Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Critikat.com
par Thomas Lequeu
Christophe Pellet recourt à la citation, à l’allusion ou à la réminiscence pour rendre sensible la déchéance et la mort qui échappent à la représentation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un rien répétitif sur la longueur mais un bel objet cinématographique, mélancolique et poétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un essai cru et impudique, qui suscite d’imprévisibles bouffées d’émotion.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
À travers les journaux littéraires de Pavese et de Lagarce, Christophe Pellet compose un journal intime, littéraire autant que cinématographique, dont le narcissisme et la portée communautaire peuvent être simultanément la force et le talon d’Achille.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Du purgatoire insulaire à de grands appartements vides s'esquisse un objet vacillant comme la flamme d'une bougie, édifice cinématographique dont la fragilité de confection déconcertante renvoie aux mots (et aux maux) des maîtres : du désespoir au dépérissement des corps, l'existence se colore d'un noir d’encre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
L’obsession du suicide (Pavese) et la menace mortelle du sida (Lagarce) apportent assurément des notes de gravité. Mais loin d’être pesante, celle-ci s’avère stimulante : le film a quelque chose d’une caresse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Bernard Génin
C’est donc un film fragile, bref (1 h 12) mais souvent agaçant, sur la solitude, la dépression amoureuse, la menace de la mort...
Critikat.com
Christophe Pellet recourt à la citation, à l’allusion ou à la réminiscence pour rendre sensible la déchéance et la mort qui échappent à la représentation.
L'Obs
Un rien répétitif sur la longueur mais un bel objet cinématographique, mélancolique et poétique.
Le Monde
Un essai cru et impudique, qui suscite d’imprévisibles bouffées d’émotion.
Les Fiches du Cinéma
À travers les journaux littéraires de Pavese et de Lagarce, Christophe Pellet compose un journal intime, littéraire autant que cinématographique, dont le narcissisme et la portée communautaire peuvent être simultanément la force et le talon d’Achille.
Les Inrockuptibles
Du purgatoire insulaire à de grands appartements vides s'esquisse un objet vacillant comme la flamme d'une bougie, édifice cinématographique dont la fragilité de confection déconcertante renvoie aux mots (et aux maux) des maîtres : du désespoir au dépérissement des corps, l'existence se colore d'un noir d’encre.
Télérama
L’obsession du suicide (Pavese) et la menace mortelle du sida (Lagarce) apportent assurément des notes de gravité. Mais loin d’être pesante, celle-ci s’avère stimulante : le film a quelque chose d’une caresse.
Positif
C’est donc un film fragile, bref (1 h 12) mais souvent agaçant, sur la solitude, la dépression amoureuse, la menace de la mort...