Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un film d’anticipation visionnaire, qui crève le cœur.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par La Rédaction
Images splendides, qualité de jeu, adresse du montage... Voilà un film dont on se souviendra.
GQ
par Adam Sanchez
Le second film du cinéaste d’origine sud-coréenne est aussi splendide que singulier, offrant à la science-fiction un récit d’une émotion et d’une sérénité telle qu’il en a peu connu ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Public
par Sarah Lévy-Laithier
A mi-chemin entre Blade Runner et les films de Terrence Malik, After Yang est rempli de tendresse et de poésie.
Voici
par La Rédaction
Magnifique.
Culturopoing.com
par Eléonore Vigier
Kogonada fait le récit d'une quête identitaire, où l’existence de chacun est interrogé dans son rapport à l’autre. (...)Toute la beauté d'"After Yang" tient à sa discrétion, ses plans fixes géométriques et flamboyants qui nourrissent son esthétique "électro".
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
C’est passionnant, et la texture du film, très soyeuse, invite à la poésie. Colin Farrell trouve ici un rôle tout en finesse, digne de son talent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec ce récit, le réalisateur Kogonada signe un film émouvant et soigné.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La fable existentielle, qui parle de la famille, de la mémoire et du deuil, émeut par sa beauté, sa douceur et sa mélancolie, tout en conservant une part de mystère.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Le réalisateur d’origine coréenne trouve des solutions de figuration prodigieuses pour représenter des tropes de la science-fiction qu’on croyait épuisés.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Nicolas Geneix
De l’art de construire un monde (de cinéma) sous inspirations. Et de proposer un univers de science-fiction empli d’échos intimes et universels, comme autant de sons divers et nécessaires formant une harmonie.
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
C’est une renouvellement feutré du genre science-fictionnel ou d’anticipation.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Rarement on aura posé des concepts aussi profonds de manière si simple et limpide. Alors, au moment où le rideau se referme, les applaudissements envahissent le théâtre Debussy. Kogonada les reçoit avec le plus d’humilité possible.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
After Yang voit se dissiper ses promesses de départ - la faute à une retenue excessive - et néglige les enjeux qui auraient permis de complexifier ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par François Cau
Via une atmosphère ouatée, sans doute trop languide, Kogonada parvient à faire ressentir le sentiment de deuil éprouvé envers un robot jamais vraiment présenté comme tel.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Kogonada réussit son mélange des genres (Colin Farell s’y montre d’une absolue tendresse) même si l’épure mène parfois au maniérisme. Mais «After Yang» est une expérience sensorielle, si rare au cinéma ces derniers temps, qu’elle en vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Adapté d’une nouvelle de l’Américain Alexander Weinstein, « After Yang » possède un charme diffus, une petite musique qui intrigue au départ avant de conquérir à la manière d’un sortilège.(...) Il y a beaucoup de délicatesse dans cette approche des mystères du vivant, une poésie tendre qui irradie peu à peu au point de captiver.
Télé 2 semaines
par Claire Picard
Un conte philosophique et mélancolique doté d’une belle esthétique et porté par un Colin Farrell tou chant et tout en retenue.
Télérama
par Frédéric Strauss
La démarche réflexive qu’entreprend l’audacieux Kogonada peut sembler élitiste. Mais elle est aussi celle d’un vrai passionné de cinéma, qui cite Blade Runner et s’aventure, à travers les reflets et les transparences, entre l’être humain et le néant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Corentin Lê
Dommage que les bonnes intuitions du film soient en permanence noyées dans une imagerie arty et des dialogues particulièrement insipides sur la condition humaine et les bienfaits de la théine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Intéressante réflexion sur la place des robots dans un futur proche, ce film à l’esthétique délicate se perd dans un récit filandreux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Cl. F.
Film d’anticipation tendance « no future », After Yang n’est pas dénué d’une certaine élégance crépusculaire, mais pèche par son atmosphère zen un brin désincarnée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Sandra Onana
Il est dommage de mettre autant de soin théorique dans la conception d’un univers qui, à l’arrivée, se révèle si fortement dénué de volume et d’existence sensible.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Claire Picard
Malgré quelques longueurs, un conte philosophique et mélancolique à l'image soignée, et porté par un Colin Farrell touchant et tout en retenue.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Si l’intrigue est d’une naïveté confondante (les robots retiennent des informations à notre insu !), elle trahit surtout un manque d’imagination. (…) S’il dénonce mollement l’aseptisation des rapports humains, Kogonada ne cache pas son plaisir à inscrire ses personnages dans les symétries lourdes offertes par les décors futuristes : qu’est-ce qu’on est beau quand on s’ennuie !
Le Parisien
par La Rédaction
Bref, à l’exception d’une trop courte scène de danse familiale très enlevée, on s’ennuie ferme dans ce film-congélateur aux théories existentialistes fumeuses.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
Une réflexion sur la technologie et les machines qui se perd dans la préciosité chichiteuse de sa mise en scène.
Première
par Frédéric Foubert
Mais les réflexions du réalisateur sur la mémoire, la technologie et l’identité, très intéressantes sur le papier, s’égarent très vite dans une succession de conversations chuchotées, cotonneuses, mises en scène de manière trop précieuse, quelque part entre du Antonioni futuriste et un Blade Runner sous anesthésie.
La critique complète est disponible sur le site Première
CinemaTeaser
Un film d’anticipation visionnaire, qui crève le cœur.
Femme Actuelle
Images splendides, qualité de jeu, adresse du montage... Voilà un film dont on se souviendra.
GQ
Le second film du cinéaste d’origine sud-coréenne est aussi splendide que singulier, offrant à la science-fiction un récit d’une émotion et d’une sérénité telle qu’il en a peu connu ces dernières années.
Public
A mi-chemin entre Blade Runner et les films de Terrence Malik, After Yang est rempli de tendresse et de poésie.
Voici
Magnifique.
Culturopoing.com
Kogonada fait le récit d'une quête identitaire, où l’existence de chacun est interrogé dans son rapport à l’autre. (...)Toute la beauté d'"After Yang" tient à sa discrétion, ses plans fixes géométriques et flamboyants qui nourrissent son esthétique "électro".
L'Obs
C’est passionnant, et la texture du film, très soyeuse, invite à la poésie. Colin Farrell trouve ici un rôle tout en finesse, digne de son talent.
Le Figaro
Avec ce récit, le réalisateur Kogonada signe un film émouvant et soigné.
Le Journal du Dimanche
La fable existentielle, qui parle de la famille, de la mémoire et du deuil, émeut par sa beauté, sa douceur et sa mélancolie, tout en conservant une part de mystère.
Les Inrockuptibles
Le réalisateur d’origine coréenne trouve des solutions de figuration prodigieuses pour représenter des tropes de la science-fiction qu’on croyait épuisés.
Positif
De l’art de construire un monde (de cinéma) sous inspirations. Et de proposer un univers de science-fiction empli d’échos intimes et universels, comme autant de sons divers et nécessaires formant une harmonie.
Transfuge
C’est une renouvellement feutré du genre science-fictionnel ou d’anticipation.
aVoir-aLire.com
Rarement on aura posé des concepts aussi profonds de manière si simple et limpide. Alors, au moment où le rideau se referme, les applaudissements envahissent le théâtre Debussy. Kogonada les reçoit avec le plus d’humilité possible.
Les Fiches du Cinéma
After Yang voit se dissiper ses promesses de départ - la faute à une retenue excessive - et néglige les enjeux qui auraient permis de complexifier ses personnages.
Mad Movies
Via une atmosphère ouatée, sans doute trop languide, Kogonada parvient à faire ressentir le sentiment de deuil éprouvé envers un robot jamais vraiment présenté comme tel.
Paris Match
Kogonada réussit son mélange des genres (Colin Farell s’y montre d’une absolue tendresse) même si l’épure mène parfois au maniérisme. Mais «After Yang» est une expérience sensorielle, si rare au cinéma ces derniers temps, qu’elle en vaut le détour.
Sud Ouest
Adapté d’une nouvelle de l’Américain Alexander Weinstein, « After Yang » possède un charme diffus, une petite musique qui intrigue au départ avant de conquérir à la manière d’un sortilège.(...) Il y a beaucoup de délicatesse dans cette approche des mystères du vivant, une poésie tendre qui irradie peu à peu au point de captiver.
Télé 2 semaines
Un conte philosophique et mélancolique doté d’une belle esthétique et porté par un Colin Farrell tou chant et tout en retenue.
Télérama
La démarche réflexive qu’entreprend l’audacieux Kogonada peut sembler élitiste. Mais elle est aussi celle d’un vrai passionné de cinéma, qui cite Blade Runner et s’aventure, à travers les reflets et les transparences, entre l’être humain et le néant.
Critikat.com
Dommage que les bonnes intuitions du film soient en permanence noyées dans une imagerie arty et des dialogues particulièrement insipides sur la condition humaine et les bienfaits de la théine.
La Croix
Intéressante réflexion sur la place des robots dans un futur proche, ce film à l’esthétique délicate se perd dans un récit filandreux.
Le Monde
Film d’anticipation tendance « no future », After Yang n’est pas dénué d’une certaine élégance crépusculaire, mais pèche par son atmosphère zen un brin désincarnée.
Libération
Il est dommage de mettre autant de soin théorique dans la conception d’un univers qui, à l’arrivée, se révèle si fortement dénué de volume et d’existence sensible.
Télé Loisirs
Malgré quelques longueurs, un conte philosophique et mélancolique à l'image soignée, et porté par un Colin Farrell touchant et tout en retenue.
Cahiers du Cinéma
Si l’intrigue est d’une naïveté confondante (les robots retiennent des informations à notre insu !), elle trahit surtout un manque d’imagination. (…) S’il dénonce mollement l’aseptisation des rapports humains, Kogonada ne cache pas son plaisir à inscrire ses personnages dans les symétries lourdes offertes par les décors futuristes : qu’est-ce qu’on est beau quand on s’ennuie !
Le Parisien
Bref, à l’exception d’une trop courte scène de danse familiale très enlevée, on s’ennuie ferme dans ce film-congélateur aux théories existentialistes fumeuses.
Ouest France
Une réflexion sur la technologie et les machines qui se perd dans la préciosité chichiteuse de sa mise en scène.
Première
Mais les réflexions du réalisateur sur la mémoire, la technologie et l’identité, très intéressantes sur le papier, s’égarent très vite dans une succession de conversations chuchotées, cotonneuses, mises en scène de manière trop précieuse, quelque part entre du Antonioni futuriste et un Blade Runner sous anesthésie.