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Tardyluna
5 abonnés
95 critiques
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2,5
Publiée le 2 juin 2023
J'avais grand hâte que ce film passe à la télévision. Quelle déception ! Ni touchant, ni drôle, ennuyeux à souhait. 1 étoile pour Patrick, 1 étoile pour les paysages, 1/2 étoile pour le reste...
Cette comédie m'a vraiment déçue par rapport à ce qui avait été annoncé. Certe, les paysages sont magnifiques, et Laure Calamy se démène dans son rôle d'amoureuse éconduite. Mais il manque quelque chose pour que le film nous enchante totalement.
Un film original qui réunit de l'humour, de l'émotion et de l'aventure. Il m'a plu sans pour autant m'enthousiasmer. La relation d'Antoinette à son âne constitue l'élément le plus amusant.
Une petite perle ! Je n'avais pas autant pleuré de rire depuis longtemps. Toute la première moitié est hilarante, le personnage est superbement interprété par Laure Calamy, sensible, naturelle et drôle malgré elle. La seconde partie laisse place au dénouement de l'histoire mais est toute aussi charmante. C'est une comédie très fraîche, touchante, tout en simplicité pourtant. Un film qui fait du bien !
Un aspect téléfilm et que de lenteurs dans ce film ennuyeux. Un scénario pour dame en crise de la quarantaine. Laure Calamy est bien mais ne sauve pas un film paresseux.
Ça fait du bien. C'est simple, ça respire le bonheur, la délicatesse, la sincérité ! Laure Calamy rayonne dans un rôle avec une vraie personnalité (la sienne qui transparaît comme d'habitude) qui a des émotions fortes qu'on ressent totalement ! Le ton est parfait, comique et sincère, comme la vie quoi ! L'image est succulente, les Cévennes et même les montagnes françaises baignent dans des couleurs que la réalisatrice a su magnifiée. Si le scénario est très simple il nous accroche et on est emporté dans ce compte de fée tout sauf idyllique. Bref c'est un sans faute et c'est vraiment un film croustillant à voir et à revoir en famille, entre amoureux, ou tout seul, pour se redonner un peu de baume au cœur.
Je suis d'accord avec certains, ce n'est pas franchement drôle sauf quand Antoinette galère avec son âne. Et non il ne se passe pas grand chose. Pourtant, ce film m'a fait du bien. D'abord parce que Laure Calamy est une pépite que j'adore et qui captive quelque soit son rôle. Et il y a un message derrière cette légèreté, sur l'adultère et le fait de passer sa vie à attendre une personne qui n'est pas libre et ne le sera probablement jamais. Antoinette durant ces vacances un peu creuses, non choisies et sans vraiment de but va tout simplement découvrir d'autres aspects de la vie, d'autres gens et peut-être tout simplement se découvrir elle-même. J'ai passé un bon moment et les paysages sont magnifiques.
Pour Antoinette dans les Cévennes, c’est ici la marche en thérapie. La médiation animale est une salutaire pratique assez répandue, mais avec un âne c’est peu courant, surtout quand celui-ci s’appelle Patrick !!! C’est aussi le faux plan par excellence : son amant n’est pas là ; En tant que sorcière du triangle amoureux, elle se fait bien juger par les bobos marcheurs pas si libertaires que ça. Elle se retrouve avec… Patrick… ; La marche à la base n’est pas forcément son truc. Bref, une accumulation de galères qu’elle va tenter de surmonter une à une, aidée par les Cévennes et par Patrick.
On apprend alors avec elle la véritable histoire de Stevenson et Antoinette est un peu réhabilitée quand elle comprend que son périple est véritablement celui qui s’approche le plus de l’écrivain écossais, car comme lui, elle le fait avec un âne (bon, pour lui c’était une ânesse), et comme lui, le cœur en confettis, du fait d’un dépit amoureux. Elle va devenir au fil de ses épiques randonnées, une forme d’icône du GR des Cévennes, et ça, ce n’est pas rien. Respect Antoinette !!
Laure Calamy, paumée, est envoutante en amoureuse résiliente. Si dans A plein temps (2022), elle doit affronter une autre forme de transport, le combat ordinaire en tous cas, lui va si bien. Il faut reconnaître que quand elle confie à Patrick, son âne qu’avec son amant Vladimir, « c’était pas juste du cul », il y a de la tragédie hilarante, émotions contrastées que Laure sait incarner à merveille. Caroline Vignal était depuis Dix pour cent (2015-202) totalement fan de Laure, disant de sa muse qu’elle « a été comme une fée dans le film« . Au final, Antoinette dans les Cévennes est un bonbon très frais, un tendre portrait par et pour une actrice qui se révèle au monde de plus en plus, et Dieu que c’est bon…
Ce film a tout de la bonne idée sur le papier : une actrice qui monte et qui tient la route, un pitch "sympa"spoiler: ( la femme qui part carrément retrouver son amant parti en vacances avec femme et enfant), un titre accrocheur et une sorte de concept de départ d'un personnage féminin un peu déluré et inconscient. Le souci est que la réal a pensé qu'un bon concept ferait un bon film et qu'au delà de ce dernier, elle n'a rien à raconter. On voit toutes les bonnes idées mais ça ne fonctionne jamais, l'actrice principale est en roue libre la plupart du temps : elle fait de son mieux mais on sent que son personnage n'a aucune "direction" ni raison d'être. Bravo à laure calamy d'avoir assumer la chose jusqu'au bout et de s'être donnée : donc vas y que je pousse la comédie, que j'enfonce le clou, que je pousse des cris, que je pleure, etc. Mais le personnage demeure malgré tout inexistant et indéfendable.
Le scénario n’est pas folichon : Antoinette Lapouge (Laure Calamy), institutrice, célibataire, décide de suivre discrètement, pendant 6 jours, avec l’âne Patrick, son amant, Vladimir (Benjamin LAVERGNHE), père d’une de ses élèves, Alice, et qui lui avait promis un voyage à Paris mais dont la femme, Éléonore (Olivia CÔTE) a organisé une randonnée familiale sur le chemin de Stevenson (GR 70, qui va du Puy-en-Velay à Alès en 268 km et 11 jours). Il en résulte un film convenu, plein de poncifs, sans surprises, pas drôle et qui aurait dû être un drame et non une comédie, sur une femme seule, aliénée par son amant [comme Annie Ernaux dans « Passion simple » (1992)]. Un moyen métrage (le film dure 1h35) aurait permis d’éliminer les scènes conventionnelles voire hors-sujet (spoiler: nuit en forêt entourée d’animaux façon Bambi, rebouteuse ) et de se focaliser sur l’essentiel (spoiler: récit de ses échecs amoureux à l’âne et scène entre Antoinette et Eléonore, pas dupe sur son mari ). Le film a le mérite de filmer la Lozère comme dans un western mais il est beaucoup moins réussi que « Les randonneurs » (1997) de Philippe Harel, qui se déroule sur le GR 20 en Corse.
L'histoire d'Antoinette une parisienne un peu névrosée et un peu stalker, qui à vouloir se rapprocher un peu trop de celui qu'elle désire alors qu'il est parti quelques jours, va se retrouver en course à travers les Cévennes avec Patrick. Un âne un peu tête de mule sur les bords. Laure Calamy fut pour moi LA révélation de la série 10%, et depuis j'ai beaucoup de plaisir à la retrouver le temps d'un film ici ou là. Doux et drôle. Pauvre Antoinette... Et pauvre Patrick...
Les paysages sont magnifique, et Laure Calamy vient les nimber de sa grâce et de sa drôlerie. Film admirablement écrit. Une comédie populaire dans le sens noble du terme. Hâte de voir les prochains film de cette réalisatrice.
Un des films les plus ennuyeux que j ai pu voir en 50 ans.Comment obtenir un cesar en tirant pendant 1 heure sur la corde d un ane. Film nul a mon avis.Seuls les paysages sont beaux.
Ça vaut une étoile et demi pour l'âne qui est bien sympa. Dépitée, je suis restée jusqu'à la fin par respect pour le réalisateur. J'avais tellement envie de quitter le cinoche et d'aller boire un pot, hésitant entre le fou rire devant une telle nullité et la colère de m'être laissée convaincre par des critiques dithyrambiques. Les gloussements de l'actrice me hantent encore !