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nadège P.
134 abonnés
538 critiques
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1,0
Publiée le 29 juin 2019
Je n'ai pas du tout aimé l'ambiance générale que j'ai trouvé vraiment désagréable. Aussi la réalisation laisse vraiment à désirer, c'est cheap, assez laid et les dialogues au secours. On ressort de ce film lessivé par tant de remue-ménage et avec un haut le coeur en raison d'un film vraiment pas beau à regarder.
nul de chez nul . j'ai faillis m'endormir plusieurs fois chose très rare pour moi .Mais la bande annonce comporte les seuls moments comique . Après il n'y plus rien
Écrire un commentaire « La Femme de mon Frère » est une pépite et petite bombe d’idées crépitantes, un humour très caustique assumé, que de folie et de bonne énergie qui se dégage de ce film, frais avec le vent de l’originalité en poupe. Le prix un certain regard qui prend tout son sens tant la réalisatrice fait preuve d’imagination et d’imagerie qui tendent à sublimer l’esprit
Monia Chokri débarque avec son premier film et insuffle une fraîcheur et un ton très original. La Femme de mon Frère est un film drôle et jouissif ou les mots et les jeux de mots fusent, dans une langue, le québécois, qui apporte déjà à elle toute seule, un ton, une drôlerie. Les mésaventures de Sofia sont les nôtres. L‘amour, le travail l’amitié et les relations frère et sœur sont au cœur de cette comédie generationnelle joyeuse et folle. Rafraîchissante à souhait en ces jours de canicule...
Absolument consternant, inintéressant, braillard et même pas drôle. Qui plus est, les paroles sont souvent incompréhensibles, à tel point que, parfois, elles sont sous-titrées mais pas toujours au bon moment. Quelle déception pour le cinéma québécois qui est si créatif !
Monia Chokri est une actrice québécoise reconnue, notamment pour être une fidèle du jeune prodige Xavier Dolan. Elle passe pour la première fois derrière la caméra et nous livre son premier film, « La femme de mon frère ». On retrouve d’ailleurs sur pas mal d’aspects des réminiscences de l’œuvre de son compatriote canadien. Par exemple, dans cette tonalité un peu iconoclaste et/ou poétique qui enrobe tout le long-métrage ou dans la manière dont la jeune cinéaste appréhende les rapports humains, familiaux et amoureux notamment. Sur la forme également, il y a des similitudes. Mais elle n’est pas dans le plagiat ni la pâle copie et elle parvient parfaitement à créer un univers qui lui est propre, une voie plus féminine, moins queer, un peu le pendant québécois d’une Greta Gerwig américaine (qui joue dans « Frances Ha » ou qui a réalisé « Lady Bird »).
La voie qu’emprunte Chokri est celle, souvent en partie autobiographique, de la chronique féminine d’une trentenaire paumée. Le titre est un peu trompeur car le film ne se focalise aucunement sur une relation triangulaire entre une sœur, un frère et la compagne de ce dernier. C’est juste l’une des constituantes principales du scénario mais pas son unique fil directeur. En effet, « La femme de mon frère » pourrait être qualifiée de comédie dramatique mais une comédie dramatique centrée avant tout sur le portrait d’une jeune femme de notre époque, oscillant entre gravité (un peu) et légèreté et humour (beaucoup). A ce titre, le long-métrage est souvent assez caustique avec de bonnes réparties et pas mal de situations plutôt drôles. Néanmoins, l’humour ne fonctionne pas à tous les coups. Et si le film est très bavard, c’est néanmoins souvent bien écrit, particulièrement dans des seconds rôles croquignolets.
On sera un peu plus réservé sur la mise en scène, qui n’est pas proprement renversante ni innovante - elle apparaît même parfois un peu vieillotte - mais qui laisse parfois échapper un certain cachet suranné qui fait tout son charme. Le problème principal de ce premier essai est en revanche sa durée. « La femme de mon frère » est en effet bien trop long. Ces longueurs tout autant que certaines scènes qui s’étirent, comme l’interminable plan final, nuisent clairement au plaisir que l’on prend à découvrir ce film. Raccourci de vingt bonnes minutes, on aurait évité l’ennui pointant parfois et le résultat aurait été bien plus pertinent. Mais c’est souvent le propre des premières œuvres d’être trop généreuses et d’avoir ce type de défauts. En revanche, s’il faut souligner quelque chose c’est bien l’osmose qu’il y a entre la comédienne principale (impeccable Anne-Elisabeth Bossé) et Patrick Hivon. Tous deux jouent une sœur et un frère dont la relation à l’écran est retranscrite de la manière la plus sincère, naturelle et réaliste qui soit. La complicité créée entre les deux personnages (et les deux acteurs) est criante de vérité. C’est l’atout principal de ce long-métrage à la fois charmant, délicat, gentiment impertinent mais parfois un peu excessif.
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Insoutenable de nullité. Ce film est une arnaque, tout est moche, la BO, les décors, les costumes, la lumière, les dialogues, TOUT! C'est long et ennuyeux et pas drole du tout. ARNAQUE TOTALE
Je confirme la critique de Kevin sdrigotti, ça correspond tout à fait à ce que j’ai ressenti , l’affiche m’avait inspiré... Je suis extrêmement déçue, c’est sans intérêt, dommage 🥺
Un bon tiers des spectateurs avait déjà quitté la salle à la moitié du film. La masturbation intellectuelle n’est pas ma tasse de thé, et je n’arrive pas à m’extasier sur un navet que rien ne sauve. Je suis probablement bien moins intelligent que les critiques, dont les notes m’ont incité à aller voir ce film, et qui m’ont fait perdre ma soirée.
J'ai trouvé ce film dans l'ensemble assez confus, avec des passages carrément incompréhensibles... Mais il faisait tellement chaud dehors et mon goût prononcé pour la culture Québécoise sont les seuls indices à m'avoir permis réellement de mettre la moyenne...
Révélée par Xavier Dolan dans « Les amours imaginaires » et « Laurence Anyways », Monia Chokri se lance dans la réalisation avec un premier film présenté en sélection Un Certain Regard à Cannes 2019. « La femme de mon frère » nous emmène à Montréal avec Sophia une jeune femme diplômée mais sans emploi. Elle vit chez son frère avec qui elle entretient une relation fusionnelle. Lorsque celui-ci tombe éperdument amoureux d’Eloïse, la gynécologue de Sophia qui vient de l’avorter, cette dernière commence à se sentir délaisser. Une crise existentielle la traverse laissant au spectateur une multitude de situations dépresso-abracadabrantes. L’influence Dolan est bien présente dans « La Femme de mon frère », mais la réalisatrice opte pour un ton bien plus comique. Peut-être un peu trop long, le long-métrage tire néanmoins sa force dans sa légèreté, l’incroyable complicité d’Anne-Elisabeth Bossé et Patrick Hivon à l’écran et une once de liberté féministe. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Le cinéma québécois peut nous réserver le pire comme le meilleur. Malheureusement, ce film regroupe tout ce qu'il y a de plus mauvais dans le ciné canadien francophone : une histoire qui aurait pu être intéressante, mais gâchée par une mise en scène non maîtrisée qui a 40 ans de retard, des dialogues excessivement bavards et intellectualisés à l'extrême, des acteurs (pourtant bons ailleurs) qui surjouent en permanence toutes les situations et toutes les émotions, une bande-son iconoclaste sans vraiment de rapport avec les images sur lesquelles elle se pose... On à l'impression de regarder un film qui ne sait pas s'il doit être une comédie américaine ou du cinéma d'auteur français. Et tout ça sur deux heures, alors qu'un gros 80 minutes aurait laaaaaargement suffit. Bref, prétentieux, ni drôle ni profond... en deux mots : chiant et raté.
" A quel moment on définit quelqu'un comme sportif ? C'est comme l'alcoolisme, c'est flou" ! Une des répliques qui m'ont fait rire. Un film plein d'énergi et drôle (mention au copain maladroit et timide, et une apparition très amusante de Niels Schneider !). Un bon moment donc !