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Un visiteur
0,5
Publiée le 8 septembre 2008
On sent le film typique qui veut devenir culte avec la scène ridicule où Val Kilmer urine sur Mars et réplique: "Le premier Homme à pisser sur Mars!"... Bref, en plus d'être dénué d'interêt, seuls ceux qui ne savent pas ce qu'est la Science-fiction au cinéma pourront apprécier...
Moins mauvais qu'on a pu le dire, « Planète rouge » ne restera pas pour autant dans les annales de la science-fiction. Le tout se regarde sans déplaisir, et est mis en images plutôt honnêtement par Antony Hoffman, mais rien de bien nouveau sous le soleil (enfin, façon de parler) du genre, à l'image de personnages manquant manifestement d'épaisseur. Je dois d'ailleurs avouer que tout cela s'est effacé très vite de ma mémoire, si ce n'est l'émouvante prestation de Carrie-Anne Moss, actrice régulièrement sous-exploitée faisant pourtant régulièrement preuve de son talent. Une aventure spatiale fréquentable donc, mais un peu trop formatée pour marquer durablement.
Le film de science fiction le plus crédible que j'ai vu jusqu'à présent. La théorie soulevée dans le film est plausible et nous fait poser la question: peut-on trouver des algues sur mars et cela pourrait-il fournir de l'oxygène?
Fade et sans aucune imagination ni suspense, "Planète rouge" a aussi l’inconvénient d’être d’une lenteur abyssale, d’user d’effets spéciaux médiocres et de décors très laids. Déprimant.
Un film de Science Fiction d'un ennui total! L'idée de départ était pourtant bonne mais à cause d'une mise en scène médiocre et des acteurs pas du tout convaincant, le film devient chiant comme tout! Surtout Val Kilmer qui est très mauvais! (je sais de quoi je parle, j'ai vu la VO) Franchement, j'aime bien les film de SF mais la c'est à éviter!
Je trouve qu'il y a un vrai suspense et un scénario élaboré dans ce film. De plus, les scènes d'actions sont très réussies. Je ne comprends pas pourquoi il est si peu aimé...
Film de SF sans génie et surtout sans originalité. La trame principale est déjà-vu mais pouvait apporter son lot d'aventure... Ce qui est à peine le cas. Ce film est un film de SF de base, qu'on a l'impression d'avoir déjà vu ; normal chaque scène est pompé sur d'autres films ("Armaguedon", "alien"...) Mais bon le réalisateur sans être un génie est un technicien honorable et ce film de commande reste un film honorable. Merci tout de même au casting impressionnant à défaut d'être le seul bonus du film.
Bon petit film de SF avec une réalisation plutôt soigner, une histoire sans trop d'incohérences et un casting agréable. Val Kilmer est bien dans son rôle et une Carrie-Anne Moss attachante. Dans l'ensemble cette histoire sur la planète rouge ou l'oxygène est possible, je la trouve très défendable. Vous y verrez aussi un chien robotique.
Planète Rouge (2000) est un film de science fiction bourré de SFX en tout genres, au casting appréciable (Val Kilmer, Carrie-Anne Moss & Tom Sizemore) mais d’une lenteur et d’un ennui effroyable ! Un scénario cousu de fil blanc où malgré les multiples et très nombreux retournements de situations, le film peine à convaincre et à captiver, faute de rythme et de suspens. Sans parler du robot complètement grotesque et la fin qui en rajoute des tonnes.
Red Planet aimerait, à l’instar de la saga Alien dont il s’inspire, se saisir d’une aventure spatiale pour projeter l’homme dans l’univers et interroger la place qu’il y occupe ainsi que la nature de son Créateur. Le souci, c’est qu’une telle trajectoire symbolique ne s’accomplit jamais par l’esthétique mais demeure un leitmotiv pris en charge par les dialogues. La mise en scène n’est qu’illustrative, elle convertit un script en une somme d’images en mouvement sans penser l’image ou le mouvement comme des signifiants à part entière. Dit autrement, les personnages ne cessent de relater des questionnements métaphysiques qui restent à l’échelle de la parole individuelle : aucune discussion un tant soit peu profonde, aucune réflexion originale sur la dynamique de création et de destruction à l’œuvre dans l’univers, rien. Nous sommes à mille planètes de l’œuvre de Ridley Scott et de son nihilisme apte à démystifier les paraboles ronflantes et les chimères qui trompent l’homme pour raccorder ce dernier à sa fragilité congénitale.
Red Planet n’offre qu’un récit de survie supplémentaire à une longue liste, porté par des valeurs patriotiques lourdingues comme le sacrifice de soi ou le courage ; on se croirait devant Armageddon (Michael Bay, 1998) avec la maestria de réalisation et la maîtrise des effets visuels en moins. C’est reconnaître qu’il ne reste pas grand-chose, sinon une poignée de scènes efficaces qui sauront tirer, un temps, le spectateur de son sommeil.