Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Quand Parasite se déroule au Mexique, au sein d’un groupe d’ouvriers du bâtiment, cela produit un film absolument vertigineux, qui ne cède jamais à la facilité et au radicalisme. On est sous le choc.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
Une excellente découverte venue du Mexique. Récit singulier et métaphore des désastres de l’esclavagisme contemporain. Et un auteur à retenir : David Zonana.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
L'exercice stylistique et politique est réussi.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Lucide et grinçant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’ombre de "Parasite" (2019), de Bong Joon-ho, plane sur ce récit captivant et poignant, où l’opportunisme a raison de la solidarité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Philippe Rouyer
David Zonana a l’œil pour choisir ses décors et les filmer sous le meilleur angle. Il a aussi un sens du récit qui nous donne très envie de voir son prochain film.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Premier long métrage du cinéaste mexicain David Zonana qui explore, avec un sens aigu de la mise en scène, les injustices sociales.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Le rêve communautaire est illusoire, et le drame de l’expulsion se profile, aussi implacable que le sens du cadre, millimétré, de David Zonana — on ne s’étonne guère que son film soit produit par le grand cinéaste mexicain Michel Franco.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Démonstration implacable, sentiment buñuelien de la fatalité : un premier film acéré. Vivement le deuxième !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le Mexicain David Zonana signe un premier film au scénario audacieux qui dénonce, à travers les conséquences d’un accident du travail sur le chantier d’une villa de luxe, les inégalités sociales de son pays.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Philippe Ridet
« Personne n’est complètement bon ou mauvais, prévient le réalisateur.Certaines situations nous conduisent à naviguer entre le positif et le négatif. » A cette aune, David Zonana est un bon navigateur.
Première
par Thierry Chèze
Mano de Obra se vit comme une bombe à retardement dont on se demande quand et comment elle va exploser (...). Passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
Quand Parasite se déroule au Mexique, au sein d’un groupe d’ouvriers du bâtiment, cela produit un film absolument vertigineux, qui ne cède jamais à la facilité et au radicalisme. On est sous le choc.
Bande à part
Une excellente découverte venue du Mexique. Récit singulier et métaphore des désastres de l’esclavagisme contemporain. Et un auteur à retenir : David Zonana.
CinemaTeaser
L'exercice stylistique et politique est réussi.
Le Figaro
Lucide et grinçant.
Le Journal du Dimanche
L’ombre de "Parasite" (2019), de Bong Joon-ho, plane sur ce récit captivant et poignant, où l’opportunisme a raison de la solidarité.
Positif
David Zonana a l’œil pour choisir ses décors et les filmer sous le meilleur angle. Il a aussi un sens du récit qui nous donne très envie de voir son prochain film.
Sud Ouest
Premier long métrage du cinéaste mexicain David Zonana qui explore, avec un sens aigu de la mise en scène, les injustices sociales.
Télérama
Le rêve communautaire est illusoire, et le drame de l’expulsion se profile, aussi implacable que le sens du cadre, millimétré, de David Zonana — on ne s’étonne guère que son film soit produit par le grand cinéaste mexicain Michel Franco.
L'Obs
Démonstration implacable, sentiment buñuelien de la fatalité : un premier film acéré. Vivement le deuxième !
La Croix
Le Mexicain David Zonana signe un premier film au scénario audacieux qui dénonce, à travers les conséquences d’un accident du travail sur le chantier d’une villa de luxe, les inégalités sociales de son pays.
Le Monde
« Personne n’est complètement bon ou mauvais, prévient le réalisateur.Certaines situations nous conduisent à naviguer entre le positif et le négatif. » A cette aune, David Zonana est un bon navigateur.
Première
Mano de Obra se vit comme une bombe à retardement dont on se demande quand et comment elle va exploser (...). Passionnant.