On avait déjà subi l'une de ses filles, "Stéphanie" (Alexandra Lamy), revenant par nécessité économique chez elle ("Retour chez ma mère", en 2016), on doit ici faire mine de s'intéresser au retard de son chantier (
confié à un faux Polonais)
, la contraignant à s'inviter chez l'autre, "Carole", alias Mathilde Seigner
(le 3e rejeton, alias Philippe Lefevbre, étant aux abonnés absents, eu égard à tout un tas de complications de couple)
- son mauvais caractère
l'ayant brouillée avec son soupirant attitré et voisin ("Jean", alias Didier Flamand).
.
"Déveine" (du spectateur) rime (rime quasiment riche) une nouvelle fois avec "Lavaine" (Eric) ! 8e "long" entièrement réalisé par ce dernier, et nouvelle daube - les "Incognito" et "Barbecue" de sa filmo en tant que metteur en scène apparaissant (sans être des chefs d'oeuvre d'ailleurs - mais pouvant être visionnés avec quelque agrément) comme des exceptions. EL est un authentique spécialiste de la daube cinématographique - persiste et signe, de crétinerie en crétinerie.
"Un Tour chez ma fille" enchaîne les blagounettes pourries, les "périéties" éculées, tricote, vaille que vaille, à trous béants (ni idées originales - même un tout petit peu - ni rythme, ni humour, ni.... du grand RIEN, en fait), pour arriver à (presque) 90 minutes.
Josiane Balasko, dans une énième prestation (tous cinéastes confondus) à la Mme Musquin du "Père Noël", supplémentée façon écornifleuse, voire mère tape-dur, ici, fait dans le minimum syndical. Et comme dans le volet précédent de la "saga" Jacqueline Mazerin, c'est bien la seule qui semble (à peu près) à l'aise. On espère vivement que le désastre filmique s'arrêtera là : de grâce, pas de (par exemple) "Echappée de l' EHPAD" (où "Mamoune", alias Line Renaud, se ferait la malle, pour vivre sa vie chez quelque parent Mazerin, et lui pourrir la sienne)...