Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
[...] le film oscille en permanence entre comédie pure et dure, folie douce et émotion discrète.
Ouest France
par La Rédaction
Un film charmant, porté par la performance électrique de Anne-Elisabeth Bossé.
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Avec "La Femme de mon Frère", acerbe, fin, touchant et surtout très drôle, Mona Chokri signe son premier film sans prétention, mais avec style et panache.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
La Femme de mon frère fourmille de tentatives, lance des idées et des répliques à tout va, et cette générosité fait aussi partie du plaisir que l’on prend aux petits malheurs de Sophia, et que le personnage lui-même apprend lentement à retrouver.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Une merveille de mélancolie et de méchanceté déguisée en bonbon pop.
Elle
par Françoise Delbecq
Une comédie déjantée et euphorisante.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Car cette comédie féministe est souvent désopilante. Le mérite en revient à l’éreintante Anne-Elisabeth Bossé, qui ose tout dans ce rôle d’une Bridget Jones intello ou d’une Frustrée moderne de Bretécher.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Sur un rythme enlevé, voire effréné, se succèdent dialogues percutants et situations cocasses.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Sophia, comme le sont les grandes héroïnes modernes (plus "Fleabag" que "Bridget Jones") possède cet insupportable et jouissif don de la répartie comique qui lui permet de feindre le détachement, préférant aux pleurs le rire sardonique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Comme sa protagoniste, le film s’agite un peu tous azimuts, tour à tour attachant et exaspérant, jusque dans sa forme – montage hystérique, punchlines débitées à la mitraillette, brassage de référents allant de la Nouvelle Vague à Xavier Dolan, dans les films duquel Monia Chokri a joué.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Un premier film réjouissant.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Quelque part entre "Frances Ha", "Filles perdues, cheveux gras" et l'humour noir de la série animée "Daria", "La femme de mon frère" avec son titre rohmérien et ses exubérances formelles, est un effeuillage par le plein qui a tout pour devenir culte.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
La réalisatrice Monia Chokri observe la complexité des liens familiaux avec une bienveillance aigüe, un ton bien à elle, irrésistible et cruel. Elle se garde des généralités, mais en peignant cet amour fraternel, offre à tous un miroir.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Mathilde Blottière
Un premier long métrage décapant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par La Rédaction
Une fable réjouissante qui, raconte, à coups de répliques absolument malicieuses, la difficulté pour une jeune-femme canadienne à exister. Un coup de force pour un premier long-métrage.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
(...) une comédie de famille truculente, avec une humoriste québécoise que l'on ne connaissait pas et qui a un sacré abattage : Anne-Elisabeth Bossé.
Franceinfo Culture
par Lorenzo Ciavarini Azzi
C'est là que le film s'enlise quelque peu perdant de son originalité même s'il gagne quelques belles scènes avec l'excellente Evelyne Brochu.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
L'actrice, devenue réalisatrice, n'échappe pas aux afféteries d'un premier long-métrage : trop long, trop découpé, plans audacieux mais inutiles. Pourtant il se dégage une énergie débordante, un humour certain et une sensibilité pleine de finesse et de pudeur.
Le Monde
par Murielle Joudet
Si l’inventivité ne manque pas chez Monia Chokri, le dosage fait souvent défaut.
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film québécois bourré de fantaisie, d’ironie et de charme, avec des dialogues souvents hilarants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Vincent Thabourey
Mais les bons mots et les dérapages successifs sont malheureusement surlignés par une mise en scène catatonique.
Première
par Frédéric Foubert
Mais La Femme de mon frère ne serait pas grand-chose sans l’abattage et l’engagement burlesque d’Anne-Elisabeth Bossé (déjà croisée dans... Laurence Anyways !). Une vraie révélation. Qui sait ? Elle réalisera peut-être un jour des films influencés par ceux de Monia Chokri.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par A.V.
Un premier film grave et léger, une bombe de névroses et d'énergie.
Critikat.com
par Thomas Lequeu
Monia Chokri récite besogneusement la leçon apprise chez Xavier Dolan, dont les atours kitschs et vintages ne constituent pas l'unique point de référence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Jonathan Trullard
Bien reçu à Cannes, le film de Monia Chokri ne parvient pas à nous émouvoir, trop empêché par une hystérisation qui finit par lasser, impression de tenir la chandelle devant ce couple fraternel, comme Sophia la tient, dans le film, face à son frère et sa conquête.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Seuls les repas familiaux avec les parents (lui maghrébin, elle québécoise comme ceux de la réalisatrice), des intellectuels engagés et passionnés, fournissent quelques moments jubilatoires au milieu d’un film nombriliste et bavard, qui finit globalement par susciter l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Le premier film de Monia Chokri fait beaucoup d’efforts pour être drôle, sans toujours y parvenir et au détriment de l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une bonne idée de scénario, mais qui se perd dans un tohu-bohu général, un accent québécois à couper au couteau, une interprétation excessive, et une surcharge qui frise l’hystérie.
Le Figaro
par La Rédaction
Monia Chokri, actrice vue notamment chez Xavier Dolan, signe un premier film en forme d’autofiction. Le portrait d’une trentenaire, genre Bridget Jones québécoise, plus hystérique que drôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
BIBA
[...] le film oscille en permanence entre comédie pure et dure, folie douce et émotion discrète.
Ouest France
Un film charmant, porté par la performance électrique de Anne-Elisabeth Bossé.
Bande à part
Avec "La Femme de mon Frère", acerbe, fin, touchant et surtout très drôle, Mona Chokri signe son premier film sans prétention, mais avec style et panache.
Cahiers du Cinéma
La Femme de mon frère fourmille de tentatives, lance des idées et des répliques à tout va, et cette générosité fait aussi partie du plaisir que l’on prend aux petits malheurs de Sophia, et que le personnage lui-même apprend lentement à retrouver.
CinemaTeaser
Une merveille de mélancolie et de méchanceté déguisée en bonbon pop.
Elle
Une comédie déjantée et euphorisante.
L'Obs
Car cette comédie féministe est souvent désopilante. Le mérite en revient à l’éreintante Anne-Elisabeth Bossé, qui ose tout dans ce rôle d’une Bridget Jones intello ou d’une Frustrée moderne de Bretécher.
Le Journal du Dimanche
Sur un rythme enlevé, voire effréné, se succèdent dialogues percutants et situations cocasses.
Les Inrockuptibles
Sophia, comme le sont les grandes héroïnes modernes (plus "Fleabag" que "Bridget Jones") possède cet insupportable et jouissif don de la répartie comique qui lui permet de feindre le détachement, préférant aux pleurs le rire sardonique.
Libération
Comme sa protagoniste, le film s’agite un peu tous azimuts, tour à tour attachant et exaspérant, jusque dans sa forme – montage hystérique, punchlines débitées à la mitraillette, brassage de référents allant de la Nouvelle Vague à Xavier Dolan, dans les films duquel Monia Chokri a joué.
Marie Claire
Un premier film réjouissant.
Paris Match
Quelque part entre "Frances Ha", "Filles perdues, cheveux gras" et l'humour noir de la série animée "Daria", "La femme de mon frère" avec son titre rohmérien et ses exubérances formelles, est un effeuillage par le plein qui a tout pour devenir culte.
Sud Ouest
La réalisatrice Monia Chokri observe la complexité des liens familiaux avec une bienveillance aigüe, un ton bien à elle, irrésistible et cruel. Elle se garde des généralités, mais en peignant cet amour fraternel, offre à tous un miroir.
Télérama
Un premier long métrage décapant.
aVoir-aLire.com
Une fable réjouissante qui, raconte, à coups de répliques absolument malicieuses, la difficulté pour une jeune-femme canadienne à exister. Un coup de force pour un premier long-métrage.
Dernières Nouvelles d'Alsace
(...) une comédie de famille truculente, avec une humoriste québécoise que l'on ne connaissait pas et qui a un sacré abattage : Anne-Elisabeth Bossé.
Franceinfo Culture
C'est là que le film s'enlise quelque peu perdant de son originalité même s'il gagne quelques belles scènes avec l'excellente Evelyne Brochu.
L'Express
L'actrice, devenue réalisatrice, n'échappe pas aux afféteries d'un premier long-métrage : trop long, trop découpé, plans audacieux mais inutiles. Pourtant il se dégage une énergie débordante, un humour certain et une sensibilité pleine de finesse et de pudeur.
Le Monde
Si l’inventivité ne manque pas chez Monia Chokri, le dosage fait souvent défaut.
Le Parisien
Un film québécois bourré de fantaisie, d’ironie et de charme, avec des dialogues souvents hilarants.
Positif
Mais les bons mots et les dérapages successifs sont malheureusement surlignés par une mise en scène catatonique.
Première
Mais La Femme de mon frère ne serait pas grand-chose sans l’abattage et l’engagement burlesque d’Anne-Elisabeth Bossé (déjà croisée dans... Laurence Anyways !). Une vraie révélation. Qui sait ? Elle réalisera peut-être un jour des films influencés par ceux de Monia Chokri.
Voici
Un premier film grave et léger, une bombe de névroses et d'énergie.
Critikat.com
Monia Chokri récite besogneusement la leçon apprise chez Xavier Dolan, dont les atours kitschs et vintages ne constituent pas l'unique point de référence.
L'Humanité
Bien reçu à Cannes, le film de Monia Chokri ne parvient pas à nous émouvoir, trop empêché par une hystérisation qui finit par lasser, impression de tenir la chandelle devant ce couple fraternel, comme Sophia la tient, dans le film, face à son frère et sa conquête.
La Croix
Seuls les repas familiaux avec les parents (lui maghrébin, elle québécoise comme ceux de la réalisatrice), des intellectuels engagés et passionnés, fournissent quelques moments jubilatoires au milieu d’un film nombriliste et bavard, qui finit globalement par susciter l’ennui.
Les Fiches du Cinéma
Le premier film de Monia Chokri fait beaucoup d’efforts pour être drôle, sans toujours y parvenir et au détriment de l’émotion.
Le Dauphiné Libéré
Une bonne idée de scénario, mais qui se perd dans un tohu-bohu général, un accent québécois à couper au couteau, une interprétation excessive, et une surcharge qui frise l’hystérie.
Le Figaro
Monia Chokri, actrice vue notamment chez Xavier Dolan, signe un premier film en forme d’autofiction. Le portrait d’une trentenaire, genre Bridget Jones québécoise, plus hystérique que drôle.