Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Déclaration d’amour à leur pays, où à la plus grande pauvreté se mêle la plus grande dignité, par des cinéastes exilés, Gaza, mon amour laisse la violence politique et économique hors champ : il vogue sur une barque de douceur et de romantisme.
Elle
par Françoise Delbecq
Cette comédie romantique brille par son côté iconoclaste et sa délicatesse.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Cette histoire simple et modeste n’est pas un manifeste. Mais une façon pour les jumeaux Arab et Tarzan Nasser de proclamer qu’aimer et vivre à Gaza, c’est déjà un acte de foi. L’amour à Gaza est aussi sûrement une déclaration de paix.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
En suivant avec espièglerie les pas hésitants d’un pêcheur amoureux d’une couturière, les frères Nasser prennent le contrepied de la représentation tragique et monolithique que le monde se fait de Gaza et livrent une comédie romantique tendre et poétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Les frères Nasser font éclore une histoire d’amour pleine de justesse en territoire palestinien. De façon subtile, le tout prend des allures de manifeste antimachiste à la faveur de la découverte, réelle, d’une statuette d’Apollon.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans Gaza mon amour, les frères Nasser, déjà auteurs de l’intéressant Dégradé, fuient les figures imposées du cinéma palestinien politique et signent un film qui séduit grâce à son humour, à son sens très sûr de l’absurde et à sa douce mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La Rédaction
Un regard singulier, car délicatement romantique, posé sur Gaza, trop souvent résumée à la violence.
Télérama
par Mathilde Blottière
Mêlant poésie minimaliste, humour et satire politique, les frères Nasser séduisent.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si parler de la question palestinienne est complexe, les frères Nasser mélangent subtilement récit personnel, romance en temps d’occupation et mythe dans une comédie délicate et subtile.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Drôle sans être scabreux en dépit de ses érections impudiques et de ses métaphores phalliques, le film fait preuve d'une belle maîtrise formelle, tant dans le choix de ses cadres qu'à travers ses options chromatiques: le refus du clinquant s'accompagne d'un recours à d'infinies nuances de gris qui esthétisant chaque plan sans l'enjoliver.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La mise en scène est un peu sèche, mais le film est engagé et émouvant. Grâce à la magnétique Hiam Abbass.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un joli film pas dénué de poésie.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Gaza mon amour est habité par un climat délétère mais n’en fait pas son sujet. Le parti pris politique du duo est de nous raconter, par le biais de la comédie et du burlesque, le quotidien des Gazaoui·es et les répercussions du conflit israélo-palestinien sur leur vie quotidienne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Après «Dégradé», les frères Nasser reviennent au cinéma avec une tragi-comédie romantique où leur sens de l'autodérision et du décalage fait merveille.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
Voici un long-métrage d’une douceur qui émane autant de la finesse de son écriture que de la grâce de ces deux formidables interprètes. Tu n’as rien vu à Gaza ? Si, un beau film d’amour.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par La Rédaction
Malgré un humour grinçant, ce film souffre d'un cruel manque de rythme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L'art de la vignette narrative et de la distanciation humoristique conduit les frères sur un terrain magistralement occupé par Elia Suleiman, et la comparaison ne joue pas vraiment en leur faveur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Déclaration d’amour à leur pays, où à la plus grande pauvreté se mêle la plus grande dignité, par des cinéastes exilés, Gaza, mon amour laisse la violence politique et économique hors champ : il vogue sur une barque de douceur et de romantisme.
Elle
Cette comédie romantique brille par son côté iconoclaste et sa délicatesse.
Le Dauphiné Libéré
Cette histoire simple et modeste n’est pas un manifeste. Mais une façon pour les jumeaux Arab et Tarzan Nasser de proclamer qu’aimer et vivre à Gaza, c’est déjà un acte de foi. L’amour à Gaza est aussi sûrement une déclaration de paix.
Les Fiches du Cinéma
En suivant avec espièglerie les pas hésitants d’un pêcheur amoureux d’une couturière, les frères Nasser prennent le contrepied de la représentation tragique et monolithique que le monde se fait de Gaza et livrent une comédie romantique tendre et poétique.
Libération
Les frères Nasser font éclore une histoire d’amour pleine de justesse en territoire palestinien. De façon subtile, le tout prend des allures de manifeste antimachiste à la faveur de la découverte, réelle, d’une statuette d’Apollon.
Marianne
Dans Gaza mon amour, les frères Nasser, déjà auteurs de l’intéressant Dégradé, fuient les figures imposées du cinéma palestinien politique et signent un film qui séduit grâce à son humour, à son sens très sûr de l’absurde et à sa douce mélancolie.
Ouest France
Un regard singulier, car délicatement romantique, posé sur Gaza, trop souvent résumée à la violence.
Télérama
Mêlant poésie minimaliste, humour et satire politique, les frères Nasser séduisent.
aVoir-aLire.com
Si parler de la question palestinienne est complexe, les frères Nasser mélangent subtilement récit personnel, romance en temps d’occupation et mythe dans une comédie délicate et subtile.
Cahiers du Cinéma
Drôle sans être scabreux en dépit de ses érections impudiques et de ses métaphores phalliques, le film fait preuve d'une belle maîtrise formelle, tant dans le choix de ses cadres qu'à travers ses options chromatiques: le refus du clinquant s'accompagne d'un recours à d'infinies nuances de gris qui esthétisant chaque plan sans l'enjoliver.
L'Obs
La mise en scène est un peu sèche, mais le film est engagé et émouvant. Grâce à la magnétique Hiam Abbass.
La Voix du Nord
Un joli film pas dénué de poésie.
Les Inrockuptibles
Gaza mon amour est habité par un climat délétère mais n’en fait pas son sujet. Le parti pris politique du duo est de nous raconter, par le biais de la comédie et du burlesque, le quotidien des Gazaoui·es et les répercussions du conflit israélo-palestinien sur leur vie quotidienne.
Paris Match
Après «Dégradé», les frères Nasser reviennent au cinéma avec une tragi-comédie romantique où leur sens de l'autodérision et du décalage fait merveille.
Première
Voici un long-métrage d’une douceur qui émane autant de la finesse de son écriture que de la grâce de ces deux formidables interprètes. Tu n’as rien vu à Gaza ? Si, un beau film d’amour.
Le Figaro
Malgré un humour grinçant, ce film souffre d'un cruel manque de rythme.
Le Monde
L'art de la vignette narrative et de la distanciation humoristique conduit les frères sur un terrain magistralement occupé par Elia Suleiman, et la comparaison ne joue pas vraiment en leur faveur.