Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un très grand film.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
S’il était encore utile de le faire, Rodrigo Sorogoyen confirme à travers ce cinquième long-métrage son immense talent de conteur des dérapages de l’âme humaine. Un film déroutant et implacable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
[...] le réalisateur espagnol qui maîtrise avec grâce le plan-séquence, passe du thriller («Que Dios Nos Perdone», «El Reino») à un film plus intimiste où l’importance n’est pas dans l’enquête et les faits, mais plutôt dans le ressenti de ses protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Contre toute l’attente suscitée par l’amorce du film, Sorogoyen aura su finalement rendre partageable l’émoi d’une rencontre, ce qui est tout de même l’une des plus belles choses que l’on peut espérer du cinéma.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Rodrigo Sorogoyen va chercher le cinéma de genre dans les scènes les plus banales d’une vie de perdition. Bouleversant jusqu’aux dernières secondes.
Closer
par La Rédaction
Le portrait émouvant d'une femme cherchant la lumière.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Après s’être imposé comme le spécialiste du thriller espagnol (...), Rodrigo Sorogoyen donne suite à son propre court-métrage, en appuyant sur ses points forts : une gestion du cadre impeccable, une science des plans-séquences et une direction d’acteurs impeccable dans ce drame sur le deuil.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Simon Riaux
On ne sort pas indemne de "Madre", tant son réalisateur sublime plan après plan un récit romanesque et complexe, sublime et tragique, dont le long cheminement vers la lumière bouleverse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Prenant et troublant.
La Croix
par Céline Rouden
Dans ce film émouvant, une mère en deuil de son fils, disparu dix ans plus tôt dans les Landes, est troublée par sa rencontre avec un jeune homme qui pourrait lui ressembler.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Le réalisateur a gardé l’entame de thriller pour mieux nous emmener vers autre chose. L’histoire d’Elena et Jean nous inspire des sentiments mêlés, nous ensorcelle, nous interroge.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Car « Madre » ne cherche pas à résoudre quoi que ce soit, mais plutôt à explorer la vie sans l’être cher. Un manque qui se transforme en purgatoire pour les personnes restantes. Impression renforcée par les paysages longilignes des Landes baignant dans un brouillard laiteux.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Point
par La Rédaction
Sorogoyen maîtrise comme personne les changements de registre et l'art du suspense. On suffoque, on retient son souffle… Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Inspiré du court métrage éponyme, "Madre" aborde les thèmes de la perte et du sentiment amoureux avec un récit touchant et non conventionnel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Là où l’on s’attendait à une enquête poursuivant dans la veine du thriller, le film livre une auscultation d’un trouble des sentiments qui ne se laisse jamais enfermer dans l’explicite, et rend compte d’une manière d’être au monde brumeuse et incertaine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par E.B.
Un très beau film.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une très belle peinture de l'horreur absolue, celle d'avoir perdu un enfant.
Positif
par Fabien Baumann
Sorogoyen brille dans le plan-séquence implacable (on se régalera d’un second, dans les brumes d’une taverne pyrénéenne), mais aussi dans l’entre-deux incertain : une tête alanguie qui trouve le réconfort d’une épaule, sur un canapé, ou des caresses interdites, ailleurs, qui ne regardent personne.
Sud Ouest
par Sophie Avon
(... ) c’est une œuvre qui s’en tient à l’impalpable, saisissant le vertige de ce transfert consenti, tendre et lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Malgré des lenteurs, on est happé par la puissance du film et la formidable Marta Nieto.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Passé l'angoisse du début du film, sa mise en scène virtuose accompagne son personnage, superbement interprété, jusqu'aux frontières de la folie.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un film âpre et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A. V.
Un drame intense, porté par une actrice lumineuse.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
L'histoire est servie par des comédiens engagés et par une photographie très soignée, certains plans éclairés et composés comme les tableaux du peintre américain Edward Hopper.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le réalisateur d’« El Reino » aborde les sujets ardus du deuil d’un enfant et du transfert affectif avec une délicatesse à laquelle sa mise en scène un peu forcée et son grand-angle systématique ne rendent pas justice.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Rodrigo Sorogoyen revisite avec tact le thème du deuil impossible après la disparition d'un enfant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film a l’intelligence de ne pas enchérir sur le fond sulfureux de son sujet, laissant à la psychologie les prémices de la situation mais en aucun cas sa résolution.
Première
par Frédéric Foubert
Cette volonté d'envisager l'action comme un enchaînement ininterrompu de pics émotionnels se retourne parfois contre le film, qui aurait sans doute gagné à jouer sur une gamme de notes plus large. Mais ça, on ne le réalise qu'après coup. Le temps de la projection, on est happé, yeux écarquillés, en apnée pendant 2h 09.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Rodrigo Sorogoyen semble avoir présumé deses forces, ou péché par excès de confiance en transformant un court métrage en un film de plus de deux heures.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Nathalie Simon
Si les comédiens n'ont rien à se reprocher, l'histoire est bancale et confuse.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Si le film souffre par moment d’une mise en scène trop visible et lisible [...] il parvient cependant à trouver un éclat dans la relation trouble (projection incestueuse ou véritable histoire d’amour ?) qui se noue entre la femme meurtrie (Marta Nieto) et le jeune homme charmé (Jules Porier), dont l’intensité tient beaucoup à la qualité de ses deux interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Josué Morel
Ce prolongement du court-métrage qu'a signé Sorogoyen en 2017 a tout d'une fausse bonne idée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
Un très grand film.
aVoir-aLire.com
S’il était encore utile de le faire, Rodrigo Sorogoyen confirme à travers ce cinquième long-métrage son immense talent de conteur des dérapages de l’âme humaine. Un film déroutant et implacable.
CNews
[...] le réalisateur espagnol qui maîtrise avec grâce le plan-séquence, passe du thriller («Que Dios Nos Perdone», «El Reino») à un film plus intimiste où l’importance n’est pas dans l’enquête et les faits, mais plutôt dans le ressenti de ses protagonistes.
Cahiers du Cinéma
Contre toute l’attente suscitée par l’amorce du film, Sorogoyen aura su finalement rendre partageable l’émoi d’une rencontre, ce qui est tout de même l’une des plus belles choses que l’on peut espérer du cinéma.
CinemaTeaser
Rodrigo Sorogoyen va chercher le cinéma de genre dans les scènes les plus banales d’une vie de perdition. Bouleversant jusqu’aux dernières secondes.
Closer
Le portrait émouvant d'une femme cherchant la lumière.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Après s’être imposé comme le spécialiste du thriller espagnol (...), Rodrigo Sorogoyen donne suite à son propre court-métrage, en appuyant sur ses points forts : une gestion du cadre impeccable, une science des plans-séquences et une direction d’acteurs impeccable dans ce drame sur le deuil.
Ecran Large
On ne sort pas indemne de "Madre", tant son réalisateur sublime plan après plan un récit romanesque et complexe, sublime et tragique, dont le long cheminement vers la lumière bouleverse.
Femme Actuelle
Prenant et troublant.
La Croix
Dans ce film émouvant, une mère en deuil de son fils, disparu dix ans plus tôt dans les Landes, est troublée par sa rencontre avec un jeune homme qui pourrait lui ressembler.
La Voix du Nord
Le réalisateur a gardé l’entame de thriller pour mieux nous emmener vers autre chose. L’histoire d’Elena et Jean nous inspire des sentiments mêlés, nous ensorcelle, nous interroge.
Le Dauphiné Libéré
Car « Madre » ne cherche pas à résoudre quoi que ce soit, mais plutôt à explorer la vie sans l’être cher. Un manque qui se transforme en purgatoire pour les personnes restantes. Impression renforcée par les paysages longilignes des Landes baignant dans un brouillard laiteux.
Le Point
Sorogoyen maîtrise comme personne les changements de registre et l'art du suspense. On suffoque, on retient son souffle… Une réussite.
Les Fiches du Cinéma
Inspiré du court métrage éponyme, "Madre" aborde les thèmes de la perte et du sentiment amoureux avec un récit touchant et non conventionnel.
Libération
Là où l’on s’attendait à une enquête poursuivant dans la veine du thriller, le film livre une auscultation d’un trouble des sentiments qui ne se laisse jamais enfermer dans l’explicite, et rend compte d’une manière d’être au monde brumeuse et incertaine.
Marie Claire
Un très beau film.
Ouest France
Une très belle peinture de l'horreur absolue, celle d'avoir perdu un enfant.
Positif
Sorogoyen brille dans le plan-séquence implacable (on se régalera d’un second, dans les brumes d’une taverne pyrénéenne), mais aussi dans l’entre-deux incertain : une tête alanguie qui trouve le réconfort d’une épaule, sur un canapé, ou des caresses interdites, ailleurs, qui ne regardent personne.
Sud Ouest
(... ) c’est une œuvre qui s’en tient à l’impalpable, saisissant le vertige de ce transfert consenti, tendre et lumineux.
Télé 7 Jours
Malgré des lenteurs, on est happé par la puissance du film et la formidable Marta Nieto.
Télé Loisirs
Passé l'angoisse du début du film, sa mise en scène virtuose accompagne son personnage, superbement interprété, jusqu'aux frontières de la folie.
Télérama
Un film âpre et bouleversant.
Voici
Un drame intense, porté par une actrice lumineuse.
Franceinfo Culture
L'histoire est servie par des comédiens engagés et par une photographie très soignée, certains plans éclairés et composés comme les tableaux du peintre américain Edward Hopper.
L'Obs
Le réalisateur d’« El Reino » aborde les sujets ardus du deuil d’un enfant et du transfert affectif avec une délicatesse à laquelle sa mise en scène un peu forcée et son grand-angle systématique ne rendent pas justice.
Le Journal du Dimanche
Rodrigo Sorogoyen revisite avec tact le thème du deuil impossible après la disparition d'un enfant.
Le Monde
Le film a l’intelligence de ne pas enchérir sur le fond sulfureux de son sujet, laissant à la psychologie les prémices de la situation mais en aucun cas sa résolution.
Première
Cette volonté d'envisager l'action comme un enchaînement ininterrompu de pics émotionnels se retourne parfois contre le film, qui aurait sans doute gagné à jouer sur une gamme de notes plus large. Mais ça, on ne le réalise qu'après coup. Le temps de la projection, on est happé, yeux écarquillés, en apnée pendant 2h 09.
L'Humanité
Rodrigo Sorogoyen semble avoir présumé deses forces, ou péché par excès de confiance en transformant un court métrage en un film de plus de deux heures.
Le Figaro
Si les comédiens n'ont rien à se reprocher, l'histoire est bancale et confuse.
Les Inrockuptibles
Si le film souffre par moment d’une mise en scène trop visible et lisible [...] il parvient cependant à trouver un éclat dans la relation trouble (projection incestueuse ou véritable histoire d’amour ?) qui se noue entre la femme meurtrie (Marta Nieto) et le jeune homme charmé (Jules Porier), dont l’intensité tient beaucoup à la qualité de ses deux interprètes.
Critikat.com
Ce prolongement du court-métrage qu'a signé Sorogoyen en 2017 a tout d'une fausse bonne idée.