Note moyenne
3,3
30 titres de presse
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Ouest France
Un grand film féministe.
20 Minutes
Carey Mulligan est impressionnante dans ce film qui secoue durablement.
Bande à part
POUR - Affichant une amère ironie et surfant sur les clichés de la comédie romantique, à la croisée de l’esthétique comics pure, de la tendre excentricité de Wes Anderson et de la dissonance de Jason Reitman, Promising Young Woman est un bonbon acide sur lequel on est heureux de se casser les dents.
CNews
C'est froid, violent, sadique, acide... et on aime. Une ode au mouvement #MeToo qui s'invite dans de nombreux plans.
CinemaTeaser
Un revenge movie écrit avec beaucoup de justesse et une pudeur sentimentale qui bouleverse.
Culturopoing.com
Malgré la douceur soigneusement élaborée de ses couleurs pastels, il plane une certaine pesanteur, une gravité palpable et surprenante. Il se passe quelque chose sous nos yeux, ou plutôt quelque chose nous est offert. Un sentiment qui se fait rare dans ce type de production, une sérieuse amertume que l’on ne voyait pas venir et qui, doucement mais puissamment, anoblit le film.
Ecran Large
C'est le premier film d'Emerald Fennell et c'est déjà un petit ouragan, où s'entrechoquent la violence, l'humour, le plaisir de la mise en scène et la puissance des mots. Et c'est une énième preuve que Carey Mulligan est une très, très grande actrice.
Elle
Une satire féministe appuyée mais efficace.
Femme Actuelle
Un personnage marquant.
L'Obs
Un pamphlet malin et pervers, qui rabat le caquet à tous les anti-#Metoo.
La Voix du Nord
Promising Young Woman est une vraie comédie noire.
Le Journal du Dimanche
Emerald Fennell jongle avec les codes du film noir, de la comédie romantique et de la satire horrifique pour mieux aiguiser son discours ultraféministe, entre scènes tarantinesques et moments d’émotion, et frapper là où ça fait mal.
Le Parisien
Le film fait partie de cette catégorie — rare — d’œuvre dont on ne peut absolument pas deviner, au début de la séance, où elle va emmener son spectateur.
Paris Match
Petite perle pop à l’humour noir remplie de trouvailles visuelles et portée par un scénario qui ose le mélange des genres, « Promising Young Woman » est intellectuellement et cinématographiquement jouissif.
Positif
Pour Carey Mulligan, ce rôle aussi émouvant que décapant sera marqué d’une pierre blanche.
Télé Loisirs
D'un sujet grave, Emerald Fennell tire un film tonique, portrait au vitriol de la masculinité la plus toxique.
Télérama
POUR : L’espoir de changer des comportements abusifs naît du désespoir de les avoir subis, rappelle avec intelligence la réalisatrice de ce film qui séduit et étonne pour mieux donner à réfléchir.
La Croix
Carey Mulligan, trop rare à l’écran, incarne avec panache et sensibilité cette Janus aux deux visages dont l’ironie cruelle masque une blessure passée sur laquelle elle ne parvient pas à tourner la page.
Le Figaro
Promising Young Woman pourrait ressembler au premier film hollywoodien de Virginie Despentes, jusqu'au dénouement, tiré par les cheveux et moins convaincant par son excès de violence.
Les Echos
Promising Young Woman » suit l'autoroute familière de la femme vengeresse. Le film offre à Carey Mulligan le tremplin idéal pour un numéro d'art dramatique de haute voltige.
Les Fiches du Cinéma
Cinglante comédie noire ou film opportuniste et creux ? Selon l’humeur, on jubilera ou l’on s’agacera...
Première
Résultat, une comédie noire joliment shootée dans des décors banlieusards US à la fois pop et cauchemardesques, qui ne manque pas de piment, avec un casting très bien trouvé (...).
Voici
Derrière le revenge movie féministe et grinçant, le portrait à peine exagéré d'une société pleine de lâcheté face aux violences sexistes.
Bande à part
CONTRE - La cohésion de l’ensemble se perd dans les méandres de l’oxymore qui consiste à vouloir à tout prix signer un film pop grinçant, une bluette mal élevée.
Cahiers du Cinéma
D’un didactisme retors, le film entend moins purger, dénoncer ou en appeler à la bonne conscience que vriller l’imaginaire collectif.
Critikat.com
L’idée pourrait être intéressante si elle n’était pas parasitée par une volonté de jouer (et de gagner) sur tous les tableaux : d’un côté le film flirte complaisamment avec le pire (...), pour de l'autre toujours rattraper au vol la situation, en ménageant un certain goût de la pose.
Le Monde
Requis par son agenda sociétal, un film exclusivement programmatique.
Mad Movies
Emerald Fennell, toute à son envie de signer un pamphlet inscrit dans l'air du temps, préfère persister dans la caricature épaisse plutôt que de donner à ses personnages l'occasion d'être autre chose que des symboles dénués d'âme.
Libération
Suivant la vengeance d’un personnage de veuve noire au nom de toutes les femmes, Emerald Fennell signe un film complaisant et pénible.
Télérama
CONTRE : Si le film est finalement indulgent avec les mâles — les harceleurs nocturnes s’en tirent avec une bonne frousse —, l’héroïne vengeresse apparaît, elle, impitoyable avec ses congénères. Preuve que la misogynie a encore de l’avenir, même parmi ses ennemis.