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[...] le discours ne prend jamais le pas sur l’émotion brute suscitée par l’étrangeté et le non-sens : à l’image de la pièce qui y est montée, N° 10 tend vers la forme d’un “collage abstrait, sans repère”, dixit le metteur en scène.
Le cocasse réalisateur néerlandais, féru des dispositifs complexes, revient avec une étonnante fable bifide, qui passe abruptement d’une scène de théâtre au Cosmos.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Comme d’habitude, Warmerdam fait glisser ses personnages vers la dinguerie, et, aussi, l’utopie. Cela tend du théâtre de l’absurde et de la folie froide à la Raymond Roussel. Amateurs de bizarreries, ce film est pour vous.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
On retrouve dans N° 10 tout ce qui fait le sel délirant de son auteur au théâtre et au cinéma, à commencer par son art de raconteur d’histoires invraisemblables.
Entre un tueur à gages capable de se travestir en infirmière à domicile, une jeune fille jamais malade mais découvrant qu’elle n’a qu’un seul poumon et un comédien très en colère qui se venge en plantant sur scène un clou dans le pied d’un partenaire de jeu, on jubile d’être ainsi dérouté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un long métrage imparfait, excessif, foisonnant, parfois un peu décousu mais griffé de la marque de son auteur aussi corrosif que généreux, portant sur le monde contemporain un regard aussi peu flatteur qu'éminemment poétique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Soit vous vous agacez qu’un scénario plutôt érudit vous tende un deuxième ticket pour une fantaisie avec objet volant non identifié, soit vous vous laissez tenter. On se permet de conseiller la seconde option, pour son lâcher-prise et son final explosif.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Pas tout à fait thriller, mais pas vraiment vaudeville, Alex van Warmerdam se prend les pieds dans ce long-métrage au scénario compliqué et à la photographie terne. Les personnages, peu attachants, ne viennent pas non plus le sauver.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Cette comédie surréaliste, qui flirte avec la science-fiction, est un bonheur tant elle est dépourvue de tout formatage.
Cahiers du Cinéma
[...] le discours ne prend jamais le pas sur l’émotion brute suscitée par l’étrangeté et le non-sens : à l’image de la pièce qui y est montée, N° 10 tend vers la forme d’un “collage abstrait, sans repère”, dixit le metteur en scène.
L'Humanité
Le cocasse réalisateur néerlandais, féru des dispositifs complexes, revient avec une étonnante fable bifide, qui passe abruptement d’une scène de théâtre au Cosmos.
L'Obs
Comme d’habitude, Warmerdam fait glisser ses personnages vers la dinguerie, et, aussi, l’utopie. Cela tend du théâtre de l’absurde et de la folie froide à la Raymond Roussel. Amateurs de bizarreries, ce film est pour vous.
Transfuge
On retrouve dans N° 10 tout ce qui fait le sel délirant de son auteur au théâtre et au cinéma, à commencer par son art de raconteur d’histoires invraisemblables.
Télérama
Entre un tueur à gages capable de se travestir en infirmière à domicile, une jeune fille jamais malade mais découvrant qu’elle n’a qu’un seul poumon et un comédien très en colère qui se venge en plantant sur scène un clou dans le pied d’un partenaire de jeu, on jubile d’être ainsi dérouté.
Culturopoing.com
Un long métrage imparfait, excessif, foisonnant, parfois un peu décousu mais griffé de la marque de son auteur aussi corrosif que généreux, portant sur le monde contemporain un regard aussi peu flatteur qu'éminemment poétique.
Le Monde
Soit vous vous agacez qu’un scénario plutôt érudit vous tende un deuxième ticket pour une fantaisie avec objet volant non identifié, soit vous vous laissez tenter. On se permet de conseiller la seconde option, pour son lâcher-prise et son final explosif.
aVoir-aLire.com
Alex van Warmerdam n’a plus rien à prouver, il offre un film borderline qui devra trouver la place qu’il mérite sur les écrans français.
Critikat.com
Si quelques idées se détachent, van Warmerdam finit par escamoter le trouble de son film à force de tout vouloir anesthésier.
Les Fiches du Cinéma
"N°10" est avant tout une grande déception, dont les ourlets théoriques cachent mal la pauvreté du discours.
Première
Pas tout à fait thriller, mais pas vraiment vaudeville, Alex van Warmerdam se prend les pieds dans ce long-métrage au scénario compliqué et à la photographie terne. Les personnages, peu attachants, ne viennent pas non plus le sauver.