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Jules gregoire
5 abonnés
34 critiques
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3,5
Publiée le 27 mai 2023
Antoinette dans les Cévennes, réalisé par Caroline Vignal, nous convie à une escapade onirique au sein des paysages enchanteurs des Cévennes. Cette comédie délicate, à la fois solaire et mélancolique, mérite sans conteste une note de 3,5/5. À travers des méandres narratifs parfois alambiqués, ce film nous offre une échappée poétique, où la nature se révèle comme une compagne fidèle.
Dès les premières images, Laure Calamy incarne avec brio le personnage fantasque d'Antoinette, une institutrice en quête d'elle-même. Son jeu tout en nuances captive l'œil, telle une danse gracieuse au cœur de la flore luxuriante des Cévennes. L'actrice déploie une palette d'émotions, oscillant entre légèreté et profondeur, nous invitant à suivre ses pas avec curiosité et bienveillance.
Caroline Vignal, telle une poétesse des temps modernes, cisèle avec délicatesse les paysages grandioses des Cévennes. La caméra, tel un pinceau guidé par l'inspiration, caresse les cimes des arbres, s'émerveille des rivières tumultueuses et se perd dans les brumes matinales. Chaque plan est un tableau vivant, une invitation à la contemplation et à l'évasion. La nature se révèle ici comme un personnage à part entière, imprévisible et bienveillant, offrant à Antoinette une résonance profonde avec ses propres tourments intérieurs.
Cependant, malgré cette envoûtante symphonie visuelle, le récit se laisse parfois emporter par des détours narratifs superflus. Comme une rivière s'égarant de son lit, le film se perd par moments dans des méandres qui ralentissent le rythme et éloignent le spectateur de l'essence même de l'histoire. Ces égarements, bien qu'atténuant l'impact émotionnel, n'entachent toutefois pas complètement la beauté fragile qui émane de cette aventure.
Antoinette dans les Cévennes, tel un songe éveillé, se distingue par son charme subtil et sa sensibilité palpable. À travers les rires teintés d'une douce mélancolie, le film nous invite à nous perdre dans les méandres de l'âme humaine et à trouver la rédemption au cœur d'une nature accueillante. Bien qu'imparfait dans sa trame narrative, cette œuvre offre une expérience cinématographique touchante, rappelant avec délicatesse la beauté des rencontres fortuites et des chemins de traverse. Un périple qui, malgré ses détours, mérite d'être entrepris pour la promesse d'un émerveillement fugace et d'une reconnexion avec nos propres échos intérieurs.
Le film doit beaucoup à son actrice principale car sinon ce n'est pas le scénario qui permettrait de tenir sur la longueur. Les beaux paysages, la découverte du chemin de Stevenson, l'âne Patrick....tout ça contribue à faire passer un bon moment, mais sans plus!
Un voyage initiatique avec un âne sur le chemin de Stevenson, dans les Cévennes. C'est frais et gai comme la prestation de Laure Calamy. Sa relation avec la bête réjouira tous les amis des animaux !
Petite comédie agréable, plutôt bien rythmé par le jeu de Laure Calamy. Une histoire d'amour originale et inattendue dans laquelle on se plonge facilement !
Un film qui se laisse regarder, avec quelques scènes amusantes, l'âne est finalement assez taquin. Ce n'est toutefois pas la comédie du siècle, le scénario n'est pas fourni et c'est plutôt difficile de faire un film d'1h30 uniquement sur une randonnée en Cévennes avec un âne. Les paysages cevenols sont plaisants à regarder. Cela ne casse pas des briques mais fait passer un moment agréable pour ceux qui aiment la nature.
Ce n'est ni un bon film ni un mauvais film, c'est une comédie agréable à regarder, un poil trop long à mon goût, et un peu gnangnan à certains moments, mais l'ensemble reste agréable.
Une histoire simple et joliment raconté mais rien de bien fou non plus, un petit film sans prétention Calamy est plutôt convaincante et apporte une certaine fraîcheur.
Bien, pas grand chose à sauver, à si le plaisir de ré entendrespoiler: 'My Rifle, My Pony and Me" Chanson de Dean Martin et Ricky Nelson qui renvoie, elle, à un vrai grand film RIO BRAVO.
Scénario nullissime, direction d'acteurs inexistante, ennui profond.... Passez votre chemin.
Pour finir sur une bonne note, j'ai trouvé l'atmosphère musicale du film plutôt agréable....
Antoinette dans les Cévennes. Marguerite version Laure Calamy, cette fois ci il s'agit d'un âne. Des beaux paysages, quelques rencontres, pas vraiment de hauts sommets à l'image de la région. Deux étoiles et demie.
Très mignon, très belles images, Laure Calamy très bien, et l'âne impérial. Pour un dimanche soir de repos des neurones, c'est parfait. Si on cherche un grand film, en revanche, il faudra chercher ailleurs.
Film sans intérêt qui se veut un Vaudeville à la campagne. Ca a juste le mérite de vanter le chemin de Stevenson. Sinon l'histoire est plutôt complètement éculée.
un film pétillant que cette histoire d'institutrice un peu naïve qui va faire le chemin de Stevenson avec âne, ave l'espoir d'y retrouver son amant qui le fait lui même avec sa femme et sa fille, élève de l'institutrice. Evidemment, les choses ne vont pas se passer comme prévu et la belle Antoinette va souffrir et grandir en parcourant ce chemin qui lui permettra de se retrouver et se réconcilier avec elle-même. L'actrice est excellente, les images jolies, les gags bien dosés et la plupart des personnages bienveillants, y compris l'épouse de l'amant volage qui saura donner une belle leçon de vie à sa rivale. un bon moment de cinéma, sans prétention, mais réussi et plein de vitalité et de belles choses
J'ai trouvé ce film grotesque et plein de clichés. L'histoire ne tient pas débout. Elle est pénible à voir. Chacun semble jouer un rôle qui a déjà été vu et revu tant de fois. Enfin, pour un film qui est censé se dérouler en grande partie dans la nature, dans les Cévennes, je trouve que les choix de cadrage et de lumière sont vraiment décevants.
Joli paysage mais le film souffre d'un paquet d'incohérences : 1. plus aucune femme ne porte ce prénom qui rime avec gant de toilette. 2 aucune institutrice n'aurait l'idée saugrenu d'enfiler une robe sans soutif en classe. 3 pourquoi Antoinette sourit-elle benoîtement sans aucune répartie lorsqu'Eléonore lui révèle qu'elle connaît sa relation avec son mari ? 4 pourquoi à partir de la chute d'Antoinette ne sait-on plus rien de Vladimir et d'Eléonore, pourtant personnages principaux ? 5 l'aubergiste lui dit qu'elle a 2 jours de retard et que son âne - qui, je cite - n'est pas en vacances, lui , doit immédiatement repartir, Patrick aurait donc dû repartir l'avant-veille. 6 si les ânes repartent sitôt arrivés, pourquoi y en a-t-il une vingtaine dans l'enclos ? 7 personne ne court en montée sur chemin caillouteux 2 jours après une entorse qui empêche de toucher le sol, magnétiseuse ou pas !