Avis : The Rental - Page 3

Ceci est plus une critique des autres commentaires que du film, que j'ai trouvé très bon dans ce qu'il cherche a faire.
Pour parler de ces fameux commentaires, je trouve ca assez pitoyable de publier une critique d'un film de slasher sans même savoir ce qu'est un film slasher, vous n'avez strictement rien compris au genre même du film alors qu'il s'agit d'un genre vieux d'une trentaine d'années, le fait que vous ayez passé un mauvais moment devant le film est le résultat de votre manque de connaissance, et c'est bien fait pour vous, ne cherchez pas a en rejeter la faute sur le film.

Deux couples vont décider de s'offrir un long week-end dans une superbe maison de location au bord de la mer afin de faire un peu la fête avant une année qui s'annonce chargée professionnellement.
Malheureusement, ces quelques jours vont virer au cauchemar...
Même si ce type de thriller horrifique sentait le déjà-vu à plein nez, je pensais passer un moment cinéma dans lequel l'angoisse et le suspens allaient tout de même me transporter un minimum.
Au lieu de cela, même si ce quatuor de jeunes adultes assure plutôt bien devant la caméra, on se retrouve embarqués une histoire assez plate et molle pendant 80% du temps, seul le dernier quart d'heure commence enfin à proposer un peu d'adrénaline et encore, de façon grossière, bâclée et vraiment maladroite !
Un film inutile et décevant.
Site CINEMADOURG.free.fr

L'arnaque, dans The Rental, ce ne sont pas ces jeunes victimes piégées par un mystérieux voyeur qui la subissent, finalement, ce sont nous, pauvres spectateurs de ce pitoyable spectacle. On commençait à apprécier Dave Franco en tant qu'acteur, on revoit notre copie à la baisse, sa réalisation étant catastrophique : la mise en image est affreuse (on ne voit rien), il fait nuit toutes les dix minutes (les jours durent une seconde, car visiblement Franco n'arrive pas du tout à faire peur de jour), et surtout, la fin nous fait pleurer de désespoir. On aura donc gaspillé une heure trente à tenter de deviner qui se cache derrière la masque de ce sadique, et l'on reçoit le baquet d'eau froide à la dernière minute : spoiler: non, vous ne saurez pas qui c'est. Très bien, alors peut-être que l'on aura au moins son mobile, et savoir ce qu'il voulait à ces jeunes ? Idem : c'est un serial killer, donc aucun mobile particulier avec ces jeunes.
A ce stade, on commence à sentir fortement l'arnaque que l'on vient de subir. Ajoutez à cela que l'on a dû prendre patience face à des acteurs en très petite forme (Dan Stevens et Alison Brie vous intéressent ? Allez profiter de leurs performances ailleurs qu'ici où ils sont amorphes), à cette mise en images qui ne sait jamais ce qu'elle veut filmer, à une intrigue très téléphonée (on veut juste savoir l'identité du meurtrier, car tous les autres ressorts qui appartiennent au voyeurisme, on les devine à cent mètres), et un rythme soporifique (on compte les scènes de tension sur les doigts d'une main... ah ça, pour savoir les relations de couple dans ce quatuor, on le saura... Les Feux de l'Amour, le retour). Une bien mauvaise affaire, cette location (le film, pas celle des jeunes).

Sur un pitch classique de slasher à la sauce home invasion, voici le médiocre The Rental avec aux commandes le frangin Franco qui fait ses débuts derrière la caméra. Après une mise en place inintéressante au possible et interminable, on arrive non sans mal sur la dernière demie heure durant il se passe enfin quelque chose ! Enfin quelque chose de très classique hein, ne nous emballons pas, des protagonistes débiles et des meurtres (même pas originaux). Très peu de tension, une mise en scène sans saveur et zéro émotion couronnent le tout. Pour terminer, le final n'explique rien et cette manie du "moins on n'en sait ..." ne fait plus sens aujourd'hui après de nombreux métrages ayant conclu leur scénario de la sorte. Profitez donc des jolis décors et de cette superbes maisons, pour le reste, bonne sieste !

Le scénariste de ce film semble être tombé en panne d'idées. Dommage, car, même si le sujet n'est guère original, il est plutôt bien traité dans la première partie. En revanche la seconde et surtout la chute sont d'une platitude assez surprenantes. La seule surprise... c'est qu'il n'y en a aucune.

En voyant les critiques négatives d'Allociné, je me suis quand même laissé tenter par ce film.
Le suspense est présent ; on commence avec le comportement ambigu de l'hôte, la porte verouillée ( spoiler: qui sert de fausse piste
), la disparition spoiler: du chien
etc., alors oui l'action met du temps à venir mais au moins le passage où on apprend sur les personnages avant "l'élément déclencheur" a un impact sur les scènes qui suivent (la scène sous la douche entraîne une conséquence sur l'histoire). Ce n'est pas du blablabla dans le vide ; "parler pour parler".
Le scénario est classique mais convenable sans être soporifique.
Certes "The Rental" n'est pas exceptionnel mais il n'est pas si mauvais que cela, au contraire je l'ai trouvé plutôt bon. Il y a des films qui sont largement pires !

De très beaux décors, des personnages dont les rapports vont lentement se détériorer, un basculement soudain vers l'horreur, et une révélation finale qui n'est pas celle qu'on attendait, et qui pour le coup laisse un sentiment de malaise par rapport aux motivations criminelles, mais qui fait aussi tout l'intérêt de l'histoire, justement. Pas mal!

Très bonne surprise de cet été étrange où l'on a été privé de tous les blockbusters véritable locomotive des salles de cinéma.
Sans prétention ,des acteurs juste , énervant au possibles qui nous entraîne lentement dans une espèce de déroute du scénario auquel on se serais attendus. Un suspense entretenu et étalé comme il faut je trouves.On dois resté patients et évité d'exiger du rythme et ça passe bien. On ressort perturbé , réticent pour notre prochaine location de vacances...

La transition de personnages est bien amené, ce qui est un assez bon début, des personnages mitigés ce qui n'est pas pour me déplaire, même si voilà il y a des détails illogique. Je sais pas pourquoi mais le doublage de Michelle me fait de l'effet. Une touche d'humour au moment pré-horreur qui est cool sans être lourde, même si une autre blague est assez mal foutu mais est passable. En tout cas les 30 premières minutes sont quasiment indéfectibles et à savoir que je ne suis pas trop fan de "potins", vous me comprendrez si vous l'avez vu,. Ce film offre une alternative par apport à un film d'horreur dit classique. Le film est très lent, ce qui n'est pas mauvais à la base, mais c'est inintéressant. Il faudra attendre la première heure pour que le film devienne un minimum intéressant. Puis le thriller horrifique deviendra angoissant. Troisième acte déstabilisant.

Classique (quoi que une fin peu habituelle pour un film américain) sur la forme comme sur le fond, mais bien fait. Un suspens distillé au compte goute mais qui monte crescendo dans la dernière partie. Premier film de l'acteur Dave Franco (frère de James) plutôt réussi donc. Une suite est apparemment prévue, on s'en serait douté, bien aller jusqu'au bout du générique de fin !

Un bon thriller dans le style, servi par un scénario à répercutions (concours de circonstances) bien maitrisées. Sans en faire trop (pas de super héros ici), tout se tient, on peut être nous aussi pris dans le filet. Des situations sous tension, suggérées, interprétées et effectives (le point fort). Dommage que la mise en place (près des 2/3 du film) soit si longue mais nécessaires pour la suite. Fin glaçante ! 3.5/5 !!!

Le film remplit bien son cahier de charges : un excellent thriller. Les acteurs, qui inclut Toby Huss de Hail & Catch Fire jouent très bien. On passe un bon moment.

divertissant.
(Spoiler)
fin un peu bâclée.
La dernière scène avec le chien.laisse planer le doute: si il n'aboie pas, ,qqn de connu, qui est ce ?
pareil la fille Amina, est elle vraiment tombée ?
En vue d'un 2 eme opus, une fin "ambiguë " .
J'irai qd mm voir le 2

Pour son premier long-métrage, Dave Franco propose un film très classique qui n'est jamais totalement efficace. L'histoire de deux couples qui partent en week-end dans une superbe maison isolée, mais qui vont vite déchanter. Être loin de tout ne signifie pas être seul ou à l'abri des regards et ça, ils vont vite le comprendre. Les inspirations du réalisateur sont évidentes, et l'on sent son amour pour le cinéma de genre, mais il n'arrive jamais à insuffler ce supplément d'âme à son film. C'est comme s'il avait un peu trop suivi le cahier des charges, ce qui fait que le film manque de folie en plus de manquer d'originalité. Tout ce qui se passe a été fait des centaines de fois, et si ce n'est évidemment pas forcément un problème, il n'y a ici rien de marquant. Une montée en puissance un peu poussive, bien que pas désagréable, et un dernier acte qui manque cruellement de tension. Le style est par contre vraiment léché. On ne passe pas un mauvais moment devant ce "The Rental", mais il ne deviendra clairement pas un classique du genre. En somme, un film moyen.

On se retrouve dans un téléfilm où un quator de trentenaires ne sont pas plus intéressants que des ados jouant à un jeu sexuel plutôt fade de surcroît. On se gausse de madame qui s'offusque d'une histoire d'amour de l'ex d'avant l'ex de son conjoint, on souffle devant le cliché d'une fête alcool-drogue sans fête, on se désespère de constater que ces quatre individus ne font rien de bien intéressants alors qu'ils ont loué une maison splendide devant un panorama qui ne l'est pas moins. Il faut donc attendre bien longtemps la première révélation qui va enfin faire évoluer le récit, qui fait enfin monter la tension d'un cran. Le cercle vicieux se met en place, les quatre personnes se retrouvent dans un piège forcément difficile à admettre, entre une réalité qui fait froid dans le dos et l'espoir d'une sorte de fantasme matérialisé par la réplique d'un protagoniste : "Je m'attendais à une pièce pleine d'écrans, de moniteurs, et il n'y a rien"...
Site : Selenie