Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
La Croix
par Céline Rouden
Outre l’intérêt de mettre en lumière la situation particulière à ce pays, la beauté des images, notamment celles tournées la nuit, les intermèdes chantés à la manière d’un chœur antique, le créole parlé par ses protagonistes ajoutent charme et légèreté à un film qui aurait pu sinon verser dans le drame un peu trop démonstratif.
Positif
par Bernard Génin
Film tract donc, mais sensible, vivant, au ton original avec ses intermèdes chantés au coin des rues, pour créer une distanciation, avec une sorte de chœur antique qui vient interpeller le spectateur. Et révélation d’un jeune cinéaste de trente ans à suivre.
Télérama
par Louis Guichard
Le dernier mouvement, ouvert, entre âpreté et consolation, confirme une vraie nature de cinéaste, capable de captiver et d’émouvoir en regardant le monde en face.
L'Obs
par François Forestier
Ce qui fait le prix de ce film peu maîtrisé, c’est sa sincérité : Steevens Benjamin (l’acteur et le personnage, qui portent le même nom) a fui un pays de misère pour s’inventer une autre vie. Mais l’immigration, dans le monde entier, est devenue une maladie qu’on fuit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon et Etienne Sorin
Caméra en mouvements ou plans-séquences, Juan Caceres ponctue l'histoire de Benjamin de saynètes musicales. Autant de respirations qui allègent le propos, car l'alliance d'acteurs débutants et confirmés renforce l'impression d'être parfois devant un documentaire.
Première
par Christophe Narbonne
Entre hyperréalisme et bad trip, Perro bomba impose un ton puissant, hélas un peu miné par son didactisme et son envie de bien faire.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
Outre l’intérêt de mettre en lumière la situation particulière à ce pays, la beauté des images, notamment celles tournées la nuit, les intermèdes chantés à la manière d’un chœur antique, le créole parlé par ses protagonistes ajoutent charme et légèreté à un film qui aurait pu sinon verser dans le drame un peu trop démonstratif.
Positif
Film tract donc, mais sensible, vivant, au ton original avec ses intermèdes chantés au coin des rues, pour créer une distanciation, avec une sorte de chœur antique qui vient interpeller le spectateur. Et révélation d’un jeune cinéaste de trente ans à suivre.
Télérama
Le dernier mouvement, ouvert, entre âpreté et consolation, confirme une vraie nature de cinéaste, capable de captiver et d’émouvoir en regardant le monde en face.
L'Obs
Ce qui fait le prix de ce film peu maîtrisé, c’est sa sincérité : Steevens Benjamin (l’acteur et le personnage, qui portent le même nom) a fui un pays de misère pour s’inventer une autre vie. Mais l’immigration, dans le monde entier, est devenue une maladie qu’on fuit.
Le Figaro
Caméra en mouvements ou plans-séquences, Juan Caceres ponctue l'histoire de Benjamin de saynètes musicales. Autant de respirations qui allègent le propos, car l'alliance d'acteurs débutants et confirmés renforce l'impression d'être parfois devant un documentaire.
Première
Entre hyperréalisme et bad trip, Perro bomba impose un ton puissant, hélas un peu miné par son didactisme et son envie de bien faire.