Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Libération
par Marcos Uzal
Portrait extraordinaire d’un autiste relatant son ressenti, à mesure qu’il invente son chemin dans un monde qui le met en échec.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Le film, comme son personnage, s’interdit de tomber dans une vision romantique de l’autisme.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Sans donner une image romantique de l’autisme, Diego Govenatori livre un beau témoignage d’un homme coupé de ses semblables, où rien n’est accessible, où l’environnement reste constamment étranger à soi.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Documentaire hors norme, Quelle folie !, selon la formule qui ponctue les propos d’Aurélien, permet d’entrer de manière inédite dans un univers méconnu auquel sont attachés bien des préjugés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
À travers sa mise en scène, le cinéaste porte un regard très intime sur lui et sur ses difficultés à communiquer.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par François Ekchajzer
Ce documentaire réussit l’exploit de nous montrer la vie intérieure tumulteuse d’une personne autiste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Benjamin Oppert
Une avalanche émotionnelle d’une richesse hors du commun !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Devant la caméra, Aurélien délivre un flot de paroles puissantes comme une tentative de se définir par rapport à ceux qu’il nomme « les hommes structurés ».
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
La chose importante, c'est que "Quelle folie" ne tombe pas dans le piège du documentaire à sujet. (…) trop occupé à se pencher sur la langue pour lui faire dégorger un peu de clarté, Aurélien ignore la grâce qu'il laisse passer devant la caméra, ignore notre compréhension, énorme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Aurélien est volubile et Governatori capte la libération du chant de colère et d’espoir, toujours à bonne distance. Mais se révèle moins convaincant quand il s’essaie au symbolique : le parallèle entre ce qui se passe dans le cerveau d’Antoine et les taureaux qui déboulent dans les rues étroites de Pampelune lors des ferias est un brin balourd...
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
Portrait extraordinaire d’un autiste relatant son ressenti, à mesure qu’il invente son chemin dans un monde qui le met en échec.
Cahiers du Cinéma
Le film, comme son personnage, s’interdit de tomber dans une vision romantique de l’autisme.
Culturopoing.com
Sans donner une image romantique de l’autisme, Diego Govenatori livre un beau témoignage d’un homme coupé de ses semblables, où rien n’est accessible, où l’environnement reste constamment étranger à soi.
La Croix
Documentaire hors norme, Quelle folie !, selon la formule qui ponctue les propos d’Aurélien, permet d’entrer de manière inédite dans un univers méconnu auquel sont attachés bien des préjugés.
Les Fiches du Cinéma
À travers sa mise en scène, le cinéaste porte un regard très intime sur lui et sur ses difficultés à communiquer.
Télérama
Ce documentaire réussit l’exploit de nous montrer la vie intérieure tumulteuse d’une personne autiste.
aVoir-aLire.com
Une avalanche émotionnelle d’une richesse hors du commun !
Le Monde
Devant la caméra, Aurélien délivre un flot de paroles puissantes comme une tentative de se définir par rapport à ceux qu’il nomme « les hommes structurés ».
Les Inrockuptibles
La chose importante, c'est que "Quelle folie" ne tombe pas dans le piège du documentaire à sujet. (…) trop occupé à se pencher sur la langue pour lui faire dégorger un peu de clarté, Aurélien ignore la grâce qu'il laisse passer devant la caméra, ignore notre compréhension, énorme.
Première
Aurélien est volubile et Governatori capte la libération du chant de colère et d’espoir, toujours à bonne distance. Mais se révèle moins convaincant quand il s’essaie au symbolique : le parallèle entre ce qui se passe dans le cerveau d’Antoine et les taureaux qui déboulent dans les rues étroites de Pampelune lors des ferias est un brin balourd...