Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Melinard
L’ex-rappeur de Ministère A.M.E.R s’impose dans ce rôle complexe. Ambigu, secret, sobre, il figure un Joseph fascinant et déroutant, charmant et repoussant, dont le désir de survie semble autoriser les excès.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Feutré sans être ampoulé, jamais évident, toujours sur la brèche, le film de Lisa Bierwirth manque juste d’un léger surcroît de souffle pour évacuer toute réserve.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Le Prince est un mélo subtil mais jamais convenu sur le motif de l'incommunicabilité.
Positif
par Vincent Thabourey
Difficile, en tout cas, de résister au charme discret de ce couple atypique dont l’interprétation délicate de ces deux interprètes principaux est la clef de voûte.
L'Obs
par Sophie Grassin
Lisa Bierwirth sonde avec sensibilité l’irruption de la politique dans la sphère privée et file la métaphore sur les diamants que cet anti-héros trimbale dans ses poches : pierres précieuses ou verre taillé, comme l’inconnu qu’il reste au fond ? Le film, produit par Maren Ade, aurait gagné à être resserré.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
L’Allemande Lisa Bierwirth signe un mélodrame entre un sans-papiers congolais et une galeriste de Francfort. On peut voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
Les défauts du film de Lisa Bierwirth sont aussi, de façon confuse, ses qualités. L’incertitude qui pèse sur les motivations de ses personnages se met au service d’une approche comportementaliste qui laisse ouvertes de multiples questions.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Un drame romantique sobre, parfois juste, mais dont la froideur peut rebuter.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Le Prince est une superbe romance triste où le désordre et l’ordre s’enlacent dans une étreinte douce et déjà vaincue.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
Malgré les amis qui, prudemment, les mettent en garde contre une alliance précipitée, leur désir s’impose. Et les obstacles s’accumulent aussitôt, comme si la déroute était le seul horizon d’un couple mixte qui se vit comme tel. C’est leur fierté et leur talon d’Achille.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper Hadjian
Avec minutie, Lisa Bierwirth décrit deux bonnes volontés peu à peu grignotées par le doute. Inscrivant son récit dans un environnement prétendument éclairé, celui de l’art, elle pousse la précision de l’analyse à son maximum : le film n’évoque pas tant le racisme que les façons plus sournoises dont l’Histoire marque les esprits, ce substrat tenace même chez les plus « ouverts », construisant une réflexion ample sur la liberté et le déterminisme.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La romance sociale, misant sur le réalisme et la complexité des personnages, évite les pièges. Mais pas les longueurs, faute de souffle romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Lisa Bierwirth montre un talent évident dans l’écriture de personnages riches en contradictions et de situations n’enfonçant jamais les portes ouvertes mais en étirant quelque peu artificiellement son récit sur plus de deux, elle en abime hélas la tension.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
L’ex-rappeur de Ministère A.M.E.R s’impose dans ce rôle complexe. Ambigu, secret, sobre, il figure un Joseph fascinant et déroutant, charmant et repoussant, dont le désir de survie semble autoriser les excès.
Libération
Feutré sans être ampoulé, jamais évident, toujours sur la brèche, le film de Lisa Bierwirth manque juste d’un léger surcroît de souffle pour évacuer toute réserve.
Marie Claire
Le Prince est un mélo subtil mais jamais convenu sur le motif de l'incommunicabilité.
Positif
Difficile, en tout cas, de résister au charme discret de ce couple atypique dont l’interprétation délicate de ces deux interprètes principaux est la clef de voûte.
L'Obs
Lisa Bierwirth sonde avec sensibilité l’irruption de la politique dans la sphère privée et file la métaphore sur les diamants que cet anti-héros trimbale dans ses poches : pierres précieuses ou verre taillé, comme l’inconnu qu’il reste au fond ? Le film, produit par Maren Ade, aurait gagné à être resserré.
Le Figaro
L’Allemande Lisa Bierwirth signe un mélodrame entre un sans-papiers congolais et une galeriste de Francfort. On peut voir.
Le Monde
Les défauts du film de Lisa Bierwirth sont aussi, de façon confuse, ses qualités. L’incertitude qui pèse sur les motivations de ses personnages se met au service d’une approche comportementaliste qui laisse ouvertes de multiples questions.
Les Fiches du Cinéma
Un drame romantique sobre, parfois juste, mais dont la froideur peut rebuter.
Les Inrockuptibles
Le Prince est une superbe romance triste où le désordre et l’ordre s’enlacent dans une étreinte douce et déjà vaincue.
Sud Ouest
Malgré les amis qui, prudemment, les mettent en garde contre une alliance précipitée, leur désir s’impose. Et les obstacles s’accumulent aussitôt, comme si la déroute était le seul horizon d’un couple mixte qui se vit comme tel. C’est leur fierté et leur talon d’Achille.
Cahiers du Cinéma
Avec minutie, Lisa Bierwirth décrit deux bonnes volontés peu à peu grignotées par le doute. Inscrivant son récit dans un environnement prétendument éclairé, celui de l’art, elle pousse la précision de l’analyse à son maximum : le film n’évoque pas tant le racisme que les façons plus sournoises dont l’Histoire marque les esprits, ce substrat tenace même chez les plus « ouverts », construisant une réflexion ample sur la liberté et le déterminisme.
Le Journal du Dimanche
La romance sociale, misant sur le réalisme et la complexité des personnages, évite les pièges. Mais pas les longueurs, faute de souffle romanesque.
Première
Lisa Bierwirth montre un talent évident dans l’écriture de personnages riches en contradictions et de situations n’enfonçant jamais les portes ouvertes mais en étirant quelque peu artificiellement son récit sur plus de deux, elle en abime hélas la tension.