une scène essentielle, celle où Elena et son compagnon sont au restaurant. A la table derrière eux, un homme raconte à ses amis l'histoire d'Elena que le spectateur perçoit en voix off. Que dit-il ? Qu'on l'appelle la "folle de la plage", qu'elle passe son temps, depuis dix ans, à chercher son fils disparu dans le secteur. Nous pouvons alors en déduire que l'enfant n'est pas mort et que son corps n'a jamais été retrouvé. S'il l'avait été, tué par le prédateur sexuel dont on on devine l"ombre dans la conversation téléphonique du début entre Elena et le petit Ivan, il est probable que l'homme du restaurant aurait dit à ses amis : l'enfant est mort depuis dix ans, son corps a été retrouvé sur la plage, son meurtrier, un satyre, a été arrêté (ou il court toujours, on ne l'a jamais retrouvé....), informations qu'un narrateur ne manque pas de donner dans ce genre d'affaire. Or, il n'en est rien et le locuteur en reste au stade de la disparition, dans un lieu indéterminé, situé dans cette zone où se passe l'action. On comprend alors pourquoi Elena a choisi cette plage comme centre de ses investigations : des rochers à droite, l'immensité du sable à gauche, comme le décrit l'enfant dans le dialogue initial. Mais rien ne dit que cette plage soit le lieu de la disparition. On comprend aussi pourquoi, ayant cru reconnaître, par projection, son fils disparu dans les traits de Jean, elle le suit jusque chez lui. Mais, quand elle regarde la famille attablée sur la terrasse, elle comprend aussi et aussitôt qu'il ne peut s'agir de son fils : il est visible que cet adolescent est parfaitement intégré dans cette famille qui est la sienne (le jeu avec sa mère à propos de la salade....), qu'il y est né et qu'il ne peut en aucun cas avoir été "adopté", "recueilli" par ces gens à l'âge de six ans. Et Elena renonce immédiatement, quitte le jardin et rentre chez elle, ayant compris que Jean ne peut en aucun cas être son fils. Combien de temps s'est écoulé entre cette scène et celle où Jean vient s'attabler dans le restaurant pour la provoquer gentiment : donnez-moi votre adresse, puisque vous connaissez la mienne..... On ne sait, mais il est probable que Elena, tout à fait consciente et femme responsable (ce sens des responsabilités chez cette femme qui n'est nullement folle, apparaît implicitement dans leur dernière conversation dans la voiture), a renoncé à suivre l'adolescent dont elle sait qu'il n'y a aucune chance qu'il soit son enfant. C'est lui qu relance la jeune femme, à la faveur de cette attirance que les adolescents peuvent éprouver pour une femme plus âgée. Que pensait-elle trouver en suivant Jean ? Qu'il vivait avec une homme de trente ans son aîné (le prédateur sexuel du début), qu'il était arrivé là à l'âge de six ou sept ans, sans que l'on sache trop pourquoi......? Cette hypothèse était évidemment sans aucun fondement possible, mais une mère en désarroi est capable de tout imaginer. Enfin, ce film me semble présenter toutes les caractéristiques d'une excellent film dans lequel le cinéaste a eu à coeur de rendre son spectateur actif, analysant ce qu'il voit et ce qu'il entend pour élaborer un scénario. Ajoutons à cela que la disparition de l'enfant peut avoir eu pour cause la marée montante (certains critiques parlent de ressac, mais c'est bien une marée que l'on voit à plusieurs reprises). Quand elle rêve des troncs d'arbres sous lesquels Ivan s'était réfugié, elle les voit humide encore de l'eau qui monte jusqu'à eux. On peut donc aussi imaginer que l'enfant a disparu emporté par le flot, que le prétendu prédateur, dont Ivan ne comprend pas la langue, mais qui lui dit 'Viens, viens,...." ne cherchait qu'à l'éloigner de la marée. L'enfant, guidé par la peur, se serait alors enfuit en direction de la plage et aurait péri dans les vagues puissantes. Bref, un film stimulant pour l'intellect et qui sollicite une intense participation du spectateur.
    montecristo59
    montecristo59

    40 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 août 2020
    Dans cette histoire d'un deuil empêché, difficile de se décider pour une note carrément haut de gamme tant est prégnante la frustration de spectateur qu'on ressent au final. Si le réal a d'abord voulu nous faire ressentir la permanence du manque et du doute qui prend possession d'une mère confrontée à une disparition mystérieuse, il réussit son coup haut la main, peut-être mieux encore que F.Ozon dans "Sous le sable" (où C.Rampling voyait "s'évanouir" quasiment sous ses yeux son B.Cremer de mari, au bord d'une plage). Il s'appuie surtout sur l'excellente et sobre Marta Nieto (Elena), belle et fine mère courage anéantie qui lutte pour survivre à l'inconnu. Autour d'elle il place une palette de faire-valoirs bien dirigée, à commencer par le jeune Jules Porier (Jean), assez juste dans sa relation équivoque avec la belle inconnue qui s'intéresse à lui.
    Si par contre il a voulu tisser la trame d'un thriller psychologique angoissant en jouant la carte de l'originalité, il a pratiqué trop d'ellipses pour qu'on adhère à fond...
    Je pencherais plutôt pour la première option. Reste que pour moi ce bon film cherche quand même un peu trop son registre. La tension est constante, certes, et l'attention itou du coup. Mais grande est la faim sur laquelle on reste à la fin !
    Jorik V
    Jorik V

    1 285 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 août 2020
    Mais que ce film est beau et intense ! Le genre de délice cinématographique à tous points de vue qu’on ne voit pas venir mais qui imprègne durablement le cœur et l’esprit. « Madre » est un film d’une complexité dramatique et psychologique rare mais aussi un pur régal pour les yeux tellement les images sont belles. A la barre, un cinéaste vraiment de plus en plus prometteur qui fait partie du renouveau du cinéma espagnol, Rodrigo Sorogoyen. On lui doit l’excellent thriller « Que Dios No Perdones » mais aussi l’an passé « El Reino ». Ce dernier opus sur les coulisses de la politique espagnole et la corruption, acclamé par les critiques, était certes très habile et maîtrisé mais il nous avait laissé sur le bas-côté par son extrême complexité qui faisait décrocher. Ici, il change radicalement de genre (du moins en apparence), laissant le thriller pur et dur de côté pour un drame psychologique mâtiné de suspense voire une tragédie où les enjeux émotionnels sont si forts qu’ils nous coupent le souffle. « Madre » c’est à la fois un fond renversant et intelligent à partir d’un sujet qui tient en haleine et une forme hypnotique et qui émerveille, le tout dans un accord parfait.



    Le long-métrage commence fort par un moment de très haute tension. Une scène d’une quinzaine de minutes faite d’un plan-séquence incroyable qui nous scotche à notre siège dès le départ et augure du meilleur pour la suite. Cette séquence est d’une telle intensité qu’elle nous fait penser à celle de « Scream » premier du nom, de par le côté téléphonique présent dans les deux. Ces premières minutes tétanisent et jouent avec nos nerfs et si la suite est bien plus apaisée et apaisante, elle n’en demeure pas moins magistrale. Sorogoyen n’a pas son pareil pour alterner moments solaires et d’une douceur folle avec d’autres qui mettent nos sens en ébullition (souvent en plan-séquence ce qui accentue l’immersion et la tension), comme la séquence d’ouverture donc. On retient aussi la séquence de l’after dans la voiture et celle de l’irruption de l’héroïne dans la villa familiale, des scènes éprouvantes et stressantes où le suspense atteint son paroxysme. La façon de filmer du cinéaste en met plein la vue et cela se répercute également dans le reste du film où la beauté des images est à couper le souffle.



    En effet, dans un cadre exagérément rectangulaire et écrasé, ce qui a pour effet de faire ressortir encore plus le sublime de ce qui est filmé, le réalisateur compose ses plans comme des tableaux. Un régal pour les yeux où le pays basque en version hivernale est magnifié, sublimé et envoûtant. Les couleurs sont belles à se damner, rares sont les œuvres qui convainquent autant sur le plan pictural (tel que dans un tout autre genre le « Blade Runner 2049 » de Villeneuve). « Madre » doit aussi beaucoup à son personnage principal incarné par la magnifique Marta Nieto qui en plus d’être belle comme le jour est tout à fait bluffante. Ce personnage de femme blessée nous emmène avec lui dans ses bonheurs, ses espérances et ses joies tout autant que dans ses drames, sa tristesse et sa dépression. On partage vraiment ses états d’âmes d’une façon rare et unique. Le trouble psychologique véhiculé par le film peut paraître gênant et le rapport entre les deux personnages principaux répréhensible. Mais cela nous renvoie à nos propres convictions et jusqu’au bout le trouble et un léger malaise sont entretenus de manière soigneuse. Le film nous chamboule, interpelle, c’est aussi ça le cinéma. Les intentions d’Elena restent opaques et la fin, à la fois équivoque et pleine de non-dits, nous laisse faire notre propre avis sur le sujet avec malice. « Madre » c’est plus de deux heures de très grand cinéma, de bout en bout, à voir et à revoir, autant pour sa forme parfaite que pour ce qu’il provoque et raconte. Un must !



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    EloditeElo
    EloditeElo

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2020
    Elena, personnage principal, est une femme complexe qu'on tente de comprendre tout le long du film et qui en devient attachante ; je ne me suis pas ennuyée une minute, j'ai adoré les images du pays basque, j'ai adoré le rythme du film qui laisse le temps du ressenti, des émotions.
    Dom Domi
    Dom Domi

    44 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 août 2020
    Le film est composé de 2 moments forts, le début et la fin.
    Entre ces deux moments d'importance, on s'ennuie un peu du fait d'un scénario un peu juste en intensité qui laisse le bâillement s'imposer.
    Dommage, car il y avait matière à plus de qualité.
    domi...
    bambiche
    bambiche

    5 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 août 2020
    un premier quart d'heure très prometteur mais une suite qui traîne en longueurs. Le scénario manque même parfois de crédibilité et se noie dans une brume un peu trop opaque. Dommage, car les acteurs sont eux à la hauteur !
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