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Votre avis sur Shazam! La Rage des Dieux ?
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Un bon deuxième film avec une intrigue certes de "déjà vu" mais qui nous donne envie et ponctuée de quelques rebondissements, surtout celui final. De très bons acteurs, des décors et effets de grande qualité. J'ai vraiment bien apprécié ce film.
Avec ce 2eme opus nous sommes dans la continuité du premier, un film d'action pour les jeunes avec de bons effets spéciaux, une histoire simple, des blagues simples mais un bon moment avec les enfants
Shazam! La Fureur des Dieux (2023)
Bataille pour la Ville de l'Amour Fraternel
Une suite aux aventures de la fratrie adoptive de Shazam, qui continue de démontrer ce qu'est une vraie "famille", quels que soient les moyens ou les pouvoirs de ses membres, et l'élargit avec esprit, humour et passion.
Les Dieux sont joués par un casting prestigieux, et le film se termine par un caméo alléchant dont je ne révélerai pas ici l'identité.
Le DCEU semble avoir trouvé ses marques, et on ne peut s'empêcher d'attendre avec impatience son développement à grande échelle, à commencer par le film événement "The Flash" d'ici juin prochain.
4.2/5
Bataille pour la Ville de l'Amour Fraternel
Une suite aux aventures de la fratrie adoptive de Shazam, qui continue de démontrer ce qu'est une vraie "famille", quels que soient les moyens ou les pouvoirs de ses membres, et l'élargit avec esprit, humour et passion.
Les Dieux sont joués par un casting prestigieux, et le film se termine par un caméo alléchant dont je ne révélerai pas ici l'identité.
Le DCEU semble avoir trouvé ses marques, et on ne peut s'empêcher d'attendre avec impatience son développement à grande échelle, à commencer par le film événement "The Flash" d'ici juin prochain.
4.2/5
C'est en regardant Shazzam qu'on se rend compte que le genre "film de superhéros" est usé jusqu'à la corde. DC et Marvel semblent désormais contraints de redire pratiquement toujours la même chose et le box office s'en ressent. Malgré quelques bonnes blagues et une gestion de l'inclusivité bien plus légère et agréable que celle de Marvel, le film reste d'un banalité affligeante.
MediaShow
Retrouvez mon avis sur : https://mediashowbydk.com/shazam-la-rage-des-dieux-sur-les-chemins-noirs-apaches-bonne-conduite/
Après un premier volet fort décevant trop axé sur l’humour (et donc contraire à l’univers introduit par Zack Snyder), David F. Sandberg revient dans les salles obscures avec un second opus : Shazam! La Rage des Dieux. Un choix particulièrement étonnant de la part des studios Warner Bros de sortir une deuxième aventure sur ce super-héros plutôt que d’étendre l’univers DC au cinéma avec d’autres protagonistes. Dans cette suite, Billy Batson, alias Shazam, va devoir affronter les Filles de l’Atlas, librement inspirées des Hespérides dans la mythologie grecque. Une certaine façon pour le réalisateur d’introduire les origines du pouvoir de Shazam mais malheureusement, le résultat n’est une nouvelle fois pas à la hauteur des attentes et, après un Black Adam décevant, le Snyderverse est définitivement enterré. Une fois encore, l’humour peine à porter ses fruits et vient briser les quelques atouts de ce long-métrage. Mais au-delà de ce défaut, David F. Sandberg ne se contente que du minimum côté scénario avec une intrigue banale et qui ne fait aucun effort pour se démarquer dans le registre… La routine quoi… des supers vilains qui viennent sur Terre pour se venger et détruire l’humanité… Quelle originalité !
Au milieu des péripéties et des rebondissements, ce deuxième volet conserve tout de même un certain attachement pour cette « Shazam Family », avec quelques scènes divertissantes mais, dans l’ensemble, le film ne trouve pas le bon équilibre avec une trame narrative bancale et des supers-méchants vraiment kitchs… Le dernier acte livre tout de même du grand spectacle avec une scène d’affrontement titanesque et ambitieuse ainsi qu’un caméo surprise. Côté mise en scène, les effets spéciaux et la photographie sont soignées tandis que les costumes des super-méchantes laissent à désirer… Enfin, la distribution est honorable, portée par Zachary Levy, toujours aussi amical.
Après un premier volet fort décevant trop axé sur l’humour (et donc contraire à l’univers introduit par Zack Snyder), David F. Sandberg revient dans les salles obscures avec un second opus : Shazam! La Rage des Dieux. Un choix particulièrement étonnant de la part des studios Warner Bros de sortir une deuxième aventure sur ce super-héros plutôt que d’étendre l’univers DC au cinéma avec d’autres protagonistes. Dans cette suite, Billy Batson, alias Shazam, va devoir affronter les Filles de l’Atlas, librement inspirées des Hespérides dans la mythologie grecque. Une certaine façon pour le réalisateur d’introduire les origines du pouvoir de Shazam mais malheureusement, le résultat n’est une nouvelle fois pas à la hauteur des attentes et, après un Black Adam décevant, le Snyderverse est définitivement enterré. Une fois encore, l’humour peine à porter ses fruits et vient briser les quelques atouts de ce long-métrage. Mais au-delà de ce défaut, David F. Sandberg ne se contente que du minimum côté scénario avec une intrigue banale et qui ne fait aucun effort pour se démarquer dans le registre… La routine quoi… des supers vilains qui viennent sur Terre pour se venger et détruire l’humanité… Quelle originalité !
Au milieu des péripéties et des rebondissements, ce deuxième volet conserve tout de même un certain attachement pour cette « Shazam Family », avec quelques scènes divertissantes mais, dans l’ensemble, le film ne trouve pas le bon équilibre avec une trame narrative bancale et des supers-méchants vraiment kitchs… Le dernier acte livre tout de même du grand spectacle avec une scène d’affrontement titanesque et ambitieuse ainsi qu’un caméo surprise. Côté mise en scène, les effets spéciaux et la photographie sont soignées tandis que les costumes des super-méchantes laissent à désirer… Enfin, la distribution est honorable, portée par Zachary Levy, toujours aussi amical.
"Shazam! La Rage des Dieux", film de super-héros américain réalisé par David F. Sandberg, sorti en 2023. Douzième adaptation au cinéma des bande-dessinées DC comics, dont font partie Superman, Wonder-Woman ou ici Shazam, apparu en 1940 sous le nom "Captaine Marvel".
Suite du film "Shazam" du même réalisateur sorti en 2019.
Une grosse production bien réalisée, avec un peu d'humour, ce qui rend le divertissement sympathique.
Suite du film "Shazam" du même réalisateur sorti en 2019.
Une grosse production bien réalisée, avec un peu d'humour, ce qui rend le divertissement sympathique.
pour moi le plus gros probleme de ce film (sans compté les decors Ideux style lolympe) c'est vraiment les incoherence scenaristique! je ne parle pas du scenario qui est pas trop mal en vérité non je parle vraiment du fait que le film a sans arrêt le cul entre deu chaise il ne sait pas ou ce situer.
Le meilleur exemple reste dans la mort je m'explique a un moment l ennemie tue un etre humain qui n'a rien demandé et l instant d apres alors qu'elle peuvent tuer un hero du film non seulement elle ne le tue pas mais elle le laisse s'echapper pour apres le capturer et enfin tenter de le tuer...ça n'a aucun sens
et pour aucune raison mais alors vraiment aucune le hero devient subitement plus fort que les ennemies alors qu il ont trouver un dragon...
p
Le film commençait pourtant pas trop malour vous dire a quel point ça va loin pendant un affrontement le hero va parler à sa famille CA n 'a AUCUN SENSE!
et apres "ouin , ouin ont comprend pas le film ne marche pas"
Le meilleur exemple reste dans la mort je m'explique a un moment l ennemie tue un etre humain qui n'a rien demandé et l instant d apres alors qu'elle peuvent tuer un hero du film non seulement elle ne le tue pas mais elle le laisse s'echapper pour apres le capturer et enfin tenter de le tuer...ça n'a aucun sens
et pour aucune raison mais alors vraiment aucune le hero devient subitement plus fort que les ennemies alors qu il ont trouver un dragon...
p
Le film commençait pourtant pas trop malour vous dire a quel point ça va loin pendant un affrontement le hero va parler à sa famille CA n 'a AUCUN SENSE!
et apres "ouin , ouin ont comprend pas le film ne marche pas"
Un film dans la lignée du précédent, la surprise en moins. Le personnage rigolo de DC est do'c de retour dans une aventure où il affronte avec ses pseudo frères et soeurs 3 déesses, filles d'Atlas.
Place est donc laissée à ces "power rangers" là où le 1er opus accordait davantage d'importance au héros éponyme.
ça se laisse regarder donc comme un bon épisode de X-or ou de Bioman. C'est pas mauvais, ça fait passer le temps mais ce n'est évidemment pas inoubliable.
Place est donc laissée à ces "power rangers" là où le 1er opus accordait davantage d'importance au héros éponyme.
ça se laisse regarder donc comme un bon épisode de X-or ou de Bioman. C'est pas mauvais, ça fait passer le temps mais ce n'est évidemment pas inoubliable.
Dans le florilège de super-héro·ïnes qui ouvre le générique des films DC, on a Superman et Batman, incontournables, Aquaman, Wonder Woman, Flash, même l’improbable Green Lantern mais pas Shazam. C’est très injuste alors que le personnage a déjà droit à ses deux films et que le premier fut un vrai bon gros coup de dépoussiérage. Voyons ce qu’il en est du second opus.
En parlant de poussières, on notera le maquillage très mal foutu de Lucy Liu et Helen Mirren d’entrée de jeu : ma grand-mère devait porter à peu près autant de couches de poudre de riz à la fin des années ‘70. Je trouve qu’on pousse le goût du vintage un peu loin !
Pouf pouf.
Point positif, on voit, enfin ! des ados avec des boutons d’acné. Sans rire, avez-vous déjà remarqué le nombre incalculables de films où les adolescent·es, héros, héroïnes, ou non, arborent une peau incroyablement lisse ?
Pouf pouf.
Démarrant sur un mode réaliste, l’histoire de Shazam/Billy Batson ne pouvait s’échapper des considérations sociales vécues par des super-héros ancrés dans la réalité de leur âge, comme cela a été plutôt bien développé dans les trois séries Spider-Man de la concurrence. Passage obligé, donc, qui ralentit quelque peu le début de ce second Shazam.
Quand on repasse à l’Olympe, façon Minas Tirith, on peut s’étonner de l’absence de références à l’univers de Wonder Woman spoiler: , même si… . Il est d’ailleurs assez notable que ni Henry Cavill dans le film précédent, ni Gal Gadot dans celui-ci n’aient eu la présence d’esprit de faire une apparition. Même si ça doit donner une scène assez hilarante sur fond de Tour Eiffel.
Drôle, le premier opus l’était. Ici, il faut attendre trois bons quarts d’heure pour que ça décolle. Mais quand ça le fait, ça le fait bien. On retrouve en effet l’aspect parodique même si les deux actrices connues s’avèrent être aussi les plus tartes (et je ne parle pas que du gâteau de poudre de riz cité plus haut).
Hélas, cédant à la surenchère fantastico-mythologique, l’histoire tourne vite au grand n’importe quoi, spécialité, hélas, des super-productions américaines qui se targuent de toucher aux légendes anciennes, ce qui était traité de manière autrement plus subtile dans le premier film.
A force de répétitions et de circonvolutions inutiles, la sauce prend donc beaucoup difficilement dans ce second opus et c’est franchement dommage. spoiler: La fin (avec enfin Gal Gadot, plus belle que jamais) ne rachète hélas pas l’ensemble. Dommage.
En parlant de poussières, on notera le maquillage très mal foutu de Lucy Liu et Helen Mirren d’entrée de jeu : ma grand-mère devait porter à peu près autant de couches de poudre de riz à la fin des années ‘70. Je trouve qu’on pousse le goût du vintage un peu loin !
Pouf pouf.
Point positif, on voit, enfin ! des ados avec des boutons d’acné. Sans rire, avez-vous déjà remarqué le nombre incalculables de films où les adolescent·es, héros, héroïnes, ou non, arborent une peau incroyablement lisse ?
Pouf pouf.
Démarrant sur un mode réaliste, l’histoire de Shazam/Billy Batson ne pouvait s’échapper des considérations sociales vécues par des super-héros ancrés dans la réalité de leur âge, comme cela a été plutôt bien développé dans les trois séries Spider-Man de la concurrence. Passage obligé, donc, qui ralentit quelque peu le début de ce second Shazam.
Quand on repasse à l’Olympe, façon Minas Tirith, on peut s’étonner de l’absence de références à l’univers de Wonder Woman spoiler: , même si… . Il est d’ailleurs assez notable que ni Henry Cavill dans le film précédent, ni Gal Gadot dans celui-ci n’aient eu la présence d’esprit de faire une apparition. Même si ça doit donner une scène assez hilarante sur fond de Tour Eiffel.
Drôle, le premier opus l’était. Ici, il faut attendre trois bons quarts d’heure pour que ça décolle. Mais quand ça le fait, ça le fait bien. On retrouve en effet l’aspect parodique même si les deux actrices connues s’avèrent être aussi les plus tartes (et je ne parle pas que du gâteau de poudre de riz cité plus haut).
Hélas, cédant à la surenchère fantastico-mythologique, l’histoire tourne vite au grand n’importe quoi, spécialité, hélas, des super-productions américaines qui se targuent de toucher aux légendes anciennes, ce qui était traité de manière autrement plus subtile dans le premier film.
A force de répétitions et de circonvolutions inutiles, la sauce prend donc beaucoup difficilement dans ce second opus et c’est franchement dommage. spoiler: La fin (avec enfin Gal Gadot, plus belle que jamais) ne rachète hélas pas l’ensemble. Dommage.
« Contente-toi de sauver le monde, petit »
Tentant de résoudre l’aporie qui est d’allier adolescence et les charges super-héroïque, les trois filles d’Atlas sont désireuses d’enlever leurs superpouvoirs à notre famille de demi-dieux.
Même si ce second volet est assez anecdotique, il reste un divertissement plaisant. Cette fois-ci, l’aspect blockbuster conventionnel a davantage pesé que le côté comédie même si l’humour potache est toujours présent. Une dernière demi-heure qui semblera familière à tous les fans de super-héros tant cette musique à base d’action et de pyrotechnies avec son dragon ridicule et moche. L’humour ne peut pas rattraper toute la vacuité de la fin.
Tentant de résoudre l’aporie qui est d’allier adolescence et les charges super-héroïque, les trois filles d’Atlas sont désireuses d’enlever leurs superpouvoirs à notre famille de demi-dieux.
Même si ce second volet est assez anecdotique, il reste un divertissement plaisant. Cette fois-ci, l’aspect blockbuster conventionnel a davantage pesé que le côté comédie même si l’humour potache est toujours présent. Une dernière demi-heure qui semblera familière à tous les fans de super-héros tant cette musique à base d’action et de pyrotechnies avec son dragon ridicule et moche. L’humour ne peut pas rattraper toute la vacuité de la fin.
Vraiment cool sa détend juste un peu long à mon avis. Le 1 était meilleur de mon point de vu mais le 2 reste pas mal on reste sur une bonne dynamique
Un film sur des super-héros qui sont à la fois sur terre et dans le cosmos,
spoiler:
j'ai vu le film pour DC comics
sinon je ne m'intéresse pas à la grèce antique mis a part quelques décors kitch, spoiler: le fast-food
je préfère Jonnah Hex le western!
sinon je ne m'intéresse pas à la grèce antique mis a part quelques décors kitch, spoiler: le fast-food
je préfère Jonnah Hex le western!
Peut être une mauvaise pub autour de ce film, car Shazam a su apprendre de ces erreurs pour nous réaliser un Shazam 2 bien au delà de nos attentes. Ce film est clairement sous coté j'ai passé un très bon moment.
Un film qui pourrait être top ... mais au final vraiment trop gamin .... dommage les effets son plutôt sympa et les créatures top !
Shazam! La rage des dieux est un excellent film. Le concept du premier film m'avait emballé et je l'avais adoré et donc ce deuxième opus est aussi, réussi!
Humour décalé voir potache mais on assume
Humour décalé voir potache mais on assume
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