Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le noir et blanc vif et contrasté va bien aux récits politiques de l’Est. Comme Paweł Pawlikowski avec Ida (2013), comme Kirill Serebrennikov avec Leto (2018), Ivan Ostrochovsky l’emploie pour Les Séminaristes, persécution et résistance de l’Eglise catholique contre le régime communiste en Tchécoslovaquie.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Comme Paweł Pawlikowski avec Ida (2013), comme Kirill Serebrennikov avec Leto (2018), Ivan Ostrochovsky l’emploie pour Les Séminaristes, persécution et résistance de l’Eglise catholique contre le régime communiste en Tchécoslovaquie.
Transfuge
par Serge Kaganski
Derrière la rigidité de ces plans au cordeau et le contraste intense entre ténèbre et lumière se lit la lutte inégale mais magnifique entre la fragile flamme de la liberté et l’obscurantisme totalitaire. Avec ce film fort et singulier, Ostrochovsky plante puissamment son nom sur la carte du cinéma [...].
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Mais le cinéaste Ivan Ostrochovsky se pique assez peu d’histoires. (...) Une négligence volontaire et salutaire qui confère à son deuxième long métrage, au splendide noir et blanc épuré, une densité rare et limite sa durée à 80 minutes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La puissance de ce film bref et tranchant réside dans l’évocation de la collaboration active d’une partie du clergé et dans sa manière d’accompagner le héros, saisi par la culpabilité et le doute religieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un débat éternel sur des images sublimes, au noir et blanc signifiant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Les Séminaristes est un thriller d’espionnage qui confine à l’ascèse, frugal à faire désirer parfois l’explosion d’affects, formaliste à risquer de changer son spectateur en pierre. Peu suffit néanmoins à ce qu’il engrange des visions pénétrantes, remémoration en pointe sèche du totalitarisme au XXe siècle, où l’asservissement des esprits s’envisage comme le plus précieux butin de guerre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un film politique prenant, à la mise en scène d'une maîtrise impressionnante.
Positif
par Bernard Génin
Les Séminaristes ne se borne pas au cas des religieux. C’est du conflit moral de tout citoyen face à un régime autoritaire que traite magnifiquement ce film, signant en beauté le retour du grand cinéma tchèque.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Malgré la recherche d'expressivité visuelle, un aspect illustrait subsiste, simplement opacifié par les lacunes de la narration. Les protagonistes s'apparente moins à des personnages qu'à des figures, et les dilemmes moraux qui les traversent restent abstraits.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Bien que son refus de contextualiser son récit pose problème, Les Sémoinaristes convainc par la force de ses images et de son propos.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
La Croix
par Céline Rouden
Avec son noir et blanc, son format en 4/3 et ses cadres très léchés, ce film du réalisateur slovaque Ivan Ostrochovsky n’est pas sans rappeler le très beau Ida du Polonais Pawel Pawlikowski, avec lequel il partage la même coscénariste, quitte à être parfois un peu prisonnier de son esthétique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le travail sur les cadres et le son est remarquable. Derrière sa beauté plastique envoutante, le récit, comme prisonnier de son formalisme, manque toutefois d’un peu d’âme.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Une tension encouragée par le tempo lancinant du récit qui traduit physiquement l’étouffement de cette époque, une poignée d’années avant que la chute du Mur de Berlin fasse souffler un temps un vent de liberté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
C’est beau mais avec beaucoup d’effets. Les personnages, novices attendrissants, risquent d’être à la fois écrasés par la dictature communiste et par les démonstrations de force de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le noir et blanc vif et contrasté va bien aux récits politiques de l’Est. Comme Paweł Pawlikowski avec Ida (2013), comme Kirill Serebrennikov avec Leto (2018), Ivan Ostrochovsky l’emploie pour Les Séminaristes, persécution et résistance de l’Eglise catholique contre le régime communiste en Tchécoslovaquie.
Le Dauphiné Libéré
Comme Paweł Pawlikowski avec Ida (2013), comme Kirill Serebrennikov avec Leto (2018), Ivan Ostrochovsky l’emploie pour Les Séminaristes, persécution et résistance de l’Eglise catholique contre le régime communiste en Tchécoslovaquie.
Transfuge
Derrière la rigidité de ces plans au cordeau et le contraste intense entre ténèbre et lumière se lit la lutte inégale mais magnifique entre la fragile flamme de la liberté et l’obscurantisme totalitaire. Avec ce film fort et singulier, Ostrochovsky plante puissamment son nom sur la carte du cinéma [...].
L'Humanité
Mais le cinéaste Ivan Ostrochovsky se pique assez peu d’histoires. (...) Une négligence volontaire et salutaire qui confère à son deuxième long métrage, au splendide noir et blanc épuré, une densité rare et limite sa durée à 80 minutes.
L'Obs
La puissance de ce film bref et tranchant réside dans l’évocation de la collaboration active d’une partie du clergé et dans sa manière d’accompagner le héros, saisi par la culpabilité et le doute religieux.
Les Fiches du Cinéma
Un débat éternel sur des images sublimes, au noir et blanc signifiant.
Libération
Les Séminaristes est un thriller d’espionnage qui confine à l’ascèse, frugal à faire désirer parfois l’explosion d’affects, formaliste à risquer de changer son spectateur en pierre. Peu suffit néanmoins à ce qu’il engrange des visions pénétrantes, remémoration en pointe sèche du totalitarisme au XXe siècle, où l’asservissement des esprits s’envisage comme le plus précieux butin de guerre.
Ouest France
Un film politique prenant, à la mise en scène d'une maîtrise impressionnante.
Positif
Les Séminaristes ne se borne pas au cas des religieux. C’est du conflit moral de tout citoyen face à un régime autoritaire que traite magnifiquement ce film, signant en beauté le retour du grand cinéma tchèque.
Cahiers du Cinéma
Malgré la recherche d'expressivité visuelle, un aspect illustrait subsiste, simplement opacifié par les lacunes de la narration. Les protagonistes s'apparente moins à des personnages qu'à des figures, et les dilemmes moraux qui les traversent restent abstraits.
CinemaTeaser
Bien que son refus de contextualiser son récit pose problème, Les Sémoinaristes convainc par la force de ses images et de son propos.
La Croix
Avec son noir et blanc, son format en 4/3 et ses cadres très léchés, ce film du réalisateur slovaque Ivan Ostrochovsky n’est pas sans rappeler le très beau Ida du Polonais Pawel Pawlikowski, avec lequel il partage la même coscénariste, quitte à être parfois un peu prisonnier de son esthétique.
Le Journal du Dimanche
Le travail sur les cadres et le son est remarquable. Derrière sa beauté plastique envoutante, le récit, comme prisonnier de son formalisme, manque toutefois d’un peu d’âme.
Première
Une tension encouragée par le tempo lancinant du récit qui traduit physiquement l’étouffement de cette époque, une poignée d’années avant que la chute du Mur de Berlin fasse souffler un temps un vent de liberté.
Télérama
C’est beau mais avec beaucoup d’effets. Les personnages, novices attendrissants, risquent d’être à la fois écrasés par la dictature communiste et par les démonstrations de force de la mise en scène.