Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Invraisemblable cette histoire ? Oui, absolument ! Et délicieusement poétique. Aucun dialogue – attention, Veit Helmer nie avoir fait un film muet et ce n’est pas faux, on y rit, on chantonne ou on gronde, le travail sur le son est considérable – avec une réalisation bluffante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Le réalisateur d’Absurdistan propose un film poétique, sans parole, où un conducteur de locomotive voit son existence bouleversée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Robin Cannone
Dans son dernier film, Veit Helmer met en scène un conte de fées sans dialogues en Azerbaïdjan. Audacieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une candeur rafraîchissante traverse cette belle aventure burlesque, colorée et poétique qui n’élude pas pour autant la cruauté des hommes.
Ouest France
par Pierre Lunn
On voit les limites de l'exercice, mais la poésie de l'ensemble et l'apparition funambule de Denis Lavant suffisent à procurer un plaisir rare.
Positif
par Yannick Lemarié
L'ensemble ne manque assurément pas de charme. Si on apprécie l'aspect international et donc universel de l'entreprise, on se laisse d'autant plus emporter que "The Bra", à l'instar du conte, sort du cadre étroit qu'on lui a assigné.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Entre cinéma d’animation et théâtre mimé, The bra est un petit bijou de poésie et de délicatesse, qui réjouira les grands adolescents et leurs parents. Une œuvre de cinéma qui fait figure d’OVNI au milieu des sorties habituelles.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Un film sans dialogues porté par la mimique des acteurs et une belle mise en scène, mais dont l’issue est assez prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
"The Bra" est un conte à l’érotisme voilé.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Première
par Sophie Benamon
Ce parti pris séduisant offre de jolis moments, notamment avec le funambule Denis Lavant. Mais on en perçoit vite ses limites jusqu’à l’épuisement et l’affaiblissement du propos. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Nicolas Schaller
Sans parole, la fable s’éternise, fige ses images léchées dans un esthétisme de carte postale et un burlesque de cour d’école. Comble de la faute de goût : la belle Paz Vega, d’ordinaire condamnée aux direct-to-video, n’a que deux brèves apparitions. Faut pas tirer sur la corde à linge !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
Ce postulat, que l’on peut trouver soit accablant, soit prometteur, donne naissance à un petit film sans dialogues, au burlesque poétique particulièrement laborieux. On peut ne pas être sensible à ce type de mièvrerie publicitaire.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Si elle séduit un temps, la poésie rêveuse et ouatée du cinéaste (…) ne peut s'empêcher de rallier une certaine mièvrerie dans la représentation du monde et s'avère incapable d'insuffler une intériorité complexe et profonde à ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Louis Guichard
Le réalisateur suit avec complaisance les essayages de soutien-gorge, moquant au passage les plus âgées et les plus rondes. Puis il punit son héros pour avoir regardé tant de seins, lui offrant seulement un avenir de papy adoptif… Normatif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
Invraisemblable cette histoire ? Oui, absolument ! Et délicieusement poétique. Aucun dialogue – attention, Veit Helmer nie avoir fait un film muet et ce n’est pas faux, on y rit, on chantonne ou on gronde, le travail sur le son est considérable – avec une réalisation bluffante.
L'Humanité
Le réalisateur d’Absurdistan propose un film poétique, sans parole, où un conducteur de locomotive voit son existence bouleversée.
Le Figaro
Dans son dernier film, Veit Helmer met en scène un conte de fées sans dialogues en Azerbaïdjan. Audacieux.
Le Journal du Dimanche
Une candeur rafraîchissante traverse cette belle aventure burlesque, colorée et poétique qui n’élude pas pour autant la cruauté des hommes.
Ouest France
On voit les limites de l'exercice, mais la poésie de l'ensemble et l'apparition funambule de Denis Lavant suffisent à procurer un plaisir rare.
Positif
L'ensemble ne manque assurément pas de charme. Si on apprécie l'aspect international et donc universel de l'entreprise, on se laisse d'autant plus emporter que "The Bra", à l'instar du conte, sort du cadre étroit qu'on lui a assigné.
aVoir-aLire.com
Entre cinéma d’animation et théâtre mimé, The bra est un petit bijou de poésie et de délicatesse, qui réjouira les grands adolescents et leurs parents. Une œuvre de cinéma qui fait figure d’OVNI au milieu des sorties habituelles.
Les Fiches du Cinéma
Un film sans dialogues porté par la mimique des acteurs et une belle mise en scène, mais dont l’issue est assez prévisible.
Culturopoing.com
"The Bra" est un conte à l’érotisme voilé.
Première
Ce parti pris séduisant offre de jolis moments, notamment avec le funambule Denis Lavant. Mais on en perçoit vite ses limites jusqu’à l’épuisement et l’affaiblissement du propos. Dommage.
L'Obs
Sans parole, la fable s’éternise, fige ses images léchées dans un esthétisme de carte postale et un burlesque de cour d’école. Comble de la faute de goût : la belle Paz Vega, d’ordinaire condamnée aux direct-to-video, n’a que deux brèves apparitions. Faut pas tirer sur la corde à linge !
Le Monde
Ce postulat, que l’on peut trouver soit accablant, soit prometteur, donne naissance à un petit film sans dialogues, au burlesque poétique particulièrement laborieux. On peut ne pas être sensible à ce type de mièvrerie publicitaire.
Les Inrockuptibles
Si elle séduit un temps, la poésie rêveuse et ouatée du cinéaste (…) ne peut s'empêcher de rallier une certaine mièvrerie dans la représentation du monde et s'avère incapable d'insuffler une intériorité complexe et profonde à ses personnages.
Télérama
Le réalisateur suit avec complaisance les essayages de soutien-gorge, moquant au passage les plus âgées et les plus rondes. Puis il punit son héros pour avoir regardé tant de seins, lui offrant seulement un avenir de papy adoptif… Normatif.