Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
BIBA
par Samuel Loutaty
La photographie (exceptionnelle) et les interprètes font de ce drame sensible une vraie réussite.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Cette histoire prend des accents particulièrement touchants.
L'Obs
par François Forestier
Les plans sont justes, les visages expriment une vérité impitoyable, la musique qui conclut le film (la symphonie « du Nouveau Monde » de Dvorak) prend une force émouvante avec la présence de la sœur de Gus, évadée de sa condition de paysanne. Voici un film rare, tout en finesse, en vie, en élan. Et Laetitia Casta, enfin, trouve un rôle à sa mesure.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par Audrey Tamine
Place des femmes, industrialisation de l'agriculture, éveil à la sexualité... Si l'ambiance est réussie, le film reste parfois un peu trop superficiel, à vouloir aborder trop de sujets.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Combinant les thèmes des difficultés du monde rural, de l’émancipation féminine et des affres de l’adolescence, la réalisatrice signe un long métrage inspiré et attachant. Une grande réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce récit sensible et lent doit beaucoup à ses interprètes, Luc Bruchez dont le rôle de Gus marque d’impressionnants débuts devant la caméra, Lætitia Casta (Nicole) et Clémence Poésy (Cécile) qui incarnent des femmes solaires dont l’émancipation menace de fracasser tous les repères.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Le drame affleure, vibrant par moments avec densité ; disparaissant à d'autres, quand la mise en scène et le rythme semblent, eux aussi, s'abandonner à la torpeur.
Le Parisien
par La Rédaction
La lumière, la photographie de ce film sont très belles. Les repères historiques sont réduits à l’essentiel -une R5 dans le décor- et le film tient beaucoup moins à la reconstitution d’un été particulier qui a marqué une génération, que l’accélération des pulsions dans ce théâtre (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Jérémie Couston
Avant d’être happé par la très belle dernière scène, on passe du temps à essayer d’identifier, en vain, la région du tournage, en cinéphile baroudeur. Il s’agit de la Macédoine, ce qui sied bien à cet improbable mélange de mélodrame paysan et de récit d’apprentissage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Le portrait du garçon, essentiellement composé de stéréotypes, rabote finalement toute effusion. Les séquences se juxtaposent les unes aux autres sans le moindre souffle, selon le rythme artificiel d’un mauvais feuilleton estival.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Sur le thème du passage à l’adolescence, un film sans surprise, qui aurait gagné à être actuel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Sensible portrait d’un jeune garçon dans la France rurale des années 70, Le milieu de l’horizon se révèle trop académique.
Libération
par Camille Nevers
On est du côté de la Bibliothèque rose de nos enfances, Epinal coloré façon Poly le Poney avec décrochages acidulés du côté érotico-ici-très-soft d’Une vraie jeune fille de Breillat. Pourquoi pas, mais si sage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Grégory Valens
Un film maladroit et bancal.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce drame familial, déjà sans grandes ambitions, apparaît aussi moderne qu'un épisode de Louis La Brocante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thomas Baurez
Le paysan bourru s’énerve, fatigué par la canicule et une exploitation qui prend l’eau. A l’image de la direction artistique de son film, Delphine Lehericey (Puppylove…) ne parvient jamais vraiment à donner corps à ce drame en livrant une image bien trop aseptisée.
La critique complète est disponible sur le site Première
BIBA
La photographie (exceptionnelle) et les interprètes font de ce drame sensible une vraie réussite.
Femme Actuelle
Cette histoire prend des accents particulièrement touchants.
L'Obs
Les plans sont justes, les visages expriment une vérité impitoyable, la musique qui conclut le film (la symphonie « du Nouveau Monde » de Dvorak) prend une force émouvante avec la présence de la sœur de Gus, évadée de sa condition de paysanne. Voici un film rare, tout en finesse, en vie, en élan. Et Laetitia Casta, enfin, trouve un rôle à sa mesure.
Ouest France
Place des femmes, industrialisation de l'agriculture, éveil à la sexualité... Si l'ambiance est réussie, le film reste parfois un peu trop superficiel, à vouloir aborder trop de sujets.
aVoir-aLire.com
Combinant les thèmes des difficultés du monde rural, de l’émancipation féminine et des affres de l’adolescence, la réalisatrice signe un long métrage inspiré et attachant. Une grande réussite.
La Croix
Ce récit sensible et lent doit beaucoup à ses interprètes, Luc Bruchez dont le rôle de Gus marque d’impressionnants débuts devant la caméra, Lætitia Casta (Nicole) et Clémence Poésy (Cécile) qui incarnent des femmes solaires dont l’émancipation menace de fracasser tous les repères.
Le Monde
Le drame affleure, vibrant par moments avec densité ; disparaissant à d'autres, quand la mise en scène et le rythme semblent, eux aussi, s'abandonner à la torpeur.
Le Parisien
La lumière, la photographie de ce film sont très belles. Les repères historiques sont réduits à l’essentiel -une R5 dans le décor- et le film tient beaucoup moins à la reconstitution d’un été particulier qui a marqué une génération, que l’accélération des pulsions dans ce théâtre (...).
Télérama
Avant d’être happé par la très belle dernière scène, on passe du temps à essayer d’identifier, en vain, la région du tournage, en cinéphile baroudeur. Il s’agit de la Macédoine, ce qui sied bien à cet improbable mélange de mélodrame paysan et de récit d’apprentissage.
Cahiers du Cinéma
Le portrait du garçon, essentiellement composé de stéréotypes, rabote finalement toute effusion. Les séquences se juxtaposent les unes aux autres sans le moindre souffle, selon le rythme artificiel d’un mauvais feuilleton estival.
Les Fiches du Cinéma
Sur le thème du passage à l’adolescence, un film sans surprise, qui aurait gagné à être actuel.
Les Inrockuptibles
Sensible portrait d’un jeune garçon dans la France rurale des années 70, Le milieu de l’horizon se révèle trop académique.
Libération
On est du côté de la Bibliothèque rose de nos enfances, Epinal coloré façon Poly le Poney avec décrochages acidulés du côté érotico-ici-très-soft d’Une vraie jeune fille de Breillat. Pourquoi pas, mais si sage.
Positif
Un film maladroit et bancal.
Le Journal du Dimanche
Ce drame familial, déjà sans grandes ambitions, apparaît aussi moderne qu'un épisode de Louis La Brocante.
Première
Le paysan bourru s’énerve, fatigué par la canicule et une exploitation qui prend l’eau. A l’image de la direction artistique de son film, Delphine Lehericey (Puppylove…) ne parvient jamais vraiment à donner corps à ce drame en livrant une image bien trop aseptisée.