Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Gérard Depardieu a trouvé un réalisateur à sa mesure avec Des hommes.
CNews
par La rédaction
A l’aide de flashbacks et porté par le texte de Laurent Mauvignier sur lequel le long-métrage s’appuie, Des hommes raconte l’histoire de ces appelés murés dans le silence qui ne parviennent pas à oublier l’horreur, et peinent à se reconstruire.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un film puissant sur les ravages de la guerre.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La guerre est dénoncée comme manipulation des consciences, effacement de l'individu au profit de la raison d'Etat. Lucas Belvaux donne priorité au récit sur la forme, il s'efface pour mieux dénoncer la grande histoire qui écrase la petite.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Sophie Joubert
Adaptation fidèle du roman, Des hommes repose sur des acteurs impressionnants dont les voix en disent autant que les visages, filmés en gros pla
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
L’image de Belvaux est si juste, si nette, qu’elle ne distingue pas le passé du présent, tous deux comme enlisés dans un bourbier.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Lucas Belvaux signe une très belle adaptation du roman de Laurent Mauvignier sur les traces qu’a laissées le conflit algérien dans la mémoire des appelés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Lucas Belvaux signe un film fort sur la guerre d’Algérie, sur le mal qu’elle a fait aux appelés qui y ont combattu, leur vie qui commençait à peine, leur famille en France qui n’y a rien compris.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Catherine Balle
Magnifique, le long-métrage sonde l’expérience de ces individus et leurs stigmates, intimes et collectifs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film fiévreux sur la France et ses contradictions.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Lucas Belvaux reste dans son cinéma de l'humanité. Et ça marche toujours aussi bien.
Transfuge
par Corinne Renou-Nativel
[...] Lucas Belvaux prend à bras-le-corps l’héritage moral et historique de la guerre d’Algérie, se débattant avec un récit parcellaire et douloureux. Car c’est bien un fascinant récit du corps que filme d’abord le réalisateur belge.
Télérama
par Samuel Douhaire
Une narration virtuose.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Des hommes restitue avec pudeur et lyrisme ces destins brisés par la guerre et les fantômes qui un jour se réveillent. Poignant.
Bande à part
par Isabelle Danel
Un grand film humble et droit.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Closer
par La Rédaction
Depardieu, Frot et Darroussin sont parfaitement épaulés par de jeunes talents.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Gérard Depardieu est l’un des soldats rongés par un passé qui ne veut pas passer, dont la jeunesse fut bousillée par une horreur indicible : c’était la guerre, en Algérie.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Gérard Depardieu est l’un des soldats rongés par un passé qui ne veut pas passer, dont la jeunesse fut bousillée par une horreur indicible : c’était la guerre, en Algérie.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si sa première partie aurait gagné à être un peu raccourcie et que l’ensemble pêche parfois par un côté illustratif, Belvaux trouve le ton juste en sondant avec une retenue appropriée les douloureuses mémoires de ses personnages au fil d’un récit polyphonique émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film pudique et sensible, interprété par un beau trio : Depardieu, Darroussin et Frot.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Vincent Thabourey
Avec "Des hommes", Lucas Belvaux vient enrichir la trop courte filmographie française consacrée à la guerre d’Algérie. C’est une bonne nouvelle. Qui plus est lorsqu’il s’agit d’une fiction interrogeant les répercussions traumatiques des ex-appelés. Mais pour aborder cette incongruité mémorielle, le spectateur de cette fresque ambitieuse devra cependant trouver ses marques au cœur d’un flot de mots et de flash-back déroutants.
Première
par Christophe Narbonne
En adaptant le roman de Laurent Mauvignier, Lucas Belvaux signe un film profond qui va à rebours de notre époque consensuelle en s’intéressant aux conséquences du stress post- traumatique chez les soldats français mais aussi chez les Harkis, les oubliés perpétuels de l’Histoire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Belvaux, lui, s’appuie finalement moins sur le hors-champ que sur des dialogues explicatifs, exposant avec les arguments d’aujourd’hui les horreurs d’hier. Le film en devient anachronique.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Critikat.com
par Thomas Grignon
Le projet est somme toute louable (...), mais en terme de cinéma, il aboutit à bien peu de choses.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
L'irréprochable Jean-Pierre Darroussin, qui n'arrive jamais à être mauvais, pose là-dessus un regard désolé. Par le film (scolaire) ou par son passé (qui ne passe pas) ?
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Philippe Ridet
Le film souffre, hélas, du poids de ses acteurs et plus particulièrement de Gérard Depardieu qui n’interprète plus que lui-même.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Adapté d’un roman polyphonique et introspectif, “Des hommes” peine à en traduire les procédés littéraires à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
Lucas Belvaux, que l’on sent assez absent de la partie algérienne, se trouve comme effacé par le poids de son sujet et le souci de bien faire : malgré de jeunes acteurs qui font ce qu’ils peuvent pour insuffler un peu de vie et de présence (donc de présent), la partie algérienne est engoncée dans une série de séquences qui sont autant de passages obligés pour bien faire comprendre la guerre d’Algérie [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Un sujet passionnant, mais l’interprétation n’est pas toujours à la hauteur.
Télé Loisirs
par C.P.
Ce film sur les blessures jamais refermées de la guerre d'Algérie prête à réfléchir mais trouve ses limites dans la narration trop littéraire, car trop fidèle au roman de Laurent Mauvignier dont il est adapté.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un sujet fort, rarement évoqué par le cinéma français, et des acteurs éblouissants. On regrette les voix off trop explicatives et une froideur ambiante qui nuit à l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Un film-dossier, appesanti un peu plus par chaque plan, sur la culpabilité qui ronge deux vétérans de la guerre d’Algérie. Des Hommes déborde d’importance, de solennité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Gérard Depardieu a trouvé un réalisateur à sa mesure avec Des hommes.
CNews
A l’aide de flashbacks et porté par le texte de Laurent Mauvignier sur lequel le long-métrage s’appuie, Des hommes raconte l’histoire de ces appelés murés dans le silence qui ne parviennent pas à oublier l’horreur, et peinent à se reconstruire.
Femme Actuelle
Un film puissant sur les ravages de la guerre.
Franceinfo Culture
La guerre est dénoncée comme manipulation des consciences, effacement de l'individu au profit de la raison d'Etat. Lucas Belvaux donne priorité au récit sur la forme, il s'efface pour mieux dénoncer la grande histoire qui écrase la petite.
L'Humanité
Adaptation fidèle du roman, Des hommes repose sur des acteurs impressionnants dont les voix en disent autant que les visages, filmés en gros pla
L'Obs
L’image de Belvaux est si juste, si nette, qu’elle ne distingue pas le passé du présent, tous deux comme enlisés dans un bourbier.
La Croix
Lucas Belvaux signe une très belle adaptation du roman de Laurent Mauvignier sur les traces qu’a laissées le conflit algérien dans la mémoire des appelés.
La Voix du Nord
Lucas Belvaux signe un film fort sur la guerre d’Algérie, sur le mal qu’elle a fait aux appelés qui y ont combattu, leur vie qui commençait à peine, leur famille en France qui n’y a rien compris.
Le Parisien
Magnifique, le long-métrage sonde l’expérience de ces individus et leurs stigmates, intimes et collectifs.
Marianne
Un film fiévreux sur la France et ses contradictions.
Ouest France
Lucas Belvaux reste dans son cinéma de l'humanité. Et ça marche toujours aussi bien.
Transfuge
[...] Lucas Belvaux prend à bras-le-corps l’héritage moral et historique de la guerre d’Algérie, se débattant avec un récit parcellaire et douloureux. Car c’est bien un fascinant récit du corps que filme d’abord le réalisateur belge.
Télérama
Une narration virtuose.
Voici
Des hommes restitue avec pudeur et lyrisme ces destins brisés par la guerre et les fantômes qui un jour se réveillent. Poignant.
Bande à part
Un grand film humble et droit.
Closer
Depardieu, Frot et Darroussin sont parfaitement épaulés par de jeunes talents.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Gérard Depardieu est l’un des soldats rongés par un passé qui ne veut pas passer, dont la jeunesse fut bousillée par une horreur indicible : c’était la guerre, en Algérie.
Le Dauphiné Libéré
Gérard Depardieu est l’un des soldats rongés par un passé qui ne veut pas passer, dont la jeunesse fut bousillée par une horreur indicible : c’était la guerre, en Algérie.
Le Journal du Dimanche
Si sa première partie aurait gagné à être un peu raccourcie et que l’ensemble pêche parfois par un côté illustratif, Belvaux trouve le ton juste en sondant avec une retenue appropriée les douloureuses mémoires de ses personnages au fil d’un récit polyphonique émouvant.
Les Echos
Un film pudique et sensible, interprété par un beau trio : Depardieu, Darroussin et Frot.
Positif
Avec "Des hommes", Lucas Belvaux vient enrichir la trop courte filmographie française consacrée à la guerre d’Algérie. C’est une bonne nouvelle. Qui plus est lorsqu’il s’agit d’une fiction interrogeant les répercussions traumatiques des ex-appelés. Mais pour aborder cette incongruité mémorielle, le spectateur de cette fresque ambitieuse devra cependant trouver ses marques au cœur d’un flot de mots et de flash-back déroutants.
Première
En adaptant le roman de Laurent Mauvignier, Lucas Belvaux signe un film profond qui va à rebours de notre époque consensuelle en s’intéressant aux conséquences du stress post- traumatique chez les soldats français mais aussi chez les Harkis, les oubliés perpétuels de l’Histoire.
Cahiers du Cinéma
Belvaux, lui, s’appuie finalement moins sur le hors-champ que sur des dialogues explicatifs, exposant avec les arguments d’aujourd’hui les horreurs d’hier. Le film en devient anachronique.
Critikat.com
Le projet est somme toute louable (...), mais en terme de cinéma, il aboutit à bien peu de choses.
Le Figaro
L'irréprochable Jean-Pierre Darroussin, qui n'arrive jamais à être mauvais, pose là-dessus un regard désolé. Par le film (scolaire) ou par son passé (qui ne passe pas) ?
Le Monde
Le film souffre, hélas, du poids de ses acteurs et plus particulièrement de Gérard Depardieu qui n’interprète plus que lui-même.
Les Fiches du Cinéma
Adapté d’un roman polyphonique et introspectif, “Des hommes” peine à en traduire les procédés littéraires à l’écran.
Libération
Lucas Belvaux, que l’on sent assez absent de la partie algérienne, se trouve comme effacé par le poids de son sujet et le souci de bien faire : malgré de jeunes acteurs qui font ce qu’ils peuvent pour insuffler un peu de vie et de présence (donc de présent), la partie algérienne est engoncée dans une série de séquences qui sont autant de passages obligés pour bien faire comprendre la guerre d’Algérie [...].
Télé 7 Jours
Un sujet passionnant, mais l’interprétation n’est pas toujours à la hauteur.
Télé Loisirs
Ce film sur les blessures jamais refermées de la guerre d'Algérie prête à réfléchir mais trouve ses limites dans la narration trop littéraire, car trop fidèle au roman de Laurent Mauvignier dont il est adapté.
aVoir-aLire.com
Un sujet fort, rarement évoqué par le cinéma français, et des acteurs éblouissants. On regrette les voix off trop explicatives et une froideur ambiante qui nuit à l’émotion.
Les Inrockuptibles
Un film-dossier, appesanti un peu plus par chaque plan, sur la culpabilité qui ronge deux vétérans de la guerre d’Algérie. Des Hommes déborde d’importance, de solennité.