Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Télé Loisirs
par Claire Picard
Diablement efficace !
20 Minutes
par Caroline Vié
On pense à un suspense à la façon d’Alfred Hitchcock devant ce thriller vénéneux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par La rédaction
[...] à la fois romantique, esthétique et moralement dérangeant [...].
CNews
par La rédaction
Le film rappelle alors l’univers grinçant et l’humour noir des films de Claude Chabrol – où tous les personnages sont emportés dans une valse démoniaque et où les langues se délient au fur et à mesure que les révélations s’amoncellent.
CNews
par La rédaction
Cette comédie de moeurs qui dissèque la vie de ces expatriés nageant en apparence dans le bonheur, vacille vers le thriller psychologique et le polar - rappelant l'univers grinçant des films de Claude Chabrol - où tous les personnages sont emportés dans une valse folle.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un thriller feutré, classique, mais bien mené.
L'Obs
par Nicolas Schaller
C’est plein de malice, émaillé de clins d’œil discrets à Hitchcock et à De Palma, et porté par une Karin Viard souveraine en néo-bourgeoise dont le vernis de respectabilité se craquelle à mesure qu’elle cherche à sauver la face.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Dans cette chronique chabrolienne délicieusement amorale et cynique, Karin Viard joue à la perfection la comédie des faux semblants et prouve une nouvelle fois qu'elle est une grande actrice avec un personnage d'épouse bafouée, mais prête à toutes les bassesses pour sauver son honneur.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Philippe Ridet
Jouant à sautemouton avec lesgenres, Marc Fitoussi (Copacabana, Pauline détective) engage d’abord son film sur les rails d’une étude de mœurs à laChabrol, avant de le faire dévier vers le film noir à la Clouzot (Les Diaboliques), mâtiné de quelques scènes que n’aurait pas reniées Hitchcock.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Le ticket Karin Viard- Benjamin Biolay était en l'occurrence la configuration idéale, d'autant que le scénario, en prenant à mi-chemin un tour plus noir, invite les deux acteurs à développer un second souffle qui accélère le rythme et ajoute à leur performance. Sacrée partition!
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Finement mis en scène, ce thriller psychologique soigne son atmosphère trouble et ses effets de surprise. [...] On pense parfois à Ophuls (pour les apparences, justement), un petit peu à Chabrol (la bourgeoisie, mais pas tant que ça), et surtout à Paul Verhoeven, en plus feutré, plus léger.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
On ne s’ennuie assurément pas en découvrant Les apparences, une fiction à la fois cocasse et grinçante qui rappelle que les personnages infréquentables, sur le grand écran, sont parfois les plus passionnants.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un film qui se déguste comme un bon vin, radiographie vacharde des faux-semblants à la mise en scène solide et à l’écriture impeccable.
Première
par Thierry Cheze
Un film prenant aux effluves chabroliennes autour de personnages prêts à tout pour ne pas perdre la face… et leur rang.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Le réalisateur de Copacabana excelle dans l’observation chabrolienne du théâtre social, et réussit une comédie grinçante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un casting impeccable pour un polar envoûtant. Marc Fitoussi réussit haut la main son entrée dans le monde du thriller.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Malgré un point de départ et une mise en scène qui ronronnent trop, le film surprend et divertit grâce au personnage de Karin Viard et à la performance azimutée de l'actrice.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après des comédies, Marc Fitoussi s’essaie au thriller, mais réussit mieux sa chronique d’un milieu de notables français à Vienne.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
En adaptant un livre de Karin Alvtegen, Marc Fitoussi a néanmoins le mérite d’entremêler plusieurs registres : le thriller psychologique, le drame sentimental, la comédie ironique et la chronique sociale. Une ambition parfaitement servie par le couple formé par Benjamin Biolay, l’époux désabusé, et Karin Viard, l’épouse trahie, rattrapée par le jeu pervers qu’elle a elle-même enclenché.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
En mettant l’adultère mondain au cœur d’une comédie sociale qui glisse vers le film noir, le réalisateur Marc Fitoussi marche dans les pas de Claude Chabrol.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Non sans évoquer Chabrol, ce drame explore l’intimité et la cruauté d’une bourgeoisie provinciale. Bien que prévisible, le résultat est un plaisir coupable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Le film déçoit un peu dans son versant drame adultérin, mais il se rattrape avec brio quand le réalisateur nous plonge dans ce microcosme d'expatriés VIP qui s'épient les un·es les autres.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Karin Viard, diabolique en bourgeoise prête à tout pour garder son prestigieux mari, et Benjamin Biolay, ambigu à souhait, sont les pièces maîtresses de ce jeu de faux-semblants, parfois prévisible, quelques fois tiré par les cheveux, mais toujours délicieusement cruel.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Monsieur est Benjamin Biolay, mari manipulateur, bien plus tordu que sa femme. La formidable raideur glacée de l’acteur musicien sauve Les Apparences de l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La promesse d’un drame conjugal diabolique dans le huis clos d’une bourgeoisie corsetée n’est pas tenue.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Plongée chabrolienne dans les arcanes de la communauté française de Vienne, le film de Marc Fitoussi s'avère sans surprise. Benjamin Biolay y trouve néanmoins son meilleur rôle en chef d'orchestre mutique et inquiétant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Julien Gester
[...] l’intrigue, à trop s’écrire par demi-tons et semi-teintes, oscillant entre thriller et farce sans s’engager où que ce soit, demeure sur le seuil de chacun de ses enjeux pour s’en tenir à un vague rictus et une valse d’artifices.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
L'idée de départ était belle mais on peine à s'attacher à ces personnages sans âme (...).
Positif
par Philippe Rouyer
Après une trop longue mise en place, la dimension psychologique est négligée au profit des rebondissements d’une intrigue qui ne tient pas ses promesses.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Si l’histoire s’avère plutôt bien ficelée au début, en dehors de quelques notes trop appuyées, elle se voit peu à peu encerclée par des rebondissements rocambolesques qui, dans un premier temps, intriguent avant de décourager.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Entre le drame ultra bourgeois et le thriller chabrolien, mais sans beaucoup d'émotions...
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Ces indicateurs à gros sabots du basculement de la comédie de moeurs vers le thriller pourraient bien relever d’un subconscient du film lui-même, assigné à résidence, fermé à tout accident, à tout dehors. Les personnages secondaires exclus du camp des nantis, sont en effet également sous-écrits.
Critikat.com
par Josué Morel
La profusion des pistes narratives et des tonalités n'ouvre que sur un film d’une platitude par instants confondante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télé Loisirs
Diablement efficace !
20 Minutes
On pense à un suspense à la façon d’Alfred Hitchcock devant ce thriller vénéneux.
BIBA
[...] à la fois romantique, esthétique et moralement dérangeant [...].
CNews
Le film rappelle alors l’univers grinçant et l’humour noir des films de Claude Chabrol – où tous les personnages sont emportés dans une valse démoniaque et où les langues se délient au fur et à mesure que les révélations s’amoncellent.
CNews
Cette comédie de moeurs qui dissèque la vie de ces expatriés nageant en apparence dans le bonheur, vacille vers le thriller psychologique et le polar - rappelant l'univers grinçant des films de Claude Chabrol - où tous les personnages sont emportés dans une valse folle.
Femme Actuelle
Un thriller feutré, classique, mais bien mené.
L'Obs
C’est plein de malice, émaillé de clins d’œil discrets à Hitchcock et à De Palma, et porté par une Karin Viard souveraine en néo-bourgeoise dont le vernis de respectabilité se craquelle à mesure qu’elle cherche à sauver la face.
Le Journal du Dimanche
Dans cette chronique chabrolienne délicieusement amorale et cynique, Karin Viard joue à la perfection la comédie des faux semblants et prouve une nouvelle fois qu'elle est une grande actrice avec un personnage d'épouse bafouée, mais prête à toutes les bassesses pour sauver son honneur.
Le Monde
Jouant à sautemouton avec lesgenres, Marc Fitoussi (Copacabana, Pauline détective) engage d’abord son film sur les rails d’une étude de mœurs à laChabrol, avant de le faire dévier vers le film noir à la Clouzot (Les Diaboliques), mâtiné de quelques scènes que n’aurait pas reniées Hitchcock.
Le Parisien
Le ticket Karin Viard- Benjamin Biolay était en l'occurrence la configuration idéale, d'autant que le scénario, en prenant à mi-chemin un tour plus noir, invite les deux acteurs à développer un second souffle qui accélère le rythme et ajoute à leur performance. Sacrée partition!
Les Inrockuptibles
Finement mis en scène, ce thriller psychologique soigne son atmosphère trouble et ses effets de surprise. [...] On pense parfois à Ophuls (pour les apparences, justement), un petit peu à Chabrol (la bourgeoisie, mais pas tant que ça), et surtout à Paul Verhoeven, en plus feutré, plus léger.
Marianne
On ne s’ennuie assurément pas en découvrant Les apparences, une fiction à la fois cocasse et grinçante qui rappelle que les personnages infréquentables, sur le grand écran, sont parfois les plus passionnants.
Paris Match
Un film qui se déguste comme un bon vin, radiographie vacharde des faux-semblants à la mise en scène solide et à l’écriture impeccable.
Première
Un film prenant aux effluves chabroliennes autour de personnages prêts à tout pour ne pas perdre la face… et leur rang.
Télérama
Le réalisateur de Copacabana excelle dans l’observation chabrolienne du théâtre social, et réussit une comédie grinçante.
aVoir-aLire.com
Un casting impeccable pour un polar envoûtant. Marc Fitoussi réussit haut la main son entrée dans le monde du thriller.
Ecran Large
Malgré un point de départ et une mise en scène qui ronronnent trop, le film surprend et divertit grâce au personnage de Karin Viard et à la performance azimutée de l'actrice.
La Croix
Après des comédies, Marc Fitoussi s’essaie au thriller, mais réussit mieux sa chronique d’un milieu de notables français à Vienne.
La Voix du Nord
En adaptant un livre de Karin Alvtegen, Marc Fitoussi a néanmoins le mérite d’entremêler plusieurs registres : le thriller psychologique, le drame sentimental, la comédie ironique et la chronique sociale. Une ambition parfaitement servie par le couple formé par Benjamin Biolay, l’époux désabusé, et Karin Viard, l’épouse trahie, rattrapée par le jeu pervers qu’elle a elle-même enclenché.
Le Figaro
En mettant l’adultère mondain au cœur d’une comédie sociale qui glisse vers le film noir, le réalisateur Marc Fitoussi marche dans les pas de Claude Chabrol.
Les Fiches du Cinéma
Non sans évoquer Chabrol, ce drame explore l’intimité et la cruauté d’une bourgeoisie provinciale. Bien que prévisible, le résultat est un plaisir coupable.
Marie Claire
Le film déçoit un peu dans son versant drame adultérin, mais il se rattrape avec brio quand le réalisateur nous plonge dans ce microcosme d'expatriés VIP qui s'épient les un·es les autres.
Télé 7 Jours
Karin Viard, diabolique en bourgeoise prête à tout pour garder son prestigieux mari, et Benjamin Biolay, ambigu à souhait, sont les pièces maîtresses de ce jeu de faux-semblants, parfois prévisible, quelques fois tiré par les cheveux, mais toujours délicieusement cruel.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Monsieur est Benjamin Biolay, mari manipulateur, bien plus tordu que sa femme. La formidable raideur glacée de l’acteur musicien sauve Les Apparences de l’ennui.
Le Dauphiné Libéré
La promesse d’un drame conjugal diabolique dans le huis clos d’une bourgeoisie corsetée n’est pas tenue.
Les Echos
Plongée chabrolienne dans les arcanes de la communauté française de Vienne, le film de Marc Fitoussi s'avère sans surprise. Benjamin Biolay y trouve néanmoins son meilleur rôle en chef d'orchestre mutique et inquiétant.
Libération
[...] l’intrigue, à trop s’écrire par demi-tons et semi-teintes, oscillant entre thriller et farce sans s’engager où que ce soit, demeure sur le seuil de chacun de ses enjeux pour s’en tenir à un vague rictus et une valse d’artifices.
Ouest France
L'idée de départ était belle mais on peine à s'attacher à ces personnages sans âme (...).
Positif
Après une trop longue mise en place, la dimension psychologique est négligée au profit des rebondissements d’une intrigue qui ne tient pas ses promesses.
Sud Ouest
Si l’histoire s’avère plutôt bien ficelée au début, en dehors de quelques notes trop appuyées, elle se voit peu à peu encerclée par des rebondissements rocambolesques qui, dans un premier temps, intriguent avant de décourager.
Voici
Entre le drame ultra bourgeois et le thriller chabrolien, mais sans beaucoup d'émotions...
Cahiers du Cinéma
Ces indicateurs à gros sabots du basculement de la comédie de moeurs vers le thriller pourraient bien relever d’un subconscient du film lui-même, assigné à résidence, fermé à tout accident, à tout dehors. Les personnages secondaires exclus du camp des nantis, sont en effet également sous-écrits.
Critikat.com
La profusion des pistes narratives et des tonalités n'ouvre que sur un film d’une platitude par instants confondante.