Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
La caméra documentaire de Lucie Viver restitue les couleurs et la fragile beauté d’un pays, la désolation, la fraternité et le courage de ses habitants.
L'Humanité
par Marie-José Sirache
Dans son dispositif simple, Lucie Viver laisse sa place à la fragilité, à l'empathie sans jamais être intrusive, filmant avec poésie ses rencontres.
Positif
par Laetitia Mikles
Un voyage immersif au pays des mots.
Télérama
par François Ekchajzer
Un voyage guidé par l’utopie vivace du leader anti-impérialiste Thomas Sankara et ponctué de rencontres avec des individus de tous âges et toutes conditions qui confient leurs espoirs comme leurs désillusions dans ce documentaire d’une grande délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Vincent Marcelin
Prix du Jury à l’African International Film Festival 2019, Lucie Viver signe ici une ode puissante à la découverte de soi et de l’autre, porté par les textes de Bikontine, la musique de Rodophe Burger et les images évanescentes de la campagne burkinabè.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Mi-documentaire, mi-fiction, le film de Lucie Viver n’est ni une biographie de Thomas Sankara, encore moins l’autopsie d’un Burkina Faso tombé depuis dans le chaos djihadiste. Plutôt une rêverie poétique et politique portée par une belle réalisation et la musique envoûtante de Rodolphe Burger. Il est d’autant plus dommage que la réalisatrice, dont c’est le premier long-métrage, se perde parfois dans des ellipses un peu précieuses, nous empêchant d’appréhender complètement toute la portée de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par La Rédaction
Portrait d’un beatnik africain, Bikontine marchant sac à dos, dormant à la belle étoile et écrivant des poèmes ? Road-movie dans un Burkina Faso traversé en diagonale le long de la ligne de chemin de fer ? Evocation du chef révolutionnaire anti-impérialiste et panafricaniste Thomas Sankara (1949-1987) qui transforma son pays et lui donna une identité nationale avant d’être tué à la faveur d’un coup d’Etat ? Le docu-film de Lucie Viver est tout cela à la fois. C’est ce qui en fait sa richesse et – parfois – sa confusion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Bande à part
La caméra documentaire de Lucie Viver restitue les couleurs et la fragile beauté d’un pays, la désolation, la fraternité et le courage de ses habitants.
L'Humanité
Dans son dispositif simple, Lucie Viver laisse sa place à la fragilité, à l'empathie sans jamais être intrusive, filmant avec poésie ses rencontres.
Positif
Un voyage immersif au pays des mots.
Télérama
Un voyage guidé par l’utopie vivace du leader anti-impérialiste Thomas Sankara et ponctué de rencontres avec des individus de tous âges et toutes conditions qui confient leurs espoirs comme leurs désillusions dans ce documentaire d’une grande délicatesse.
aVoir-aLire.com
Prix du Jury à l’African International Film Festival 2019, Lucie Viver signe ici une ode puissante à la découverte de soi et de l’autre, porté par les textes de Bikontine, la musique de Rodophe Burger et les images évanescentes de la campagne burkinabè.
La Croix
Mi-documentaire, mi-fiction, le film de Lucie Viver n’est ni une biographie de Thomas Sankara, encore moins l’autopsie d’un Burkina Faso tombé depuis dans le chaos djihadiste. Plutôt une rêverie poétique et politique portée par une belle réalisation et la musique envoûtante de Rodolphe Burger. Il est d’autant plus dommage que la réalisatrice, dont c’est le premier long-métrage, se perde parfois dans des ellipses un peu précieuses, nous empêchant d’appréhender complètement toute la portée de son sujet.
Le Monde
Portrait d’un beatnik africain, Bikontine marchant sac à dos, dormant à la belle étoile et écrivant des poèmes ? Road-movie dans un Burkina Faso traversé en diagonale le long de la ligne de chemin de fer ? Evocation du chef révolutionnaire anti-impérialiste et panafricaniste Thomas Sankara (1949-1987) qui transforma son pays et lui donna une identité nationale avant d’être tué à la faveur d’un coup d’Etat ? Le docu-film de Lucie Viver est tout cela à la fois. C’est ce qui en fait sa richesse et – parfois – sa confusion.