Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Quel plaisir de voir un cinéaste utiliser la richesse géographique du pays et comprendre son potentiel de décor de film de genre.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par Françoise Delbecq
Le cahier des charges du film d'action est plus que rempli.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Après un temps d’exposition oscillant entre le film noir et le polar social, La Terre et le sang bifurque vers le thriller sec, hargneux, violent, tendu, entièrement porté sur l’action en temps réel, et nourri d’une psychologie minimale.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
Un thriller brutal qui envoie du bois !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Julien Leclercq a-t-il réussi son coup ? Oui, tant "La Terre et le sang" tient en haleine par sa mise en scène et la sobriété de sa narration. Même si… quelques maniérismes superflus, en particulier dans la caractérisation du personnage d’Adama (qu’interprète Eriq Ebouaney), agacent.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Christophe Narbonne
Sec, brutal, concis, La Terre et le Sang doit sa réussite à la mise en scène tranchante de Julien Leclercq et à ses formidables seconds rôles, du glaçant Ériq Ebouaney à la bouleversante Sofia Lesaffre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Devant la caméra du réalisateur de "Braqueurs", Bouajila est en train de se transformer peu à peu en parrain du cinéma policier français, à la manière du Jean Gabin de "Touchez pas au grisbi". Cette mue étonnante est un des vrais atouts de ce polar modeste mais très honnête.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli et Vincent Nicolet
"La Terre et le sang" n’entend pas réinventer le genre dans lequel il s’inscrit, mais le réinterpréter, le moderniser, honnêtement, humblement, efficacement. Mission accomplie et appréciable, chose pas si courante dans le paysage francophone.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Une excellente série B française comme elle nous manque cruellement ces dernières années.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Pour les fans de films musclés.
Ecran Large
par Simon Riaux
Jamais désagréable, "La Terre et le Sang" nous laisse malheureusement avec un profond sentiment d'occasion manquée, tant le film peine à tirer le meilleur de ses multiples atouts.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Jérémy Patrelle
Et, à l'arrivée, ce huis clos forestier vire, non pas à la catastrophe, mais à un petit cauchemar. Seules certaines scènes où les cadavres tombent comme des mouches sauvent un peu l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré une intrigue basique et une mise en place trop longue, Julien Leclercq installe une atmosphère poisseuse dans laquelle se débat Sami Bouajila, tout en intériorité mais le fusil en bandoulière, dans un rôle de père vengeur digne de Liam Neeson époque "Taken".
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Hélas, le cinéaste propose le strict minimum en termes de structure narrative et de développement.
CinemaTeaser
Quel plaisir de voir un cinéaste utiliser la richesse géographique du pays et comprendre son potentiel de décor de film de genre.
Elle
Le cahier des charges du film d'action est plus que rempli.
La Voix du Nord
Après un temps d’exposition oscillant entre le film noir et le polar social, La Terre et le sang bifurque vers le thriller sec, hargneux, violent, tendu, entièrement porté sur l’action en temps réel, et nourri d’une psychologie minimale.
Le Parisien
Un thriller brutal qui envoie du bois !
Les Fiches du Cinéma
Julien Leclercq a-t-il réussi son coup ? Oui, tant "La Terre et le sang" tient en haleine par sa mise en scène et la sobriété de sa narration. Même si… quelques maniérismes superflus, en particulier dans la caractérisation du personnage d’Adama (qu’interprète Eriq Ebouaney), agacent.
Première
Sec, brutal, concis, La Terre et le Sang doit sa réussite à la mise en scène tranchante de Julien Leclercq et à ses formidables seconds rôles, du glaçant Ériq Ebouaney à la bouleversante Sofia Lesaffre.
Bande à part
Devant la caméra du réalisateur de "Braqueurs", Bouajila est en train de se transformer peu à peu en parrain du cinéma policier français, à la manière du Jean Gabin de "Touchez pas au grisbi". Cette mue étonnante est un des vrais atouts de ce polar modeste mais très honnête.
Culturopoing.com
"La Terre et le sang" n’entend pas réinventer le genre dans lequel il s’inscrit, mais le réinterpréter, le moderniser, honnêtement, humblement, efficacement. Mission accomplie et appréciable, chose pas si courante dans le paysage francophone.
L'Ecran Fantastique
Une excellente série B française comme elle nous manque cruellement ces dernières années.
Télé 7 Jours
Pour les fans de films musclés.
Ecran Large
Jamais désagréable, "La Terre et le Sang" nous laisse malheureusement avec un profond sentiment d'occasion manquée, tant le film peine à tirer le meilleur de ses multiples atouts.
GQ
Et, à l'arrivée, ce huis clos forestier vire, non pas à la catastrophe, mais à un petit cauchemar. Seules certaines scènes où les cadavres tombent comme des mouches sauvent un peu l'ensemble.
Le Journal du Dimanche
Malgré une intrigue basique et une mise en place trop longue, Julien Leclercq installe une atmosphère poisseuse dans laquelle se débat Sami Bouajila, tout en intériorité mais le fusil en bandoulière, dans un rôle de père vengeur digne de Liam Neeson époque "Taken".
Mad Movies
Hélas, le cinéaste propose le strict minimum en termes de structure narrative et de développement.