Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
L'Humanité
par La rédaction
Témoignage poignant et précis sur la violence des mécanismes des réseaux sociaux, le film aborde la question de l’identité et l’impact de ces médias sur la construction de celle-ci.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Voici
par La Rédaction
Le réalisateur du terrible Ressources humaines s'inspire de l'affaire Mehdi Meklat, cocréateur du Bondy Blog et icône déchue. On adore !
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans Arthur Rambo, Rabah Naït Oufella joue avec brio toutes les nuances d’ambiguïté du cas Meklat.
Femme Actuelle
par La rédaction
Une histoire simple mais sans doute utile pour la génération Twitter.
LCI
par Jérôme Vermelin
[Un] long-métrage passionnant.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par La rédaction
Ce film implacable, sur un personnage ambigu, renvoie à la responsabilité, au poids des mots et à l’introuvable droit à l’oubli.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Laurent Cantet questionne avec inquiétude mais sans moralisme les réseaux sociaux.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le réalisateur montre avec finesse l'ascension et la chute d'un jeune laissé-pour-compte devenu célèbre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Un film modeste et juste dans sa volonté d’aider à comprendre, sans minimiser ni accabler une fois pour toutes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le réalisateur d'« Entre les murs » filme la chute d'une idole d'Internet traquée par son propre passé. Inspiré d'une histoire récente et vraie, « Arthur Rambo » se voit comme un thriller et le portrait d'une époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
De ce matériau inflammable qui embrasse des sujets liés à l’appartenance de classe, à la possibilité (ou pas ?) de s’en extraire, mais aussi au racisme systémique, à la liberté d’expression, Cantet tire un film alerte et nerveux, proche du polar.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Partant sans doute du principe qu’il n’y a rien à «expliquer», Arthur Rambo relate à froid, mais avec une empathie mesurée pour son personnage, les quarante-huit heures qui suffiront à ce qu’un écrivain adulé précisément pour ses origines autant que son talent littéraire devienne la créature la plus honnie du système médiatique et de la place de Paris, le film se développant en un quasi-polar nerveux, construit sur la nébuleuse résolument opaque qui entoure les motivations de Karim D.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Après avoir signé plusieurs films marquants sur la France d'aujourd'hui, Laurent Cantet récidive avec de dérangeant Arthur Rambo.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Frédéric Mercier
La force principale du film réside dans la manière dont apparaissent par à-coups les tweets : d’abord sur fonds noirs comme des intertitres puis directement dans l’image. Ils semblent brouiller les pistes, agir sur notre perception du monde, la modifier de l’intérieur comme des interférences venues d’un monde parallèle.
Sud Ouest
par Sophie Avon
En moins d’une heure trente, Laurent Cantet ramasse toutes les fractures de notre société. La banlieue, la vitesse, le sens des mots, la violence mortifère du virtuel.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Servi par une mise en scène nerveuse et inventive, le film passionne et nous tient jusqu’à son dénouement, cruel.
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Laurent Cantet retrace avec une froideur clinique la descente aux enfers d'une personnalité via les réseaux sociaux, et la confronte à ses irréconciliables contradictions. Impressionnant.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film coup de poing qui, en à peine une heure et demi, dresse le portrait d’une France fracturée, rongée par la folie des réseaux sociaux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le réalisateur se fait observateur, sans jamais tenter une identification à son personnage, avec un regard extérieur presque puritain. [...] Cette distanciation constitue la qualité et la limite du film, qui y gagne en réflexion, tout en y perdant en émotion.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le film, entre radiographie de l’époque et errance existentielle, est propre à nourrir le débat.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Sans juger son personnage, Laurent Cantet l'accompagne tout en nuances pour esquisser une espèce d'introspection sociétale sur l'addiction de l'époque aux réseaux sociaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Peut-être parce que cet Arthur Rambo reste incompréhensible faute de le décrire intimement. On sort en se demandant si on a vraiment appris quelque chose.
Télérama
par Marie Sauvion
Ce mystère, le cinéaste ne prétend pas en avoir la clé. Il préfère enregistrer la violence et la rapidité de la chute de Karim, avec une sécheresse, une neutralité qui n’évitent pas toujours la mise à distance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Laurent Cantet concentre en 24 heures le récit d’une glorification et celui d’une chute. Enfermé ainsi dans une cocotte-minute morale et médiatique, Karim/Arthur est pris entre ces deux figures intenables, toutes deux soumises à un fantasme bourgeois. Le film ne choisit pas non plus, puisqu’il se situe quand cette double identité, dévoilée, se scelle et s’annule.
Critikat.com
par Valentin Denis
Si le film parvient tout de même à explorer un horizon plus intéressant que la seule peinture des affres des réseaux sociaux, le manque d'inspiration de sa mise en scène l'enferme toutefois dans les contours étroits d’un drame social assez conventionnel.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le sujet est complexe, voire ultrasensible (les réseaux sociaux, la presse, la meute), mais le récit finit par l’aseptiser.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On sortira du film comme on y est entré, en se demandant si cette triste histoire appelait autre chose que la réparation du silence.
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
En s’inspirant librement de l’histoire des tweets de Mehdi Meklat, Laurent Cantet souhaite dénoncer le rôle des réseaux sociaux qui font et défont les réputations. Peu inspiré, il peine à nous impliquer dans cette parabole du lynchage médiatique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Humanité
Témoignage poignant et précis sur la violence des mécanismes des réseaux sociaux, le film aborde la question de l’identité et l’impact de ces médias sur la construction de celle-ci.
Voici
Le réalisateur du terrible Ressources humaines s'inspire de l'affaire Mehdi Meklat, cocréateur du Bondy Blog et icône déchue. On adore !
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans Arthur Rambo, Rabah Naït Oufella joue avec brio toutes les nuances d’ambiguïté du cas Meklat.
Femme Actuelle
Une histoire simple mais sans doute utile pour la génération Twitter.
LCI
[Un] long-métrage passionnant.
La Croix
Ce film implacable, sur un personnage ambigu, renvoie à la responsabilité, au poids des mots et à l’introuvable droit à l’oubli.
Le Dauphiné Libéré
Laurent Cantet questionne avec inquiétude mais sans moralisme les réseaux sociaux.
Le Figaro
Le réalisateur montre avec finesse l'ascension et la chute d'un jeune laissé-pour-compte devenu célèbre.
Le Parisien
Un film modeste et juste dans sa volonté d’aider à comprendre, sans minimiser ni accabler une fois pour toutes.
Les Echos
Le réalisateur d'« Entre les murs » filme la chute d'une idole d'Internet traquée par son propre passé. Inspiré d'une histoire récente et vraie, « Arthur Rambo » se voit comme un thriller et le portrait d'une époque.
Les Inrockuptibles
De ce matériau inflammable qui embrasse des sujets liés à l’appartenance de classe, à la possibilité (ou pas ?) de s’en extraire, mais aussi au racisme systémique, à la liberté d’expression, Cantet tire un film alerte et nerveux, proche du polar.
Libération
Partant sans doute du principe qu’il n’y a rien à «expliquer», Arthur Rambo relate à froid, mais avec une empathie mesurée pour son personnage, les quarante-huit heures qui suffiront à ce qu’un écrivain adulé précisément pour ses origines autant que son talent littéraire devienne la créature la plus honnie du système médiatique et de la place de Paris, le film se développant en un quasi-polar nerveux, construit sur la nébuleuse résolument opaque qui entoure les motivations de Karim D.
Marianne
Après avoir signé plusieurs films marquants sur la France d'aujourd'hui, Laurent Cantet récidive avec de dérangeant Arthur Rambo.
Positif
La force principale du film réside dans la manière dont apparaissent par à-coups les tweets : d’abord sur fonds noirs comme des intertitres puis directement dans l’image. Ils semblent brouiller les pistes, agir sur notre perception du monde, la modifier de l’intérieur comme des interférences venues d’un monde parallèle.
Sud Ouest
En moins d’une heure trente, Laurent Cantet ramasse toutes les fractures de notre société. La banlieue, la vitesse, le sens des mots, la violence mortifère du virtuel.
Télé 7 Jours
Servi par une mise en scène nerveuse et inventive, le film passionne et nous tient jusqu’à son dénouement, cruel.
Télé Loisirs
Laurent Cantet retrace avec une froideur clinique la descente aux enfers d'une personnalité via les réseaux sociaux, et la confronte à ses irréconciliables contradictions. Impressionnant.
aVoir-aLire.com
Un film coup de poing qui, en à peine une heure et demi, dresse le portrait d’une France fracturée, rongée par la folie des réseaux sociaux.
Franceinfo Culture
Le réalisateur se fait observateur, sans jamais tenter une identification à son personnage, avec un regard extérieur presque puritain. [...] Cette distanciation constitue la qualité et la limite du film, qui y gagne en réflexion, tout en y perdant en émotion.
L'Obs
Le film, entre radiographie de l’époque et errance existentielle, est propre à nourrir le débat.
Le Journal du Dimanche
Sans juger son personnage, Laurent Cantet l'accompagne tout en nuances pour esquisser une espèce d'introspection sociétale sur l'addiction de l'époque aux réseaux sociaux.
Ouest France
Peut-être parce que cet Arthur Rambo reste incompréhensible faute de le décrire intimement. On sort en se demandant si on a vraiment appris quelque chose.
Télérama
Ce mystère, le cinéaste ne prétend pas en avoir la clé. Il préfère enregistrer la violence et la rapidité de la chute de Karim, avec une sécheresse, une neutralité qui n’évitent pas toujours la mise à distance.
Cahiers du Cinéma
Laurent Cantet concentre en 24 heures le récit d’une glorification et celui d’une chute. Enfermé ainsi dans une cocotte-minute morale et médiatique, Karim/Arthur est pris entre ces deux figures intenables, toutes deux soumises à un fantasme bourgeois. Le film ne choisit pas non plus, puisqu’il se situe quand cette double identité, dévoilée, se scelle et s’annule.
Critikat.com
Si le film parvient tout de même à explorer un horizon plus intéressant que la seule peinture des affres des réseaux sociaux, le manque d'inspiration de sa mise en scène l'enferme toutefois dans les contours étroits d’un drame social assez conventionnel.
La Voix du Nord
Le sujet est complexe, voire ultrasensible (les réseaux sociaux, la presse, la meute), mais le récit finit par l’aseptiser.
Le Monde
On sortira du film comme on y est entré, en se demandant si cette triste histoire appelait autre chose que la réparation du silence.
Les Fiches du Cinéma
En s’inspirant librement de l’histoire des tweets de Mehdi Meklat, Laurent Cantet souhaite dénoncer le rôle des réseaux sociaux qui font et défont les réputations. Peu inspiré, il peine à nous impliquer dans cette parabole du lynchage médiatique.