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    Arthur Rambo
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    Catherine A
    Catherine A

    3 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 février 2022
    Le nouveau mal du siècles : les réseaux sociaux ou comment ruiner une carrière débutante. Quelques scènes semblent rapporter pour que le film ait la longueur souhaitée, cela m'a laissé perplexe mais sans doute n'ai je pas compris ce que voulait faire passer le réalisateur.
    Anita Perez
    Anita Perez

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 février 2022
    Formidable film!
    Fin , intelligent.
    De l'importance des mots ,de la provocation et du deuxième degré.
    Acteurs tous excellents
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2022
    Librement adapté de l’affaire Medhi Meklat [collaborateur du site en ligne « Bondy Blog », de l’émission « Comme on nous parle » de Pascale Clarke sur France Inter et co-auteur du livre « Burn out » (2015)] qui avait défrayé la chronique en 2017, le film décrit, avec la précision d’un médecin légiste, l’influence des réseaux sociaux qui brûlent ce qu’ils ont adoré et rappelle aussi que ce qui est diffusé sur Internet n’est jamais oublié. C’est aussi une version moderne et proche des « Illusions perdues » de Balzac où on ne pardonne pas à Karim D. (excellent Rabah NAIT OUFELLA, tout en nuances), bien sûr, ses tweets outranciers (racistes, homophobes, antisémites et misogynes mais qui, pour lui, était du 3e degré, histoire de voir jusqu’où il pouvait aller, tout en étant de son époque où tweeter est aussi naturel que respirer) mais aussi son origine sociale, de l’autre côté du périphérique parisien (où, malheureusement, ses propos étaient pris au 1er degré par les jeunes). C’est son succès (sortie de son livre « Débarquement » où il évoque sa mère algérienne, favorablement accueilli par la critique) qui est responsable de sa chute alors que ses tweets (200 000 suiveurs) parus avant sa célébrité, sous le pseudonyme potache d’Arthur Rambo, ne choquait pas grand monde et même étaient transférés, y compris par ses proches. Bonne illustration de l’adage latin, Arx Tarpeia Capitoli proxima, il n’y a pas loin du Capitole à la Roche Tarpéienne ! Le film n’est, ni, une illustration modernisée de « L’étrange cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde » (1886) de Robert Louis Stevenson (1850-1894), allégorie de la double personnalité de chacun, écartelé entre le bien et le mal, ni une réflexion sur la différence entre l’artiste talentueux et l’homme méprisable dont l’écrivain Louis-Ferdinand Céline (1894-1961) est le prototype : prix Renaudot en 1932 pour « Voyage au bout de la nuit » et dont les propos antisémites, notamment dans « Bagatelles pour un massacre » (1937) et son attitude pendant l’occupation nazie lui valurent l’emprisonnement, la confiscation de ses biens et l’indignité nationale.
    Arnaud KaDo
    Arnaud KaDo

    64 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 février 2022
    Film plutôt bon et a le mérite d'être en phase avec notre époque actuelle. En ce sens l'histoire est sympa et originale. Ça donne a réfléchir sur les limite des réseaux sociaux . C'est pas un film exceptionnel mais ça reste un bon film bien réalisé et bien joué . La première partie est top et ça seffoufle toutefois un peu au bout de 40 minutes ... Il commence très bien mais ça manque je dirai parfois de péripéties c'est le seul bémol mais sinon c'est un bon film quand même .
    Loubascou
    Loubascou

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 février 2022
    Les dialogues sont puissants, sonnent vrai, notamment le dialogue final avec son petit frère. On en sort avec l'estomac noué.
    La musique, viens discrètement, s'amplifie aux changements de scène, et donne toute sa mesure au final.
    Frank T.
    Frank T.

    3 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 février 2022
    Excellent film qui met en évidence beaucoup de thématiques extrêmement intéressantes sur le langage, l'immigration, l'intégration, les médias, la maturité des individus... La réalisation est très dynamique avec beaucoup de scènes en mobilité, caméra à l'épaule, la musique qui donne de la profondeur à l'action . Les acteurs sont très justes et Anne Alvaro toujours parfaite et touchante.
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    177 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 février 2022
    Le film est bien et parvient à mon sens à bien reconstituer l'affaire qu'a été celle de Mehdi Meklat selon le point de vue du rédacteur incriminé lui-même. On en sait pas beaucoup plus sur les véritables raisons, les tenants et aboutissants des agissements de la personne/du personnage reflétant Mehdi Meklat/Marcelin Deschamps, mais on assiste très bien à sa descente aux enfers personnels, avec bien sûr de façon plus globale les conséquences que certains tweets peuvent avoir dans la "vraie vie". Karim D. est joué par Rabah Naït Oufella, acteur dont le jeu ne me semble pas extraordinaire à l'accoutumé, et qui ici n'est finalement pas si mauvais. Cela reste passable, on y croit et ça tient la route. Ce sont surtout la prestation des seconds rôles qui m'ont plu, notamment Antoine Reinartz et Sofian Khammes que j'avais bien apprécié déjà dans le film Un Triomphe.
    Un film intéressant à voir pour revivre cette étonnante histoire et polémique de 2017, sans pour autant s'attendre à y trouver plus de réponses que celles déjà données dans l'affaire et dans la presse...
    Cool_92
    Cool_92

    285 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 février 2022
    Déçu de Laurent Cantet. Le sujet Mehdi Meklat était intéressant mais qu'est-ce que c'était niais et caricatural. Comment il a pu choisir comme acteur le petit frère du héros, il me sortait du film à chaque réplique.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    175 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 février 2022
    Laurent Cantet s'inspire de l'affaire Mehdi Meklat, blogueur et écrivain à la mode avant d'exploser en vol suite à la publication de tweets haineux écrits sous pseudo quelques années auparavant. Ici il est donc question de la mémoire éternelle d'internet, du droit à l'erreur et à l'oubli et d'une certaine manière de la liberté d'expression. Pédagogique dans sa manière de montrer la dangerosité des réseaux sociaux le film m'a moins convaincu dans sa manière d'absoudre, comme l'avait fait une partie de la gauche à l'époque, les dérapages racistes, homophobes, misogynes et antisémites du jeune Mehdi sous prétexte de "performance littéraire". Ce qui ressemblait plus à une communication de crise pour sauver les meubles.
    patrick servel
    patrick servel

    2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 février 2022
    Karim D. que campe Rabah Naït Oufella est un jeune écrivain qui vient de l’autre coté du périph. Coté banlieue.
    Il a écrit un livre sur sa mère : son parcours depuis son arrivée en France. Une mère courage qui élève ses deux garçons. Dans la droiture.
    Karim est devenu la coqueluche de toute la galaxie intellectuelle parisienne. Il participe à une emission de télé du genre la grande librairie. AU cocktail qui suit, tout le monde est là pour le féliciter . On lui propose m^me d’adpter son livre pour qu’il devienne un film. Son ami Rachid est là Sofian Khammes (mes frères et moi) pour alimenter les réseaux sociaux.

    Justement sur les réseaux sociaux, apparait que Karim D. existe aussi, enfin a existé sous le pseudo accrocheur de Arthur Rambo. Plus Rambo qu’Arthur, puisque sous ce pseudo, ce sont des torrents de haine qui ont inondés twitter : de la haine contre les juifs, les homos, les gros, les grosses.

    La descente aux enfers commence pour Karim. Tout le monde lui tombe dessus.
    Ses amis de la cité, avec qui il a fondé une chaine TV, qui lui reproche d’avoir tout cassé et que désormais cela allait être compliqué pour eux de continuer à vivre. La presse bien sûr, sa maison d’édition qui bloque tous les retirages du livre pourtant promis à un grand succès.
    Seuls les fachos jubilent, en se moquant de cette gauche bobo bien-pensante, qui avait élevé Karim au niveau d’un héros.

    Mais qui est Karim ? que faisait il quand il était Rambo. Lui indique qu’il le faisait pour provoquer bien sûr en priorité, pour lancer des débats et bien évidement qu’il ne fallait rien prendre au 1er degré. Il disait tirer sur tout ce qui bouge, à gauche à droite, les hommes les femmes, les stars, les handicapés. Les juifs, les musulmans, même si on lui fait remarquer que 90% était contre les juifs et simplement 10% contre les musulmans.

    Que veut nous dire Laurent Cantet, qu’on avait découvert au début des années 2000 avec ressources humaines et qui avait eu la palme d’or à Cannes en 2008 pour entre les murs où on suivait un jeune professeur de français dans un collège difficile.

    Tout le monde a une part d’ombre. Tout le monde peut être grisé à un moment par la notoriété. Car oui dans son passé de Rambo, Rachid avait du succès : tout le monde en voulait de plus en plus. Lui qui pensait qu’il n’était pas utile de donner un mode d’emploi, ne se rendait peut être pas compte que pour certains, ce qu’il écrivait était pris comme argent comptant. Son jeune frère Rachid par exemple, qui se trouve désemparé et qui ne comprends plus son grand frère. Farid interprété par Bilel Chegrani qui lui dit : « mais si je ne peux pas faire confiance à mon frère, à qui puis-je faire confiance ? »

    Laurent Canter nous laisse réfléchir. Il nous livre un Karim pas forcément très sympathique.
    C’est une radiographie de notre époque : l’immédiateté des réseaux sociaux qui fait que l’on passer de l’obscurité à la lumière et inversement.
    Cinématographiquement, pas très excitant, avec des scène de remplissage.
    Mais une réflexion intéressante.
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    110 abonnés 330 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2022
    Ai vu "Arthur Rambo" du réalisateur Laurent Cantet. Dès le plan d'ouverture nous savons qu'il y a un grand metteur en scène derrière la caméra. Karim D est un tout jeune écrivain et il est invité dans une émission littéraire à la télévision. Gros plan sur Karim D devant un fond vert alors que l'on voit sur un écran de contrôle l'image diffusée avec un décor gigantesque qui n'existe pas. Tout le film est sur l'apparence, les faux semblants... Qui est derrière la plume d'un livre, qui est derrière son écran de téléphone pour tweeter des propos racistes, homophobes, antisémites... et cracher sa haine. Dans le cas présent c'est la même personne. Karim D, que tout le microcosme parisien encense lors de la fête de lancement de son premier livre sur l'intégration de sa mère algérienne en France, est rejeté tout aussi vite lors de la même soirée lorsque sur Tweeter un anonyme fait le lien entre l'écrivain et Arthur Rambo, un hater (faiseur de haine) qui a inondé la toile de ses propos haineux et infamants. La caméra de Cantet ne quitte jamais son protagoniste qui du XVIème arrondissement de Paris est rejeté petit à petit dans sa banlieue, où il ne trouvera pas plus d'écoute. Le film est millimétré, construit avec tact, implacable. Karim D alias Arthur Rambo a les traits angéliques de l'acteur Rabah Naït Oufella et c'est un très bon choix de casting en plus d’être une excellente idée scénaristique. On ne peut imaginer un instant ce jeune homme qui s'exprime bien, qui est intelligent, qui sait évoluer dans des milieux différents être le serpent vénimeux suivi par des milliers de fans qui en redemandent encore plus de fiel sur les réseaux sociaux. Incompréhension de toutes les parts, Karim ne trouvera qu’ecoute et un semblant de début de conscience dans une scène pratiquement muette avec la magnifique Anne Alvaro. L'histoire est librement inspirée de celle de Medhi Meklat écrivain et chroniqueur à France Inter dans une émission de Pascale Clark. De très belles séquences tout au long du film, celles de l'interview malheureuse avec une journaliste, celles avec son petit frère qui à la surprise générale n'a pas du tout la même lecture de l'affaire des Tweet, celle de sa rencontre avec une femme écrivain que l'on devine être Virginie Despentes et celle magistrale avec Anne Alvaro qui lui dira "C'est la vie, C'est la loi". Le film se déroule pendant 48 heures où Karim va vivre une descente vertigineuse de son piédestal éphémère et illusoire. Ce film ne laisse pas indifférent et outre ses nombreuses qualités cinématographiques et scénaristiques, fait réfléchir. Car on a du mal à comprendre les motivations du jeune homme, comme tout son entourage... Une haine de soi ? Une non-conscience de l'importance de ce qui est gravé dans son téléphone et sur les réseaux sociaux ? Ivresse du nombre de like quitte à écrire l'inqualifiable ? Bêtise crasse ? Pensées réelles non assumées ? Un film fort, film miroir, bien de notre époque qui ouvre plusieurs pistes sans être jamais dogmatique même s'il laisse le spectateur à ses questionnements...
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 358 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2022
    “Entre les murs”, “L’atelier”... Laurent Cantet nous questionne régulièrement sur des sujets sociaux et "Arthur Rambo” est l’occasion pour lui de nous mettre en pleine face notre identité numérique et la spontanéité que nous y apposons. L’histoire nous présente Karim D., un jeune auteur en pleine ascension. Son premier roman sur l’immigration est d’ailleurs la cible d’une adaptation cinématographique. Pourtant, la carrière de cet homme d’origine algérienne va brusquement s’arrêter après la découverte de centaines de tweets racistes, antisémites, homophobes, misogynes, postés il y a des années sous le pseudonyme “Arthur Rambo”. L’écrivain au charisme fou s’attise alors la haine de tout son entourage. Peut-on rire de tout et s’exprimer sur tout ? Laurent Cantet signe une œuvre troublante et très actuelle sur le poids des mots à l’heure des réseaux sociaux.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    PIERRE-QUI-ROULE
    PIERRE-QUI-ROULE

    61 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2022
    Il ne faut pas se leurrer. Déverser autant de venom et puis se justifier sa haine pour avoir soi-disant des abonnés, il faut être drôlement naïf pour y croire. Même Taubira (dont je ne suis pas fan l'avait condamné à l'époque.. à sa façon).

    Ce film m'a fait découvrir ce fait divers. Mais contrairement aux autres je n'ai pas trouvé de condescendance..

    Cantet semble présenter les faits sans partie prise. Les tweets présentés en fond noir m'ont beaucoup choqué. Quelle haine ! De plus, mise à part sa maman, aucun de ses proches ne condamne ses propos. Un moment, il se justifie en leur disant "vous avez écrit avec moi". Glaçant.

    J'aurai aimé mettre 4 étoiles mais j'ai trouvé que aucun acteur n'est convaincant. Tout le monde joue mal. Dommage.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    187 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2022
    Inspiré de l'affaire Mehdi Meklat, Laurent Cantet se lance dans "Arthur Rambo" pour démontrer la force des réseaux sociaux, l'impact de leurs historiques ainsi que la perception que chacun peut avoir d'un post. Le film commence fort et on se prend très facilement au jeu. Mais eu fur et à mesure que l'histoire avance, on se perd un peu, ne sachant pas trop quoi penser, on est aussi perdu que le personnage, voire même encore plus perdu que lui. Du coup on sort complètement du film. Pourtant Rabah Naït Oufella est très bon et porte le film de bout en bout. Cette affaire est certes très intéressante mais valait-elle une adaptation au cinéma ? Un buzz médiatique n'est pas toujours suffisamment cinématographique.
    ATON2512
    ATON2512

    58 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2022
    De Laurent Cantet (2022).
    Choc, didactique sur le fonctionnement des réseaux sociaux et dérangeant.
    Un film à voir absolument ! Commençons par le premier rôle joué par le comédien Rabah Naït Oufella, beau mec , à priori bien dans sa peau et visiblement bien intégré. Le film tourne en effet autour de lui. Et si l'effet du film joue à fond, tient aussi dans son personnage principal. Loin des clichés des personnes non intégrées voire proches des mouvements religieux ou autres. Le premier intérêt du film est de nous monter parallèlement à l'ascension sociale d'un écrivain et sa chute via les réseaux sociaux. Sans être une critique acerbe des réseaux sociaux, le film nous livre tous les travers du fonctionnement des réseaux, de leur effet accélérateur, fédérateur en bien ou en pire. La puissance auto-réalisatrice autant que destructrice des réseaux est très bien expliquée. Comme celle de son addiction. C'est très documenté et didactique.
    Le film commence bien , la réussite, l'ascension sociale et la reconnaissance ! Et ensuite crécendo la descente aux enfers!
    Tous les protagonistes autour de Karim jouent bien leur partition et servent ben le propos . Des dégâts occasionnés à tous les niveaux de cette chute comme les questionnements que delà révèle. De la maison d'édition, du goths parisien encensant un jeune prodige, des associations de quartiers anéanties. Jusqu'au rejet du jeune frère qui se sentira trahit par celui qu'il considérait comme un modèle. Certes parfois, la limite avec un certain amalgame est pas loin. Pour autant, tout ce qui alimente le terreau social d'une certaine paupérisation sociale et politique de la société est bien posée. La force aussi du film et qui tout au long du film est instillée est le doute. Doute sur la réalité des sentiments de Karim. Le film ne réponds jamais à cette question à savoir si c'est une erreur de jeunesse ou si Karim est un dissimulateur ! Ce doute jusqu'à la fin occupera longtemps l'esprit même après avoir vu le film.
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