Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Une œuvre qui nécessitera plusieurs visions pour en épuiser tous les secrets mais dont la grande beauté, elle, est immédiatement accessible.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Le cinquième long métrage de Cristi Puiu [...] se révèle ainsi entièrement constitué de longues conversations, poussées à un tel point d’éloquence et de contorsions dialectiques qu’elles finissent par donner le vertige.
Le Point
par Victoria Gairin
Prodigieux.
Libération
par Didier Péron
Si le film est génial, c’est que rien ne nous y prépare et que lorsqu’on y est jeté, on nage et on se noie comme emporté dans un Gange d’images et de mots dont la texture, la densité, la profondeur étourdit, galvanise et empoisonne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Une oeuvre monumentale (3h21 !), aussi exigeante que fascinante.
aVoir-aLire.com
par Sofia Gavilan Yelou
Cristi Puiu nous livre une réflexion vertigineuse sur la mémoire et l’art cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Clémence Arrivé
Dans les plis du torrent de paroles, Puiu nous fait sentir ce qui palpite, ce qui se soulève dans les recoins.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Autant de problématiques posées à l’aube du XXe siècle qui interrogent toujours. "Malmkrog" les expose avec une pertinence et une beauté clairvoyante, flamboyante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un huis clos agnostique auquel on peut résister (ce serait regrettable), porté par une mise en scène virtuose, qui emporte le spectateur dans une danse macabre sur la fin inéluctable d’un monde de dominants.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
“Les limites de mon langage signifient les limites de mon propre monde”. Cette citation de Wittgenstein sied à l’ambiance de Malmkrog : derrière chaque mot de ce film-fleuve, se cache une mythologie patiemment violentée. Un grand film, par sa raideur et sa liberté.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Dans un écrin formel aussi limpide qu’envoûtant, le cinéaste roumain fait ressurgir les obsessions intellectuelles d’une époque et orchestre un grand film-trip sur le langage. [...] un grand film sensoriel [...] Un ballet enivrant d'images et de sons qui garde encore bien des mystères.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Adaptation de «Trois entretiens. Sur la guerre, la morale et la religion» du philosophe russe Vladimir Soloviev, «Malmkrog» de Cristi Puiu est une expérience conceptuelle de plus de trois heures, aussi exigeante que stimulante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
La mise en scène de la parole, de sa circulation, de son rythme, est impressionnante. Certains plans atteignent un niveau de composition qu’on ne rencontre plus guère aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Élodie Maurot
Le réalisateur roumain Cristi Puiu film ce huis clos philosophique dans un écrin remarquable. [...] Mais [...] le film pâtit de sa longueur (trois heures vingt) et de dialogues excessivement formels.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Le principal intérêt de MALMKROG est de se mettre entièrement à la disposition d’une dramaturgie verbale en organisant une mise en scène qui, par les déplacements millimétrés des personnages et la justesse des cadrages, restitue dans l’espace les points de tensions qui s’énoncent à l’oral.
Première
par Thierry Chèze
Car c’est la manière dont la réalisation de Puiu casse par des petites touches quasi invisibles l’aspect statique de son dispositif que son film vous emporte, sans pourtant jamais vous tendre la main dans une leçon de mise en scène de chaque instant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par E.S.
Du cinéma exigeant, Ou à périr d'ennui.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Malheureusement, l'exploit cinématographique se transforme en un trop plein de paroles, produisant l'effet d'un pensum muséal là où l'on attendait un peu plus d'ironie et de mouvement.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Fabien Baumann
[...] le réalisateur roumain s’emploie ici à fermer toute porte d’entrée à son spectateur [...]. L’obstacle, ce ne sont pas les discussions abstraites [...] ; c’est plutôt le plaisir snob que prend Puiu à ne donner aucune indication sur les liens de ses personnages, à ne pas bouger d’un demi-pouce sa caméra lorsque l’un d’eux disparaît derrière une plante verte, à introduire sans explication une tuerie hanekienne dans cet aimable ennui distancé à la Manoel de Oliveira.
Bande à part
Une œuvre qui nécessitera plusieurs visions pour en épuiser tous les secrets mais dont la grande beauté, elle, est immédiatement accessible.
Cahiers du Cinéma
Le cinquième long métrage de Cristi Puiu [...] se révèle ainsi entièrement constitué de longues conversations, poussées à un tel point d’éloquence et de contorsions dialectiques qu’elles finissent par donner le vertige.
Le Point
Prodigieux.
Libération
Si le film est génial, c’est que rien ne nous y prépare et que lorsqu’on y est jeté, on nage et on se noie comme emporté dans un Gange d’images et de mots dont la texture, la densité, la profondeur étourdit, galvanise et empoisonne.
Ouest France
Une oeuvre monumentale (3h21 !), aussi exigeante que fascinante.
aVoir-aLire.com
Cristi Puiu nous livre une réflexion vertigineuse sur la mémoire et l’art cinématographique.
Critikat.com
Dans les plis du torrent de paroles, Puiu nous fait sentir ce qui palpite, ce qui se soulève dans les recoins.
Franceinfo Culture
Autant de problématiques posées à l’aube du XXe siècle qui interrogent toujours. "Malmkrog" les expose avec une pertinence et une beauté clairvoyante, flamboyante.
L'Obs
Un huis clos agnostique auquel on peut résister (ce serait regrettable), porté par une mise en scène virtuose, qui emporte le spectateur dans une danse macabre sur la fin inéluctable d’un monde de dominants.
Les Fiches du Cinéma
“Les limites de mon langage signifient les limites de mon propre monde”. Cette citation de Wittgenstein sied à l’ambiance de Malmkrog : derrière chaque mot de ce film-fleuve, se cache une mythologie patiemment violentée. Un grand film, par sa raideur et sa liberté.
Les Inrockuptibles
Dans un écrin formel aussi limpide qu’envoûtant, le cinéaste roumain fait ressurgir les obsessions intellectuelles d’une époque et orchestre un grand film-trip sur le langage. [...] un grand film sensoriel [...] Un ballet enivrant d'images et de sons qui garde encore bien des mystères.
Paris Match
Adaptation de «Trois entretiens. Sur la guerre, la morale et la religion» du philosophe russe Vladimir Soloviev, «Malmkrog» de Cristi Puiu est une expérience conceptuelle de plus de trois heures, aussi exigeante que stimulante.
Télérama
La mise en scène de la parole, de sa circulation, de son rythme, est impressionnante. Certains plans atteignent un niveau de composition qu’on ne rencontre plus guère aujourd’hui.
La Croix
Le réalisateur roumain Cristi Puiu film ce huis clos philosophique dans un écrin remarquable. [...] Mais [...] le film pâtit de sa longueur (trois heures vingt) et de dialogues excessivement formels.
La Septième Obsession
Le principal intérêt de MALMKROG est de se mettre entièrement à la disposition d’une dramaturgie verbale en organisant une mise en scène qui, par les déplacements millimétrés des personnages et la justesse des cadrages, restitue dans l’espace les points de tensions qui s’énoncent à l’oral.
Première
Car c’est la manière dont la réalisation de Puiu casse par des petites touches quasi invisibles l’aspect statique de son dispositif que son film vous emporte, sans pourtant jamais vous tendre la main dans une leçon de mise en scène de chaque instant.
Le Figaro
Du cinéma exigeant, Ou à périr d'ennui.
Le Journal du Dimanche
Malheureusement, l'exploit cinématographique se transforme en un trop plein de paroles, produisant l'effet d'un pensum muséal là où l'on attendait un peu plus d'ironie et de mouvement.
Positif
[...] le réalisateur roumain s’emploie ici à fermer toute porte d’entrée à son spectateur [...]. L’obstacle, ce ne sont pas les discussions abstraites [...] ; c’est plutôt le plaisir snob que prend Puiu à ne donner aucune indication sur les liens de ses personnages, à ne pas bouger d’un demi-pouce sa caméra lorsque l’un d’eux disparaît derrière une plante verte, à introduire sans explication une tuerie hanekienne dans cet aimable ennui distancé à la Manoel de Oliveira.