Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Maxime Roy aborde des sujets difficiles, à la noirceur palpable, mais ne se repaît jamais du malheur. Sur son anti-héros, il porte un regard implacable mais amène, qui agit comme une lumière dans la nuit. Les Héroïques ne désespère jamais de son sujet et c’est peut-être ça qui le démarque le plus.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L’humanité bouleversante du film repose sur l’absolue sincérité de l’acteur François Créton, son non-jeu (...).
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Récit d'un retour à la lumière douloureux et compliqué, Les Héroïques porte en lui l'âme de son comédien principal, François Creton, impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Michaël Melinard
Maxime Roy, c’est le chaînon manquant entre le Ken Loach de Sweet Sixteen et de My Name Is Joe et le Claude Sautet d’ Un mauvais fils.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Maxime Roy creuse la douleur et la honte de l’addiction, suit le chemin de croix du sevrage, sans se noyer dans un bain de mélo facile : la force du sujet suffit.
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Gros coup de cœur pour ce premier film très maîtrisé, portrait mi-docu mi-mélo d'un homme pathétique mais attachant comme son interprète, l'écorché François Creton.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Tout au long du récit, fiction et réalité s’entremêlent. Une incroyable mise en abyme, où l’on n’a jamais pitié de Michel, de ses aptitudes à l’autodestruction, de la cascade de malheurs qui pleuvent sur lui : on est simplement à ses côtés, dans les moments tragiques comme dans ceux où l’espoir renaît.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Un film sur l’importance du collectif et la possibilité d’une rédemption dans le veine du cinema social d’un Loach ou d’un Guediguian. Absolument bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Guillemette Odicino
Un beau mélo, entre noirceur et douceur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Les Héroïques est une première œuvre étonnante de maîtrise et de sensibilité, portée par des comédiens sincères et attachants. Proprement bluffant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
Un personnage d’ex junkie, ses impossibilités et ses défaites pour un film juste et touchant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Le film réussit certaines séquences contre son arc narratif général, son protocole compassionnel rehaussé de guest stars satellisées. Quand il épouse l'attitude du fils aîné ou de l'ex, c'est-à-dire des sceptiques patients, Maxiem Roy trouve une distance qui parvient à ménager l'espace d'un tâtonnement, d'un chemin vers des liens échappants à la dépendance.
La Croix
par Céline Rouden
Aussi touchant qu’agaçant par son incapacité à se plier au « système », Michel essaie malgré tout d’être un homme bien. Un bon père et un bon fils. Et cette quête bouleversante, filmée au rythme des trépidations de la vie, empêche le film de tomber dans la noirceur la plus absolue.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Michel ne laisse pas béton mais rame comme un galérien, entre un bébé sur les bras, un père malade (Richard Bohringer) et pas de boulot. Immature mais attachant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
La désinvolture et la maladresse de Michel font de lui un raté magnifique, drôle et percutant, un Chaplin de la banlieue parisienne.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Dans son presque propre rôle, François Creton porte ce premier film sur ses épaules squelettiques et tatouées. Un personnage intense et singulier, qui mérite d’être rencontré.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
Un film à la fois rebelle et nostalgique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Emouvant, sensible, drôle.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Premier long métrage de Maxime Roy, Les Héroïques se révèle plus conventionnel que punk, la faute à une figure masculine dépassée et un réel falsifié.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CinemaTeaser
Maxime Roy aborde des sujets difficiles, à la noirceur palpable, mais ne se repaît jamais du malheur. Sur son anti-héros, il porte un regard implacable mais amène, qui agit comme une lumière dans la nuit. Les Héroïques ne désespère jamais de son sujet et c’est peut-être ça qui le démarque le plus.
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’humanité bouleversante du film repose sur l’absolue sincérité de l’acteur François Créton, son non-jeu (...).
Ecran Large
Récit d'un retour à la lumière douloureux et compliqué, Les Héroïques porte en lui l'âme de son comédien principal, François Creton, impressionnant.
L'Humanité
Maxime Roy, c’est le chaînon manquant entre le Ken Loach de Sweet Sixteen et de My Name Is Joe et le Claude Sautet d’ Un mauvais fils.
Le Dauphiné Libéré
Maxime Roy creuse la douleur et la honte de l’addiction, suit le chemin de croix du sevrage, sans se noyer dans un bain de mélo facile : la force du sujet suffit.
Le Journal du Dimanche
Gros coup de cœur pour ce premier film très maîtrisé, portrait mi-docu mi-mélo d'un homme pathétique mais attachant comme son interprète, l'écorché François Creton.
Le Parisien
Tout au long du récit, fiction et réalité s’entremêlent. Une incroyable mise en abyme, où l’on n’a jamais pitié de Michel, de ses aptitudes à l’autodestruction, de la cascade de malheurs qui pleuvent sur lui : on est simplement à ses côtés, dans les moments tragiques comme dans ceux où l’espoir renaît.
Paris Match
Un film sur l’importance du collectif et la possibilité d’une rédemption dans le veine du cinema social d’un Loach ou d’un Guediguian. Absolument bouleversant.
Télérama
Un beau mélo, entre noirceur et douceur.
aVoir-aLire.com
Les Héroïques est une première œuvre étonnante de maîtrise et de sensibilité, portée par des comédiens sincères et attachants. Proprement bluffant.
Bande à part
Un personnage d’ex junkie, ses impossibilités et ses défaites pour un film juste et touchant.
Cahiers du Cinéma
Le film réussit certaines séquences contre son arc narratif général, son protocole compassionnel rehaussé de guest stars satellisées. Quand il épouse l'attitude du fils aîné ou de l'ex, c'est-à-dire des sceptiques patients, Maxiem Roy trouve une distance qui parvient à ménager l'espace d'un tâtonnement, d'un chemin vers des liens échappants à la dépendance.
La Croix
Aussi touchant qu’agaçant par son incapacité à se plier au « système », Michel essaie malgré tout d’être un homme bien. Un bon père et un bon fils. Et cette quête bouleversante, filmée au rythme des trépidations de la vie, empêche le film de tomber dans la noirceur la plus absolue.
Le Figaro
Michel ne laisse pas béton mais rame comme un galérien, entre un bébé sur les bras, un père malade (Richard Bohringer) et pas de boulot. Immature mais attachant.
Le Monde
La désinvolture et la maladresse de Michel font de lui un raté magnifique, drôle et percutant, un Chaplin de la banlieue parisienne.
Les Fiches du Cinéma
Dans son presque propre rôle, François Creton porte ce premier film sur ses épaules squelettiques et tatouées. Un personnage intense et singulier, qui mérite d’être rencontré.
Première
Un film à la fois rebelle et nostalgique.
Sud Ouest
Emouvant, sensible, drôle.
Les Inrockuptibles
Premier long métrage de Maxime Roy, Les Héroïques se révèle plus conventionnel que punk, la faute à une figure masculine dépassée et un réel falsifié.