Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Libération
par Sandra Onana
Porté par le charisme d’un patriarche poète de l’est du Kentucky, son personnage principal érigé en coauteur, le documentaire-portrait signé par deux Français se penche avec un doux lyrisme sur un monde en déclin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
The Last Hillbilly a la poésie du film d’horreur, hallucinant dans les décombres du présent les signes de quelque malédiction.
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Pas sûr que certains effets musicaux ou qu’une complaisance dans le glauque n’entérinent pas justement certains clichés, mais le tout reste une fresque impressionnante de l’Amérique profonde.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
On croit qu’on va voir un portrait de l’Amérique pro-Trump, pauvre raciste, violente, on découvre une terre complexe, des hommes, des enfants et des bêtes dans un pays âpre et dur à vivre, frappé par la solitude et le désenchantement.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Pétri du sentiment de disparition et de mort, The Last Hillbilly est loin des clichés habituels sur les "ploucs" de l’Amérique profonde. Brian Ritchie, qui a inspiré le documentaire de Thomas Jenkoe et Diane-Sara Bouzgarrou, expose et pense son monde avec une lucidité et une mélancolie dérangeantes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Ce portrait-reportage d’un hillbilly (un péquenaud) du Kentucky est un voyage poétique, haut en couleur, fort en sentiments.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un documentaire fort, poétique mais aussi sec et rugueux.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Ces humbles sont des laissés-pour-compte, ils mènent une vie simple et rude, que Brian poétise, lui qui se dit lucidement « le dernier enfant libre d’Amérique ».
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un documentaire fascinant où le père de famille, comme échappé d’une fiction, se raconte dans une langue à la fois rêche et lyrique qui semble épouser les contours des rudes paysages du Kentucky. Cette étonnante poésie se fond dans l’atmosphère inquiétante dont les réalisateurs parent leur film, avec un beau travail sur le son.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Les scènes du quotidien s'assemblent par éclats comme des flots de souvenir.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Au pied des Appalaches, un condensé d’Histoire, de géographie, de sociologie et de culture aussi émouvant qu’éclairant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
[...] l'allure d'une oraison funèbre, comme si nous observions avec quelques survivants les ruines d'une ancienne civilisation.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
Ici surgit la division entre population urbaine et rurale des États-Unis d’Amérique. Grâce aux deux documentaristes résolus à aborder un sujet difficile, un regard subjectif, conscient du mépris transmis par le langage et les médias, présente une vérité plus juste.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un beau film poétique.
Télérama
par François Ekchajzer
La musique noise de Jay Gambit, spécialement composée à base de sons industriels, de banjo et d’harmonica, prolonge les accès lyriques de Brian, dont The Last Hillbilly sonde le paysage mental. Et invite le spectateur à s’y glisser le temps d’un trip, dont il gardera durablement en tête des images et des sons.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Maddalen Riou
Un documentaire subtil et riche d’émotions, qui nous plonge au cœur de l’Amérique blanche rurale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Clémence Arrivé
Pensé en trois chapitres, le film avance pas à pas vers un dernier pan – The Land of Tomorrow –, celui des enfants, explosifs et débordants de liberté. Leur joie irrigue les dernières séquences du film d’une ivresse frénétique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Guillaume Goujet
Loin des stéréotypes du cinéma redneck, "The Last Hillbilly" s’offre ainsi comme un commentaire en contrepoint qui cherche à déconstruire nos représentations fantasmatiques de l’Amérique blanche et rurale. La violence des rapports sociaux, les ravages de la consommation d’alcool et d’opiacés, l’ennui sont bien sûr évoqués et présents, mais de manière anecdotique, dans un arrière-plan lugubre, fataliste et dédramatisé.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Qui sont-ils, ces hillbillies du Midwest américain, qui portent haut l’étiquette péquenaude dont on les affable ? Le portrait documentaire poétique d’une ruralité vouée à disparaître.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Sa mise en route, exigeante, ne tend pas la main aux spectateurs. Mais peu à peu, la richesse de ce personnage, la sublime BO et ce parti pris d’image au format carré qui casse les représentations stéréotypées des grands espaces US vous emporte, vous embarque, vous envoûte.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Les cinéastes restent dans l'âpreté de la descritption d'un monde à côté du monde.
Libération
Porté par le charisme d’un patriarche poète de l’est du Kentucky, son personnage principal érigé en coauteur, le documentaire-portrait signé par deux Français se penche avec un doux lyrisme sur un monde en déclin.
Cahiers du Cinéma
The Last Hillbilly a la poésie du film d’horreur, hallucinant dans les décombres du présent les signes de quelque malédiction.
CinemaTeaser
Pas sûr que certains effets musicaux ou qu’une complaisance dans le glauque n’entérinent pas justement certains clichés, mais le tout reste une fresque impressionnante de l’Amérique profonde.
Dernières Nouvelles d'Alsace
On croit qu’on va voir un portrait de l’Amérique pro-Trump, pauvre raciste, violente, on découvre une terre complexe, des hommes, des enfants et des bêtes dans un pays âpre et dur à vivre, frappé par la solitude et le désenchantement.
Franceinfo Culture
Pétri du sentiment de disparition et de mort, The Last Hillbilly est loin des clichés habituels sur les "ploucs" de l’Amérique profonde. Brian Ritchie, qui a inspiré le documentaire de Thomas Jenkoe et Diane-Sara Bouzgarrou, expose et pense son monde avec une lucidité et une mélancolie dérangeantes.
L'Obs
Ce portrait-reportage d’un hillbilly (un péquenaud) du Kentucky est un voyage poétique, haut en couleur, fort en sentiments.
La Voix du Nord
Un documentaire fort, poétique mais aussi sec et rugueux.
Le Dauphiné Libéré
Ces humbles sont des laissés-pour-compte, ils mènent une vie simple et rude, que Brian poétise, lui qui se dit lucidement « le dernier enfant libre d’Amérique ».
Le Journal du Dimanche
Un documentaire fascinant où le père de famille, comme échappé d’une fiction, se raconte dans une langue à la fois rêche et lyrique qui semble épouser les contours des rudes paysages du Kentucky. Cette étonnante poésie se fond dans l’atmosphère inquiétante dont les réalisateurs parent leur film, avec un beau travail sur le son.
Le Monde
Les scènes du quotidien s'assemblent par éclats comme des flots de souvenir.
Les Fiches du Cinéma
Au pied des Appalaches, un condensé d’Histoire, de géographie, de sociologie et de culture aussi émouvant qu’éclairant.
Paris Match
[...] l'allure d'une oraison funèbre, comme si nous observions avec quelques survivants les ruines d'une ancienne civilisation.
Positif
Ici surgit la division entre population urbaine et rurale des États-Unis d’Amérique. Grâce aux deux documentaristes résolus à aborder un sujet difficile, un regard subjectif, conscient du mépris transmis par le langage et les médias, présente une vérité plus juste.
Sud Ouest
Un beau film poétique.
Télérama
La musique noise de Jay Gambit, spécialement composée à base de sons industriels, de banjo et d’harmonica, prolonge les accès lyriques de Brian, dont The Last Hillbilly sonde le paysage mental. Et invite le spectateur à s’y glisser le temps d’un trip, dont il gardera durablement en tête des images et des sons.
aVoir-aLire.com
Un documentaire subtil et riche d’émotions, qui nous plonge au cœur de l’Amérique blanche rurale.
Critikat.com
Pensé en trois chapitres, le film avance pas à pas vers un dernier pan – The Land of Tomorrow –, celui des enfants, explosifs et débordants de liberté. Leur joie irrigue les dernières séquences du film d’une ivresse frénétique.
Culturopoing.com
Loin des stéréotypes du cinéma redneck, "The Last Hillbilly" s’offre ainsi comme un commentaire en contrepoint qui cherche à déconstruire nos représentations fantasmatiques de l’Amérique blanche et rurale. La violence des rapports sociaux, les ravages de la consommation d’alcool et d’opiacés, l’ennui sont bien sûr évoqués et présents, mais de manière anecdotique, dans un arrière-plan lugubre, fataliste et dédramatisé.
Les Inrockuptibles
Qui sont-ils, ces hillbillies du Midwest américain, qui portent haut l’étiquette péquenaude dont on les affable ? Le portrait documentaire poétique d’une ruralité vouée à disparaître.
Première
Sa mise en route, exigeante, ne tend pas la main aux spectateurs. Mais peu à peu, la richesse de ce personnage, la sublime BO et ce parti pris d’image au format carré qui casse les représentations stéréotypées des grands espaces US vous emporte, vous embarque, vous envoûte.
Ouest France
Les cinéastes restent dans l'âpreté de la descritption d'un monde à côté du monde.