Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
Hyper sensuel et politique.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
L’auteur des remarqués « Plan B » et « Absent » use d’un style délicat sans être mièvre, pudique sans être chaste. Il préfère confier à la mise en scène plutôt qu’au scénario la naissance puis la cristallisation d’un désir que ses héros acceptent et assument.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
A grand renfort de gros plans captés avec délicatesse, la mise en scène et la photographie soignée [de Marco Berger] magnifient le ballet des regards et des corps de deux beaux acteurs sachant suggérer tout d'une sexualité secrète dans une société argentine machiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Le film contient des scènes de sexe crues, mais à travers les nombreux silences, il nous plonge surtout avec une grande justesse dans la tête de ces deux hommes écartelés entre leur désir et leur image sociale ou leur destin.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Florian Fessenmeyer
Une romance vibrante portée par deux acteurs talentueux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par P. L.
Une romance rohmérienne, pleine de d'ambiguïté et de désirs homosexuels.
Positif
par Dominique Martinez
Dans une mise en scène oppressante, Alfonso Barón et Gaston Re livrent un jeu d’acteur sidérant de tension. Berger filme le désir et l’intimité du couple avec une tendresse qui s’abîme entre les murs du logement.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un lyrisme mélancolique emporte cette passion entre quatre murs, comme celui qui, dans les grands espace du Wyoming, accompagnait les amants du Secret de Brokeback Mountain (2005).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Lina-Estelle Louis
"Le Colocataire", sixième long-métrage de Marco Berger, réalisateur, scénariste et monteur de cette petite production qui procure de grandes émotions.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Claire Allouche
Le Colocataire chorégraphie l’attraction des corps, progressivement les moments de rencontre entre Juan et Gabriel s’étirent et la géographie de l’espace partagé se resserre.
Culturopoing.com
par Marjorie Rivière
En s’affranchissant du discours et en tablant sur le ressenti uniquement, "Le Colocataire" inscrit le désir dans un lieu donné, à un moment donné. C’est tout. Et c’est déjà beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jonathan Trullard
"Le Colocataire" s’apparente plutôt à un exercice de style appliquant les codes d’un genre, réussi mais vite absorbé, comme un sucre rapide.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
"Le Colocataire" est un film impressionniste et elliptique, tout entier dévolu au bouillonnement du désir, parfois suivi de moments d'extase fugaces et merveilleux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Rolling Stone
par La rédaction
Délicat et subtil, ce nouveau film de Marco Berger est aussi un poil frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Voici
par A. V.
Marco Berger filme avec délicatesse cette histoire d'amour impossible.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Cette forme radicale conduit, hélas, à trop d’effets appuyés. Au point que, si puissant et contrarié soit le désir, le plaisir, lui, finit par s’émousser.
Première
par Christophe Narbonne
Le Colocataire joue sur la montée progressive du désir et sur la frustration qu’elle entraîne chez ses protagonistes qui assument différemment leurs pulsions. Trop long et minimaliste, il raconte néanmoins avec force une société patriarcale engluée dans ses contradictions.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Luc Chessel
Filmant la passion naissante mais contrariée entre deux hétérosexuels, l’Argentin Marco Berger enquille les platitudes dans un huis-clos plombant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CinemaTeaser
Hyper sensuel et politique.
L'Obs
L’auteur des remarqués « Plan B » et « Absent » use d’un style délicat sans être mièvre, pudique sans être chaste. Il préfère confier à la mise en scène plutôt qu’au scénario la naissance puis la cristallisation d’un désir que ses héros acceptent et assument.
Le Journal du Dimanche
A grand renfort de gros plans captés avec délicatesse, la mise en scène et la photographie soignée [de Marco Berger] magnifient le ballet des regards et des corps de deux beaux acteurs sachant suggérer tout d'une sexualité secrète dans une société argentine machiste.
Le Parisien
Le film contient des scènes de sexe crues, mais à travers les nombreux silences, il nous plonge surtout avec une grande justesse dans la tête de ces deux hommes écartelés entre leur désir et leur image sociale ou leur destin.
Les Fiches du Cinéma
Une romance vibrante portée par deux acteurs talentueux.
Ouest France
Une romance rohmérienne, pleine de d'ambiguïté et de désirs homosexuels.
Positif
Dans une mise en scène oppressante, Alfonso Barón et Gaston Re livrent un jeu d’acteur sidérant de tension. Berger filme le désir et l’intimité du couple avec une tendresse qui s’abîme entre les murs du logement.
Télérama
Un lyrisme mélancolique emporte cette passion entre quatre murs, comme celui qui, dans les grands espace du Wyoming, accompagnait les amants du Secret de Brokeback Mountain (2005).
aVoir-aLire.com
"Le Colocataire", sixième long-métrage de Marco Berger, réalisateur, scénariste et monteur de cette petite production qui procure de grandes émotions.
Cahiers du Cinéma
Le Colocataire chorégraphie l’attraction des corps, progressivement les moments de rencontre entre Juan et Gabriel s’étirent et la géographie de l’espace partagé se resserre.
Culturopoing.com
En s’affranchissant du discours et en tablant sur le ressenti uniquement, "Le Colocataire" inscrit le désir dans un lieu donné, à un moment donné. C’est tout. Et c’est déjà beaucoup.
Franceinfo Culture
"Le Colocataire" s’apparente plutôt à un exercice de style appliquant les codes d’un genre, réussi mais vite absorbé, comme un sucre rapide.
Les Inrockuptibles
"Le Colocataire" est un film impressionniste et elliptique, tout entier dévolu au bouillonnement du désir, parfois suivi de moments d'extase fugaces et merveilleux.
Rolling Stone
Délicat et subtil, ce nouveau film de Marco Berger est aussi un poil frustrant.
Voici
Marco Berger filme avec délicatesse cette histoire d'amour impossible.
Le Monde
Cette forme radicale conduit, hélas, à trop d’effets appuyés. Au point que, si puissant et contrarié soit le désir, le plaisir, lui, finit par s’émousser.
Première
Le Colocataire joue sur la montée progressive du désir et sur la frustration qu’elle entraîne chez ses protagonistes qui assument différemment leurs pulsions. Trop long et minimaliste, il raconte néanmoins avec force une société patriarcale engluée dans ses contradictions.
Libération
Filmant la passion naissante mais contrariée entre deux hétérosexuels, l’Argentin Marco Berger enquille les platitudes dans un huis-clos plombant.