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Annik
1 critique
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1,5
Publiée le 20 septembre 2020
Dommage... Après avoir vu la bande annonce je suis allée voir ce film avec enthousiasme. Hélas, malgré des paysages magnifiques, l'âne de son petit prénom " Patrick" qui porte tout le film sur sa croupe bien costaud et qui malgré qu' il soit têtu mériterait une médaille ou une carotte en récompense tellement l'histoire est niaise à souhait... Trop peu de franche rigolade comme on les aime dans une comédie. Antoinette prof un peu nunuche et dévergondée , maîtresse du père d'une de ses élèves va le poursuivre dans les Cévennes alors que celui-ci est en vacances avec sa femme... Bref, une histoire de moeurs insipide dans un cadre grandiose. Un petit avertissement si vous vous y rendez avec des jeunes enfants certains dialogues ou scènes sont crus. Un navet qui servira à faire avancer l'âne de la fable! Je trouve les critiques de la presse beaucoup trop sympathiques pour ce film .
Laure Calamy niaise? pour reprendre la critique d'un internaute. mais qu'est ce qu'il peut y avoir comme abrutis. Cette actrice est magnifique drôle et lumineuse. et ce joli conte bucolique, tendre et drôle m'a fait passer un superbe moment !
J’ai trouvé cette comédie romantique mauvaise. Malgré un début qui porte à la sympathie, plus le film avançait, plus je m’ennuyais. Le contexte est bien posé avec la relation interdite entre la maitresse Laure Calamy et le parent d’élève Benjamin Lavernhe. La situation, bien qu’immorale, prête à sourire. Puis vient ce coup de folie. On reste un petit moment sur l’élan de cette initiative de partir en randonnée accompagné d’un âne, à la recherche de l’être aimé. Mais la dynamique s’épuise. Alors oui, il y a quelques passages drôles mais je n’ai jamais ressenti ce petit truc. Au contraire, j’ai trouvé cela assez lourd. Tout va tourner autour d’elle et son âne qui se transformera en psy. Ça m’a fatigué car finalement on se contente de monologue, et de rire de ses malheurs avec son animal. Ça tourne en rond. Il manque un apport de personnage secondaire. Ceux-ci sont sous-utilisés alors qu’on a du potentiel avec notamment les apparitions de Marc Fraize et Maxence Tual. À force, même le personnage de Laure Calamy va devenir agaçant. Un moment, l’humour est remonté quand il y a eu enfin la confrontation des deux amoureux interdits. Mais ça ne dure pas longtemps pour mon plus grand regret. C’est dommage car Benjamin Lavernhe est sympa à voir jouer, tout comme Olivia Côte. Et à partir de là, on remet une pièce dans la même boucle de la randonnée solitaire avec son quadrupède. Ce que j’aime bien dans les comédies de ce genre, est l’habituelle morale un peu niaise mais qui donne à sourire. Là par contre, je la cherche toujours vue la zéro remise en question de Antoinette.
Si vous aimez les ânes, c'est tous juste supportable; si vous aimez les Cévennes, vous pouvez résister un peu. Si vous n'aimez ni l'un ni l'autre, surtout partez très vite sans vous retourner......
Un joli film plein d'humanité, de poésie, de beaux paysages et de remises en question, porté par Laure Calamy toujours aussi splendide et par l'âne Patrick, aussi adorable que drôle. Un film qui fait du bien.
Vu au ciné "ANTOINETTE DANS LES CEVENNES" de Caroline Vignal, road-movie initiatique et naturaliste: une institutrice un peu fantasque, amoureuse du père de l'une de ses élèves, marié , décide de partir en randonnée dans les Cevennes afin de le retrouver, une randonnée un peu particulière puisqu'elle devra la faire avec un âne! (aventure librement inspirée de "Randonnée dans les Cevennes avec un âne" de Stevenson).Ce chemin qu'elle va effectué sera surtout l'occasion d'un vrai chemin de vie pour elle, plus un chemin qu'un vrai but, une quête d'amour qu'elle va devoir partager avec son âne Patrick, le seul à qui elle se confie vraiment, lui racontant notamment ses expériences amoureuses (en effet celui-ci n'avance que si elle lui parle!), s'attachant à lui comme à un compagnon confident, une aventure humaine et spirituelle simple mais pleine de fraîcheur et de légèreté bienvenue, qui s'enveloppe de magnifiques et apaisants paysages, parfois lunaires, c'est à la fois drôle et pittoresque grâce aux situations (surtout les rapports entre l'âne et Antoinette) et aussi parfois touchant et mélancolique, au fonds poétique aussi. Si Benjamin Lavernhe est une nouvelle fois excellent c'est évidemment LAURE CALAMY qui porte le film et le bonifie par sa douce folie, son peps, mais aussi avec son charme si touchant et une vraie sensibilité à fleur de peau (comme cette scène si juste et si bouleversante où elle déprime, en larmes) cette magnifique comédienne trouve enfin un vrai premier rôle à la portée de son grand talent, qui lui correspond totalement: elle irradie d'humour détonnant, pétillante et lumineuse, mais elle nous bouleverse aussi dans sa recherche d'amour, elle est vraiment formidable! Un petit film qui fait vraiment du bien, fausse comédie romantique mais vraie bulle de fraîcheur sur le cinéma français, à savourer en salles!
Aussi attrayant qu'un voyage dans cette région de la France, Antoinette dans les Cévennes ne s'inscrit pas dans le grand cinéma français malheureusement. La vitesse du film n'a d'égale que celle de l'âne dans celui-ci, l'équidé reste à mon sens le meilleure acteur du long métrage le reste du casting ne crevant pas l'écran à notre plus grand désespoir. La moyenne d'âge dans la salle approchait les 50 ans, si vous ne rentrez pas dans cette classe d'âge je vous déconseille de vous aventurez en salle pour ce film. Il est dommage de constater que malgré quelques moments amusants et de beaux paysages le scénario ne soit pas à la hauteur.
Les Cévennes : magnifique région. Laure Calamy : magnifique comédienne. On aurait pu s'attendre à "Antoinette dans les Cévennes" : magnifique film. Eh bien non ! Certes, les Cévennes y sont mises en valeur, mais, concernant Laure Calamy dont c'est le premier film dans lequel elle a le rôle principal, on l'a connue mieux utilisée, on l'a connue meilleure. Mis à part les très beaux paysages du chemin de Stevenson, le film s'égare dans des péripéties qui se veulent comiques mais qui sont parfois très vulgaires et presque toujours peu drôles. Une scène est excellente mais, à elle seule, elle n'arrive pas à sauver le film : celle qui réunit Laure Calamy et Olivia Côte, interprète de la femme de l'amant de Laure Calamy.
Une comédie pleine de fraîcheur et de spontanéité qui embarque le spectateur dans un road trip dans les Cevennes. C'est fin, c est savoureux... Un vrai bon moment, une vraie réussite.
La vulgarité est-elle désormais obligatoire afin de décrocher les subventions nécessaires au tournage d'un film ?
Bonne idée de départ, sur le thème du roman de Stevenson : Voyage avec un âne dans les Cévennes
La bande-annonce promettait que le film serait amusant, il l'est en fait très peu. J'y ai emmené ma fille parce que je croyais que nous allions passer un bon moment et je regrette beaucoup que les cinéastes se sentent obligés d'inclure des scènes de cul (l'actrice principale a un rapport sexuel avec son copain dans un pré), beaucoup d'allusions sexuelles ("spoiler: mon mari a de gros besoins ") et beaucoup de grossièretés.
Un peu plus tard, on comprend que l'héroïne a aussi passé la nuit avec un type qu'elle vient de rencontrer.
Bref, ce qui aurait pu être un moment de rêve, de poésie, de beauté des paysages, d'humour avec l'âne récalcitrant se transforme en documentaire sur une nunuche qui ne sait pas dire non à tous ceux qui veulent la sauter. Nul.
Ce film, tourné il y a 40 ou 50 ans, aurait certainement été beaucoup plus beau.