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Un visiteur
5,0
Publiée le 27 juin 2019
Une comédie très très sympathique devant laquelle on est sûr de passé un bon moment ! Le scenario est top et les acteurs sont très bien choisis ! Pas étonnant qu'il est reçu le prix un certain regard à Cannes, Monia Chokri nous montre une relation frère / sœur comme on en voit rarement au cinéma, et c'est bien agréable ! Et puis ce petit accent québecois en plus... on adore !
C'est très long, sans intérêt. Les personnages sont moches et on se demande ce qu'on est venu faire dans cette galère... Une scène de fin ridicule avec ces barques sur un étang et une musique de naze... Pourtant, je suis bon public... À éviter.
on ne voit pas l'intérêt de ce film , trop de gros plans ,photos pas terrible . les acteurs sont bons et le dialogue parfois drôle mais c e n'est pas suffisant
Tres mal éclairé ,mal filmé histoire sans intérêt et le dernier plan est affligeant heureusement il ya de bon acteurs etquelques répliques savoureuses même si les sous-titres nécessaires je souhaites pas enfoncé d’avantage ce film
Un tres beau film , aussi drole que touchant , des repliques hilarantes sur un fond feministe traite avec beaucoup d humour ; On en sort super joyeux , un vrai bonheur ! Que ca fait du bien !!! Merci !
En passant derrière la caméra pour réaliser ce film, l’actrice canadienne Monia Chokri, révélée par Xavier Dolan, a, très probablement, largement puisé son inspiration dans sa propre expérience. Elle s’applique à faire le portrait de ce qu’on s’accorde à appeler une « adulescente », en l’occurrence Sophia (formidablement interprétée par Anne-Elisabeth Bossé), une habitante de Montréal d’une trentaine d’années dont le comportement est donc plus ou moins celui d’une ado attardée. La jeune femme est par ailleurs diplômée et cultivée, ce qui n’est pas du tout incompatible avec ses manières très juvéniles. Sophia passe volontiers du temps avec ses parents, mais surtout reste très attachée à son frère Karim (Patrick Hivon) au point d’avoir élu domicile chez lui et de passer le plus possible de son temps avec lui. Leur relation fusionnelle quoique sans ambiguïté est faite de complicité mais aussi de disputes. Ces dernières ont d’ailleurs bientôt tendance à se multiplier lorsque Karim s’éprend d’Eloïse (Evelyne Brochu), la gynécologue de sa sœur ! Sophia elle-même est bientôt courtisée par Jasmin (Mani Soleymaniou), un garçon à la fois drôle, sympa et maladroit. Le film va à toute allure, il se compose de plans le plus souvent très brefs et il est construit de manière à relancer constamment l’attention. Il faut remarquer les quelques plages musicales, très agréables. Tout cela pétille (peut-être parfois un peu trop) et ne manque ni de fantaisie ni de charme.
Comédie qui est sensé développer pas mal d'idees sociétales parfois réussies mais qui s' avere au bout du compte fatigante à regarder avec une héroïne assez agassante. ( Laccent québécois n'arrangeant rien à la compréhension ).
"La femme de mon frère" est le premier long-métrage de l'actrice Monia Chokri. Elle dresse le portrait d'une trentenaire qui est très différente des autres femmes de son âge. Sophia est au chômage, malgré elle, et célibataire. Elle ne veut pas avoir d'enfants alors que ses amies sont toutes en train de fonder une famille. Elle partage le plus clair de son temps avec Karim, son frère, que l'on peut prendre pour son copain au début du film tant les deux sont proches et donnent l'air de flirter, ce qui n'est évidemment pas le cas. Elle ne sait pas quel sens donner à sa vie et a du mal à exister en tant que personne. Il s'agit d'une vraie comédie familiale avec des personnages hauts en couleur. C'est décalé, parfois déjanté, et les dialogues sont particulièrement bien écrits. La scène du premier dîner familial est vraiment drôle et réussie. C'est donc un film avec de vraies qualités, mais qui peine à tenir sur la durée. Si l'énergie du récit et l'exubérance des personnages font merveille durant la première partie du film, cela produit l'inverse pendant le reste du film qui est un peu plus «fatiguant» à ce niveau. Un peu plus de retenue et de sobriété n'auraient pas fait de mal. Au final, c'est un film qui se laisse regarder sans problème, mais sans plus.
Cadrage, mise en scène, montage sont à la mode. Serré, dynamique et très préparé. Le film me semble manquer un peu de naturel à cause de sa trop grande maîtrise. Au début, j ai essayé de lire ce qui était marqué sur les T-shirt, les textes à voir, mais les séquences étaient bien trop courtes, je n avais pas le temps de regarder l image, lire les sous titres et les autres textes. Le film fuse trop et m a souvent perdu.
Il y a des moments de répits, mais comme j avais raté une bonne partie de ce qui précédait, ces temps m ont semblé longs et mal placés.. image trop souvent en mouvement, trop de dialogues. Il me semble que c est une erreur de commencer par la scène de l entretien de recrutement du professeur.. Le film accélère trop vite, on n a pas lr temps de s acclimater à la langue, aux sous-titres, que déjà il y a plusieurs personnes qui parlent en même temps. Bien sûr on comprend la substantifique moelle mais je pense que cela perd le spectateur.
Peut être le film passe t il mieux pour les canadiens francophones.
Un peu fouilli mais plein de bons moments (manquent souvent les sous titres pour le "patois" québécoise) et de passages mémorables. A noter la bande son particulièrement intéressante et variée qui rien que pour elle, mérite la vision ce film. La fin est surprenante (On n'est pas sûr de comprendre le message) mais magnifique en soi, toujours grâce à la musique.
Je me suis franchement ennuyé pendant ce film. On nous balance ici un schéma vu 1.000 fois mais dont la mise en scène n’a rien de particulier. C’est comme faire des pâtes sans sel. On connaît le produit et en plus c’est fade. Le dérouler est assez prévisible et il n’y a aucun passage qui m’a fait rentrer dans une certaine réflexion. Ce qui est dommage car c’est généralement le but de ce genre de film, faire réagir. Le pire, c’est que je pensais au moins qu’il voulait sortir des codes dictés par la société du « le bonheur c’est la norme », mais pas du tout, on fonce en plein dedans. Un final qui m’a carrément fait regretter de mettre assis dans la salle. Pourtant, certaines scènes auraient pu avoir du potentiel mais ça part trop dans l’excès inutilement. On a compris, c’est une pseudo révoltée anti-bonheur, mais pas la peine de pousser cela si loin dans les seuls cas où il y avait quelques choses à tirer. Ça avait peut-être pour but de nous faire rire, après tout on est devant une comédie. En tout cas pour ma part ça n’a pas été le cas. À aucun moment je n’ai rigolé. Pour ne rien arranger, je n’ai pas apprécié le jeu d'Anne-Elisabeth Bossé que j’ai trouvé assez lourd. Par contre, Patrick Hivon qui joue son frère, s’en sort remarquablement bien. Il fallait bien finir cette critique sur un petit point positif.
J'ai adoré ce film. Un rythme enlevé, voire effréné, des dialogues percutants qui se succèdent et des situations cocasses. Charmante comédie avec une comédienne très drôle, les parents sont géniaux, et les seconds rôles réussis. Avec de belles idées de mise en scène en prime! Pas étonnant qu'il ait reçu le prix coup de coeur du jury à Cannes.