Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Une surprise et une merveille.
Télérama
par Jacques Morice
Une ode superbe à la nature et au temps qui passe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Intimiste et contemplatif, Février est un éloge merveilleux à l’authenticité et au renoncement à la modernité. Proprement sublime.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
En Bulgarie, un petit garçon garde les moutons ; il devient un jeune homme, puis un vieillard. L’arc d’une vie sans histoires pour un film époustouflant de beauté et d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Victor Morozov
Si le film évite le gouffre existentialiste (…), c’est qu’il vise comme horizon ultime une grandeur qui dépasse l’humain et l’absorbe dans la continuité d’un espace-temps sempiternel.
Le Monde
par Mathieu Macheret
La construction du même personnage en trois âges et à travers trois acteurs différents renforce cette impression : que la vie n'est autre que ce qui nous échappe.
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
Une mise en scène impressionnante de maîtrise, captant le temps qui passe sans emphase, avec une obstination formelle de tous les instants.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Si le récit est réduit à l’os, il se déploie en revanche dans une absolue richesse visuelle, la sécheresse de l’intrigue, quasiment sans parole, contrastant avec la tendresse et l’ampleur de plans filmés en Super 8 [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Dans Février, à travers le récit de trois âges d’un personnage, Kamen Kalev propose une méditation poétique sur ce qui, dans une destinée d’homme, est permanent.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
“Février”, morne et austère, est une grande déception : on attendait bien mieux du talentueux Kamen Kalev (“Eastern Plays”) que cet usinage satisfait, empreint d’un kitsch spirituel mécanique, et bien loin de la fraîcheur d’une escapade vers la beauté primitive.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
Une surprise et une merveille.
Télérama
Une ode superbe à la nature et au temps qui passe.
aVoir-aLire.com
Intimiste et contemplatif, Février est un éloge merveilleux à l’authenticité et au renoncement à la modernité. Proprement sublime.
Bande à part
En Bulgarie, un petit garçon garde les moutons ; il devient un jeune homme, puis un vieillard. L’arc d’une vie sans histoires pour un film époustouflant de beauté et d’humanité.
Cahiers du Cinéma
Si le film évite le gouffre existentialiste (…), c’est qu’il vise comme horizon ultime une grandeur qui dépasse l’humain et l’absorbe dans la continuité d’un espace-temps sempiternel.
Le Monde
La construction du même personnage en trois âges et à travers trois acteurs différents renforce cette impression : que la vie n'est autre que ce qui nous échappe.
Les Inrockuptibles
Une mise en scène impressionnante de maîtrise, captant le temps qui passe sans emphase, avec une obstination formelle de tous les instants.
Libération
Si le récit est réduit à l’os, il se déploie en revanche dans une absolue richesse visuelle, la sécheresse de l’intrigue, quasiment sans parole, contrastant avec la tendresse et l’ampleur de plans filmés en Super 8 [...].
Transfuge
Dans Février, à travers le récit de trois âges d’un personnage, Kamen Kalev propose une méditation poétique sur ce qui, dans une destinée d’homme, est permanent.
Les Fiches du Cinéma
“Février”, morne et austère, est une grande déception : on attendait bien mieux du talentueux Kamen Kalev (“Eastern Plays”) que cet usinage satisfait, empreint d’un kitsch spirituel mécanique, et bien loin de la fraîcheur d’une escapade vers la beauté primitive.