Note moyenne
3,9
24 titres de presse
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Bande à part
Pour son retour attendu derrière la caméra, Carla Simon livre une œuvre solaire et vibrante. Un portrait choral, où l’amour de la famille, de la terre et du travail diffuse ses rayons nostalgiques et vivaces.
Le Parisien
Merveille de film naturaliste, ode à la famille, « Nos soleils » a cumulé les prix l’an dernier dans les festivals, dont le prestigieux Ours d’or à la Berlinale et le Prix de la critique au Festival du film de Saint-Jean-de-Luz.
Transfuge
Magnifique.
Elle
Un formidable tableau d'une paysannerie en voie de disparition.
L'Obs
Entre Tchekhov pour la cruelle mélancolie d’un monde en train de disparaître et Lucrecia Martel pour le conflit familial et social, la réalisatrice de l’excellent « Eté 93 » signe un deuxième film tout en finesse.
La Croix
Une chronique intimiste et sensible.
La Septième Obsession
Une chronique familiale étincelante.
Le Journal du Dimanche
Un récit aussi solaire qu’engagé dont les longueurs traduisent la langueur d’un monde finissant, victime du progrès et du profit.
Le Monde
C’est avec une fluidité étonnante que Carla Simon s’arrime au quotidien de chacun des membres, sans hiérarchie aucune, traversant des petites tempêtes individuelles au sein de la communauté et composant habilement une palette d’intrigues secondaires.
Les Echos
Carla Simón, avec une sensibilité aiguë et un réalisme âpre, met en scène la détresse d'une famille qui voit tous ses repères s'effondrer dans une fiction pudique et poignante. A travers elle, « Nos soleils » écrit le crépuscule d'une certaine idée du monde agricole.
Les Fiches du Cinéma
Auréolée de son Ours d’or, Carla Simón fait de ce drame rural crépusculaire un portrait universel du monde paysan, habité par des personnages touchants.
Les Inrockuptibles
Il le fait cette fois-ci en redistribuant les enjeux entre les membres de cette famille aimante mais pas exempte de rancœurs, de frustrations jouées par des comédiens et comédiennes non professionnel·les que le film accueille avec une générosité immense, aménageant pour chacun un espace de fiction manifeste.
Libération
Ours d’or à Berlin, le film de la Catalane Carla Simón sur une famille de cultivateurs dépasse heureusement les clichés du genre en vissant son regard dans celui des enfants.
Ouest France
Carla Simon raconte brillamment les difficultés rencontrées aujourd'hui par le monde agricole.
Paris Match
Plus que le scénario, finalement assez classique, c'est la mise en scène qui éblouit, de la formidable direction d'acteurs dont la plupart sont non-professionnels au jeu sur la lumière. Beau film.
Positif
Après Été 93 (2017), Carla Simón confirme qu’elle est une des belles voix du cinéma espagnol d’aujourd’hui.
Télérama
Une chronique familiale forte, Ours d’or à Berlin en 2022.
Voici
Une chronique familiale subtile.
aVoir-aLire.com
Au cœur de paysages lumineux, la réalisatrice Carla Simon évoque avec tendresse et sans misérabilisme la fin annoncée de l’agriculture traditionnelle, au profit d’activités plus lucratives.
Cahiers du Cinéma
Dès le départ, les jeux sont faits, et Nos soleils se préoccupe moins de dérouler une intrigue tenant lieu de discours que de saisir à travers un portrait de groupe un mode d’existence qui appartient déjà au passé, en un geste mélancolique.
Critikat.com
À son meilleur, le film combine la beauté tragique d’un monde sur le point de disparaître à des tableaux qui en préservent une vision idyllique, avant que la brutalité de la réalité ne vienne rompre définitivement cette harmonie avec la nature.
Le Figaro
Un film qui manque tout simplement d’un peu d’ampleur. Et c’est dommage.
Première
Un grand film social et politique qui ne sacrifie jamais ses personnages à son sujet et passe par l’intime pour raconter l’universel.
Télé Loisirs
C'est sobre, mais aussi plein d'humanité et souvent très touchant.