Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Voici
par La Rédaction
Film d'horreur, drame et romance, Bones and All impose un peu plus le talent de Timothée Chalamet, aux côtés de la révélation Tayler Russell..
20 Minutes
par Caroline Vié
Taylor Russell donne la réplique à l’acteur pour ce conte vénéneux et appétissant à déconseiller aux âmes sensibles.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Charlotte Marsal
Plus qu’un film sur le cannibalisme, Bones and all est avant tout une histoire d’amour impossible entre deux jeunes isolés et vulnérables.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Impossible d’oublier certaines images de Bones and All, qui vous collent à la peau.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une romance criminelle de chair et d’os, puissante et étrangement belle.
Franceinfo Culture
par La rédaction
Une sorte de conte pour enfants où les ogres sont aussi des êtres de chair et de sang frissonnants de réalisme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
Un road-movie constamment surprenant, à la temporalité trouble, puisant aussi bien dans l'imagerie façon americana de La Balade Sauvage de Terrence Malick que dans celle du cinéma d'horreur américain des années 60, poisseux, charnel et déterminé à aller contre les conventions morales.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Troublante et déchirante, Taylor Russell, jeune fille en quête de rédemption, fuyant ses propres démons, est l’âme sœur de Timothée Chalamet, grâce sauvage d’un vagabond indompté, clochard céleste comme échappé d’un roman de Jack Kerouac.
Le Point
par Elise Lépine
Un film tendre et sanglant.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Luca Guadagnino poursuit son étude des émois adolescents à travers ce road movie parfois gore, souvent touchant, mais résolument mineur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Olivier Lamm
Ce qu’on préfère dans ce high concept que les aficionados du cinéma de genre ne toucheront même pas avec un bâton, c’est la désinvolture avec laquelle Guadagnino le fout en l’air pour, précisément, s’en retourner vers le genre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Cédric Delelée
Bones and All est non seulement une belle romance adolescente, mais aussi un authentique film d'horreur qui n'a pas peur de répandre du sang et des tripes.
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Guadagnino (...) filme cette histoire très sanglante avec une paradoxale douceur, sans que l’action ne prenne le dessus sur la grâce de ses jeunes acteurs (...). Suivant sa route référencée, le film n’est cependant pas d’une grande nouveauté, et il rate inexplicablement la scène qui aurait dû être son acmé (...).
Ecran Large
par Axelle Vacher
Avec Bones and All, Luca Guadagnino propose au spectateur l'équivalent d'une savoureuse assiette prise en photo pour Instagram : c'est très joli, très appétissant, mais c'est trop lisse et surtout, ça ne se mange pas.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
Comme souvent avec ce cinéaste, c’est trop long et on ne saisit pas tout à fait où il veut en venir. Déroutante, l’errance aux beautés sombres piste la mélancolie des cannibales.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Guadagnino alterne romance (ritournelle à la guitare) et gore (musique qui fait peur). Comment trouver sa place dans le monde avec un tel régime alimentaire ? Grave question que traitait déjà Grave justement, le premier film deJulia Ducournau, avec plus de nerf.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une fable entre horreur et romance dans la lignée de Trouble Every Day, où Claire Denis explorait déjà la notion de cannibalisme avec la même singularité et la même radicalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Après avoir réinventé le Suspiria de Dario Argento, Luca Guadagnino rend ici hommage à John Carpenter, George Romero ou encore Jonathan Demme. La route américaine est magnifiquement filmée, les paysages beaux comme des tableaux, mais le sang coule, et le danger rôde.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
Reste toutefois, dans les plis de ce film très inégal, le portrait profondément noir d’une Amérique sinistrée : le dégoût que produisent les scènes de cannibalisme ne constitue au fond que le reflet de celui suscité par la misère sociale et la violence latente d’une société toute entière.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par M. Jo.
Bluette très lisse, presque touchante dans ses effluves de romantisme noir, le film croit pourtant s’encanailler en débitant scolairement ses références, son Amérique rouillée gisant sous une lumière de fin d’après-midi.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Mais à l’arrivée de ce trop long road-movie qui néglige totalement les paysages qu’il traverse, on se demande si le cinéaste n’a pas voulu un peu trop filer la métaphore sur les parias et les marginaux, pour n’aboutir qu’à une bluette cannibale qui tourne en rond.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Comble pour un film dont le titre traduit les désirs de ses personnages de dévorer le corps de leur victime en entier (les os et tout ce qui va avec), Bones and all est une belle enveloppe sans chair ni structure, sans pensée non plus.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Cédric Page
Un road-movie monotone.
Première
par Frédéric Foubert
Guadagnino régurgite une imagerie gothico-white trash piochée chez Jarmusch et l’Andrea Arnold d’American Honey (...). Mais à force de poses et de clichés, celle-ci vire à l’imagerie dévitalisée, artificielle, faussement cool, confirmant la nature très creuse de ce cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
Film d'horreur, drame et romance, Bones and All impose un peu plus le talent de Timothée Chalamet, aux côtés de la révélation Tayler Russell..
20 Minutes
Taylor Russell donne la réplique à l’acteur pour ce conte vénéneux et appétissant à déconseiller aux âmes sensibles.
CNews
Plus qu’un film sur le cannibalisme, Bones and all est avant tout une histoire d’amour impossible entre deux jeunes isolés et vulnérables.
CinemaTeaser
Impossible d’oublier certaines images de Bones and All, qui vous collent à la peau.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une romance criminelle de chair et d’os, puissante et étrangement belle.
Franceinfo Culture
Une sorte de conte pour enfants où les ogres sont aussi des êtres de chair et de sang frissonnants de réalisme.
GQ
Un road-movie constamment surprenant, à la temporalité trouble, puisant aussi bien dans l'imagerie façon americana de La Balade Sauvage de Terrence Malick que dans celle du cinéma d'horreur américain des années 60, poisseux, charnel et déterminé à aller contre les conventions morales.
Le Dauphiné Libéré
Troublante et déchirante, Taylor Russell, jeune fille en quête de rédemption, fuyant ses propres démons, est l’âme sœur de Timothée Chalamet, grâce sauvage d’un vagabond indompté, clochard céleste comme échappé d’un roman de Jack Kerouac.
Le Point
Un film tendre et sanglant.
Les Fiches du Cinéma
Luca Guadagnino poursuit son étude des émois adolescents à travers ce road movie parfois gore, souvent touchant, mais résolument mineur.
Libération
Ce qu’on préfère dans ce high concept que les aficionados du cinéma de genre ne toucheront même pas avec un bâton, c’est la désinvolture avec laquelle Guadagnino le fout en l’air pour, précisément, s’en retourner vers le genre.
Mad Movies
Bones and All est non seulement une belle romance adolescente, mais aussi un authentique film d'horreur qui n'a pas peur de répandre du sang et des tripes.
Cahiers du Cinéma
Guadagnino (...) filme cette histoire très sanglante avec une paradoxale douceur, sans que l’action ne prenne le dessus sur la grâce de ses jeunes acteurs (...). Suivant sa route référencée, le film n’est cependant pas d’une grande nouveauté, et il rate inexplicablement la scène qui aurait dû être son acmé (...).
Ecran Large
Avec Bones and All, Luca Guadagnino propose au spectateur l'équivalent d'une savoureuse assiette prise en photo pour Instagram : c'est très joli, très appétissant, mais c'est trop lisse et surtout, ça ne se mange pas.
L'Obs
Comme souvent avec ce cinéaste, c’est trop long et on ne saisit pas tout à fait où il veut en venir. Déroutante, l’errance aux beautés sombres piste la mélancolie des cannibales.
Le Figaro
Guadagnino alterne romance (ritournelle à la guitare) et gore (musique qui fait peur). Comment trouver sa place dans le monde avec un tel régime alimentaire ? Grave question que traitait déjà Grave justement, le premier film deJulia Ducournau, avec plus de nerf.
Le Journal du Dimanche
Une fable entre horreur et romance dans la lignée de Trouble Every Day, où Claire Denis explorait déjà la notion de cannibalisme avec la même singularité et la même radicalité.
Rolling Stone
Après avoir réinventé le Suspiria de Dario Argento, Luca Guadagnino rend ici hommage à John Carpenter, George Romero ou encore Jonathan Demme. La route américaine est magnifiquement filmée, les paysages beaux comme des tableaux, mais le sang coule, et le danger rôde.
Critikat.com
Reste toutefois, dans les plis de ce film très inégal, le portrait profondément noir d’une Amérique sinistrée : le dégoût que produisent les scènes de cannibalisme ne constitue au fond que le reflet de celui suscité par la misère sociale et la violence latente d’une société toute entière.
Le Monde
Bluette très lisse, presque touchante dans ses effluves de romantisme noir, le film croit pourtant s’encanailler en débitant scolairement ses références, son Amérique rouillée gisant sous une lumière de fin d’après-midi.
Le Parisien
Mais à l’arrivée de ce trop long road-movie qui néglige totalement les paysages qu’il traverse, on se demande si le cinéaste n’a pas voulu un peu trop filer la métaphore sur les parias et les marginaux, pour n’aboutir qu’à une bluette cannibale qui tourne en rond.
Les Inrockuptibles
Comble pour un film dont le titre traduit les désirs de ses personnages de dévorer le corps de leur victime en entier (les os et tout ce qui va avec), Bones and all est une belle enveloppe sans chair ni structure, sans pensée non plus.
Ouest France
Un road-movie monotone.
Première
Guadagnino régurgite une imagerie gothico-white trash piochée chez Jarmusch et l’Andrea Arnold d’American Honey (...). Mais à force de poses et de clichés, celle-ci vire à l’imagerie dévitalisée, artificielle, faussement cool, confirmant la nature très creuse de ce cinéma.