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Note moyenne
3,7
14 titres de presse
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Ouest France
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L'Obs
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Le Journal du Dimanche
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Les Fiches du Cinéma
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Les Inrockuptibles
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Libération
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Paris Match
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Positif
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Télérama
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aVoir-aLire.com
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Cahiers du Cinéma
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Le Monde
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Le Parisien
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La Croix
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Ouest France
Le réalisateur a réussi à recueillir, avec bonne distance et humour, les confidences des prostitué(e)s.
L'Obs
Un film frontal, qui estompe tout jugement et respecte superbement la parole recueillie.
Le Journal du Dimanche
À rebours des reportages souvent racoleurs, Claus Drexel signe un documentaire empathique, juste et esthétiquement superbe, donnant à son décor des allures de forêt enchantée sans que ce parti pris soit indécent.
Les Fiches du Cinéma
Avec respect et un sens éblouissant de la mise en image, C. Drexel amène ses sujets à se confier, entre humour et sentiments, muant leur espace en décor de lumière.
Les Inrockuptibles
Au cœur du bois a alors quelque chose du conte, avec ses illustres légendes et ses belles sorcières, gardiennes d’un temple fragile.
Libération
Le documentaire de Claude Drexel fait du bois de Boulogne un studio à ciel ouvert en donnant la parole aux travailleuses du sexe. Les témoignages, qui oscillent entre solitude et destin commun, soulignent une ostracisation à tous les niveaux.
Paris Match
Une galerie de portraits à l’image impeccable, tout en écoute et en tendresse, entre transformation des corps et évolution des mœurs. Passionnant.
Positif
Il en résulte une galerie de portraits inattendus, parfois drôles ou bouleversants, échappant au voyeurisme comme au misérabilisme.
Télérama
Ce film profondément humain fait sortir de belles figures du bois.
aVoir-aLire.com
Entre plans de nature flamboyante et témoignages authentiques, Claus Drexel pose un regard plein de délicatesse sur des personnes habituellement ostracisées.
Cahiers du Cinéma
La profondeur du film, un peu figé dans son dispositif, repose donc entièrement sur la conscience historique et politique de ses « parleuses ».
Le Monde
Ce dispositif théâtral prend le risque de réduire certains protagonistes à des stéréotypes du cinéma, hauts en couleur. Mais ces derniers prennent le temps de se raconter, et leurs mots finissent par percer le décor.
Le Parisien
Documentaire consacré à une branche bien spécifique de la prostitution parisienne, « Au cœur du bois » fait découvrir les témoignages édifiants, sidérants, poignants, de la part d’interlocuteurs plein de surprises, bouleversants par moments, tous étonnants. Seul regret : une réalisation sans réel point de vue artistique, qui se contente de se reposer sur les mots de ses formidables témoins.
La Croix
Le réalisateur Claus Drexel (« Au bord du monde ») est allé à la rencontre des prostituées du bois de Boulogne. Au-delà de leurs témoignages, souvent bouleversants, sa tentative d’esthétiser son récit ne convainc pas.