Dans un jardin qu'on dirait éternel : Critique presse
Dans un jardin qu'on dirait éternel
Note moyenne
3,8
23 titres de presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
Ouest France
Voici
aVoir-aLire.com
20 Minutes
CNews
La Voix du Nord
Le Figaro
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
Positif
Première
Télérama
CinemaTeaser
Franceinfo Culture
L'Obs
La Croix
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Télé 7 Jours
Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans l'éternité de son jardin, tout en harmonie et délicatesse, Kirin Kiki donne au cinéma un dernier rôle grave et subtil, où l'art de la cérémonie du thé se mue en célébration de l'art d'une actrice, paraissant toucher à l'essence du sacré et de la grâce.
L'Humanité
par Michèle Levieux
Avec "Dans un jardin qu’on dirait éternel", le cinéaste Tatsushi Ōmori adapte un best-seller japonais et donne à Kirin Kiki un sublime et ultime rôle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Ouest France
par Sylvestre Picard
Mais ce film n’est pas qu’un pittoresque documentaire sur le thé : son ampleur narrative portée par ses actrices exceptionnelles le transforme en véritable récit de vie, plein de larmes et d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Voici
par Daniel Blois
Le lien complexe qui unit Noriko à Takeda et les émotions sincères, délicates, qui s'en dégagent assurent un beau et bon moment de cinéma.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière un ton léger et poétique, le premier film sur les écrans français du réalisateur Tatsushi Ōmori propose une critique terrible de la condition de la femme au Japon. Dans un jardin qu’on dirait éternel invite à une mobilisation de tous les sens du spectateur. Proprement éblouissant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Quel plus bel hommage [à Kiki Kirin] qu’un film qui raconte comment accéder à une harmonie spirituelle dégagée du temps [...].
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Charlotte Marsal
«Dans un jardin qu'on dirait éternel», qui brosse le portrait de deux cousines qui découvrent les rituels de la cérémonie du thé, et dont l'une tombe sous le charme de leur professeure, Madame Takeda. Une rencontre pleine de poésie qui va changer sa vie.
La critique complète est disponible sur le site CNews
La Voix du Nord
par Christophe Caron
En plus d’être un très joli miroir de nos humeurs, aussi minimaliste qu’intimiste, "Dans un jardin qu’on dirait éternel" est aussi une expérience sensorielle hors du temps, un poème filmé comme une ode aux saisons, à l’instant présent et à la douceur de vivre.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par La rédaction
Tatsushi Omori prend le temps d'observer ses personnages, fait l'éloge de la lenteur comme un artisan pratique l'amour du travail bien fait.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Marine Quinchon
« Dans un Jardin qu'on dirait éternel » est le film parfait pour échapper aux anxiétés de la période actuelle. Sur un rythme paisible qui suit les 24 saisons de l'année (il y a celle de la rosée blanche, celle des grands froids…) et dans un intérieur traditionnel japonais épuré et apaisant, le spectateur est introduit avec Noriko à tous les secrets de la cérémonie du thé : la dégustation des wagashis, comment plier sa serviette, ouvrir la porte pour accueillir les invités, mélanger le thé et laisser retomber la dernière goutte d'eau...
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film beau, apaisant et qui nous élève.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Un film "jankélévitchien" sur notre manière d'habiter le présent dont le charme infuse délicatement.
Positif
par Adrien Gombeaud
Tatsushi Omori, avec discrétion et parfois avec une certaine grâce, reproduit le cycle des saisons, les années qui passent et le geste que l’on acquiert doucement. Le film aurait gagné à aller vers plus d’épure encore et à filtrer quelques scènes superflues.
Première
par Sylvestre Picard
Tatsushi Omori saisit le moment où la micro chronique de thé devient immense chronique de vie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Simplicité et raffinement dialoguent, légèreté et profondeur se répondent : voilà l’accord parfait.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Reste ce raffinement enveloppant, toujours au service du propos, et ces beaux moments d’émotion simple nés du duo formé par Haru Kuroki et Kirin Kiki.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Loin du bruit et de la fureur ambiante, Dans un jardin qu'on dirait éternel est une bulle de sérénité. Au rythme d’une temporalité contemplative toute japonaise, le réalisateur Tatsushi Ōmori reflète la méditation induite dans la cérémonie elle-même. Zen.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
On est presque dans un documentaire (mais joué par des acteurs) et, à condition de voir dans cette cérémonie une leçon de sagesse, on peut se laisser prendre à cette lenteur hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
[Le réalisateur] filme admirablement le passage du temps et des saisons, la délicatesse des gestes, la finesse des objets, le bruit de la pluie dans le jardin. Et nous fait percevoir toute la sagesse et la spiritualité que les Japonais mettent dans leur rapport à la nourriture et aux traditions.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce récit initiatique convoque la grâce, l'élégance et le raffinement pour raconter une tradition immuable au Japon, au rythme des quatre saisons. Une invitation au voyage certes répétitive mais apaisante, quasi hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Plus qu’un film gracieux, "Dans un jardin qu’on dirait éternel" renvoie à l’acte de création, celui par lequel la maîtresse de thé transmet son art à ses élèves et insuffle le mouvement. Métronomique et chorégraphique, le film donne à voir la répétition des gestes et leur infime variation au fil des saisons, car on n’effectue pas le même rituel au printemps et à l’automne.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Une réflexion pleine de sagesse sur la vie, un film qui apaise.
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Si le film vaut néanmoins plus que son pitch, c’est pour sa description minutieuse de la cérémonie comme une succession de gestes et d’usages qui tendent vers une forme idéale et engagent un véritable rapport au monde.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans l'éternité de son jardin, tout en harmonie et délicatesse, Kirin Kiki donne au cinéma un dernier rôle grave et subtil, où l'art de la cérémonie du thé se mue en célébration de l'art d'une actrice, paraissant toucher à l'essence du sacré et de la grâce.
L'Humanité
Avec "Dans un jardin qu’on dirait éternel", le cinéaste Tatsushi Ōmori adapte un best-seller japonais et donne à Kirin Kiki un sublime et ultime rôle.
Ouest France
Mais ce film n’est pas qu’un pittoresque documentaire sur le thé : son ampleur narrative portée par ses actrices exceptionnelles le transforme en véritable récit de vie, plein de larmes et d’émotion.
Voici
Le lien complexe qui unit Noriko à Takeda et les émotions sincères, délicates, qui s'en dégagent assurent un beau et bon moment de cinéma.
aVoir-aLire.com
Derrière un ton léger et poétique, le premier film sur les écrans français du réalisateur Tatsushi Ōmori propose une critique terrible de la condition de la femme au Japon. Dans un jardin qu’on dirait éternel invite à une mobilisation de tous les sens du spectateur. Proprement éblouissant.
20 Minutes
Quel plus bel hommage [à Kiki Kirin] qu’un film qui raconte comment accéder à une harmonie spirituelle dégagée du temps [...].
CNews
«Dans un jardin qu'on dirait éternel», qui brosse le portrait de deux cousines qui découvrent les rituels de la cérémonie du thé, et dont l'une tombe sous le charme de leur professeure, Madame Takeda. Une rencontre pleine de poésie qui va changer sa vie.
La Voix du Nord
En plus d’être un très joli miroir de nos humeurs, aussi minimaliste qu’intimiste, "Dans un jardin qu’on dirait éternel" est aussi une expérience sensorielle hors du temps, un poème filmé comme une ode aux saisons, à l’instant présent et à la douceur de vivre.
Le Figaro
Tatsushi Omori prend le temps d'observer ses personnages, fait l'éloge de la lenteur comme un artisan pratique l'amour du travail bien fait.
Le Parisien
« Dans un Jardin qu'on dirait éternel » est le film parfait pour échapper aux anxiétés de la période actuelle. Sur un rythme paisible qui suit les 24 saisons de l'année (il y a celle de la rosée blanche, celle des grands froids…) et dans un intérieur traditionnel japonais épuré et apaisant, le spectateur est introduit avec Noriko à tous les secrets de la cérémonie du thé : la dégustation des wagashis, comment plier sa serviette, ouvrir la porte pour accueillir les invités, mélanger le thé et laisser retomber la dernière goutte d'eau...
Les Fiches du Cinéma
Un film beau, apaisant et qui nous élève.
Marie Claire
Un film "jankélévitchien" sur notre manière d'habiter le présent dont le charme infuse délicatement.
Positif
Tatsushi Omori, avec discrétion et parfois avec une certaine grâce, reproduit le cycle des saisons, les années qui passent et le geste que l’on acquiert doucement. Le film aurait gagné à aller vers plus d’épure encore et à filtrer quelques scènes superflues.
Première
Tatsushi Omori saisit le moment où la micro chronique de thé devient immense chronique de vie.
Télérama
Simplicité et raffinement dialoguent, légèreté et profondeur se répondent : voilà l’accord parfait.
CinemaTeaser
Reste ce raffinement enveloppant, toujours au service du propos, et ces beaux moments d’émotion simple nés du duo formé par Haru Kuroki et Kirin Kiki.
Franceinfo Culture
Loin du bruit et de la fureur ambiante, Dans un jardin qu'on dirait éternel est une bulle de sérénité. Au rythme d’une temporalité contemplative toute japonaise, le réalisateur Tatsushi Ōmori reflète la méditation induite dans la cérémonie elle-même. Zen.
L'Obs
On est presque dans un documentaire (mais joué par des acteurs) et, à condition de voir dans cette cérémonie une leçon de sagesse, on peut se laisser prendre à cette lenteur hypnotique.
La Croix
[Le réalisateur] filme admirablement le passage du temps et des saisons, la délicatesse des gestes, la finesse des objets, le bruit de la pluie dans le jardin. Et nous fait percevoir toute la sagesse et la spiritualité que les Japonais mettent dans leur rapport à la nourriture et aux traditions.
Le Journal du Dimanche
Ce récit initiatique convoque la grâce, l'élégance et le raffinement pour raconter une tradition immuable au Japon, au rythme des quatre saisons. Une invitation au voyage certes répétitive mais apaisante, quasi hypnotique.
Le Monde
Plus qu’un film gracieux, "Dans un jardin qu’on dirait éternel" renvoie à l’acte de création, celui par lequel la maîtresse de thé transmet son art à ses élèves et insuffle le mouvement. Métronomique et chorégraphique, le film donne à voir la répétition des gestes et leur infime variation au fil des saisons, car on n’effectue pas le même rituel au printemps et à l’automne.
Télé 7 Jours
Une réflexion pleine de sagesse sur la vie, un film qui apaise.
Cahiers du Cinéma
Si le film vaut néanmoins plus que son pitch, c’est pour sa description minutieuse de la cérémonie comme une succession de gestes et d’usages qui tendent vers une forme idéale et engagent un véritable rapport au monde.