Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Ouest France
par Sylvestre Picard
Une quête initiatique originale, à la fois onirique et réaliste.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Maîtrisé dans son intrigue à tiroirs, sa mise en scène et ses images, "L’Oiseau de paradis", a plus d’une corde à son arc pour séduire.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Malgré ses nombreuses maladresses, ce premier long métrage aux allures de conte fantastique, entièrement tourné à Tahiti, captive par ce qu’il nous montre de l’envers du paradis polynésien.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Positif
par Alain Masson
"L’Oiseau de paradis" offre un tableau riche et sans complaisance de Tahiti [...]. Cette description, bien liée aux événements du récit, est à la fois complexe et précise : c’est l’aspect neuf et passionnant du film. Sa difficulté vient pourtant de ce récit lui-même : celui-ci n’est jamais parfaitement clair.
Première
par Sylvestre Picard
Mais le réalisateur Paul Manate parvient à tisser, en photographiant une Tahiti contemporaine peu vue à l’écran, une jolie ambiance lumineuse, un peu onirique et détendue, qui rattache son film à ses cousins amazonien Los Silencios ou thaïlandais Manta Ray, dans laquelle il est justement assez agréable de se paumer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Paul Manate filme des paysages faussement idylliques où se mêlent beauté et violence, corruption et nature édénique. Sa mise en scène alterne avec brio réalisme social et onirisme dans des images d’une grande sensualité. De quoi compenser le jeu maladroit de certains comédiens non professionnels et le rythme parfois indolent de ce film original déjà sorti en VOD en mai.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Philippe Ridet
Malgré de beaux moments, ce film lourdement symbolique finit par laisser échapper les deux fils qu’il voulait relier, faute de n’en tenir aucun véritablement. Restent des images rares d’une île paradisiaque présentée dans son quotidien sans exotisme ni misérabilisme.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Porté par de belles idées (notamment celle qui consiste à faire chavirer les corps comme des poupées de papier), le film ne parvient pas vraiment à lier sa matière hybride, ce fantastique morcelé de naturalisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Parisien
par Renaud Baronian
Tourné à Tahiti, ce film policier offre quelques belles images, mais demeure maladroit et bancal.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
Une quête initiatique originale, à la fois onirique et réaliste.
Franceinfo Culture
Maîtrisé dans son intrigue à tiroirs, sa mise en scène et ses images, "L’Oiseau de paradis", a plus d’une corde à son arc pour séduire.
La Croix
Malgré ses nombreuses maladresses, ce premier long métrage aux allures de conte fantastique, entièrement tourné à Tahiti, captive par ce qu’il nous montre de l’envers du paradis polynésien.
Positif
"L’Oiseau de paradis" offre un tableau riche et sans complaisance de Tahiti [...]. Cette description, bien liée aux événements du récit, est à la fois complexe et précise : c’est l’aspect neuf et passionnant du film. Sa difficulté vient pourtant de ce récit lui-même : celui-ci n’est jamais parfaitement clair.
Première
Mais le réalisateur Paul Manate parvient à tisser, en photographiant une Tahiti contemporaine peu vue à l’écran, une jolie ambiance lumineuse, un peu onirique et détendue, qui rattache son film à ses cousins amazonien Los Silencios ou thaïlandais Manta Ray, dans laquelle il est justement assez agréable de se paumer.
Télérama
Paul Manate filme des paysages faussement idylliques où se mêlent beauté et violence, corruption et nature édénique. Sa mise en scène alterne avec brio réalisme social et onirisme dans des images d’une grande sensualité. De quoi compenser le jeu maladroit de certains comédiens non professionnels et le rythme parfois indolent de ce film original déjà sorti en VOD en mai.
Le Monde
Malgré de beaux moments, ce film lourdement symbolique finit par laisser échapper les deux fils qu’il voulait relier, faute de n’en tenir aucun véritablement. Restent des images rares d’une île paradisiaque présentée dans son quotidien sans exotisme ni misérabilisme.
Les Inrockuptibles
Porté par de belles idées (notamment celle qui consiste à faire chavirer les corps comme des poupées de papier), le film ne parvient pas vraiment à lier sa matière hybride, ce fantastique morcelé de naturalisme.
Le Parisien
Tourné à Tahiti, ce film policier offre quelques belles images, mais demeure maladroit et bancal.