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    Rifkin's Festival
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    88 critiques spectateurs

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    Aubert T.
    Aubert T.

    124 abonnés 138 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 juillet 2022
    Tout dans ce film est à côté de la plaque : le scénario ultra routinier du couple intello en bout de course, les vannes pas drôles, le casting, la direction d'acteurs inexistante, le montage affreux.
    C'est une fin de course bien triste pour Woody Allen, qu'on a pourtant tant aimé.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 141 abonnés 5 120 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2024
    Un homme qui voit le bon côté des choses au travers des ses films préférés et qui les revit à travers les scènes les plus marquantes du cinéma.
    L’idée est très originale et le résultat plein de malice, de légèreté et de romantisme. La femme avec Louis Garrel est ridiculement hilarante et la jeune médecin ingénue charmante.
    C’est spirituel et surtout superbe dans cette jolie ville espagnole.
    Estonius
    Estonius

    3 309 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mars 2023
    Woody Allen m'a rarement déçu et m'a souvent enthousiasmé, mais là je dois dire qu'on tombe de haut. La première chose qui frappe est l'interprétation, supporter Wallace Shawn pendant 90 minutes est au-dessus de mes forces. Quant à Louis Garrel il se prend pour un réverbère, sauf que les réverbères ne sont pas des acteurs. Reste l'histoire elle n'a aucun intérêt, alors allons-y pour les références culturelles tout azimutes dont on se contre fou, on s'ennuie, on a hâte que ça finisse.
    Alain D.
    Alain D.

    583 abonnés 3 279 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2024
    Une très jolie Comédie romantique dirigée et écrite par Woody Allen. On retrouve avec plaisir le plus français des réalisateurs Américains, avec son ambiance, sa photographie et son charme si particuliers. Il ne tourne pas cette fois à Paris, l'action se déroule en Espagne à Saint-Sébastien pour un festival de cinéma où se rend le couple Newyorkais Morty et son épouse Suzanne.
    Woody ne manque pas de placer beaucoup d'extraits de films pour nous parler de cinéma.
    Avec tendresse et volupté et une jolie bouffée d'oxygène, il nous raconte la rétrospective de la vie de Morty, son personnage principal, formidablement interprété par Wallace Shawn qui porte le film.
    Vador Mir
    Vador Mir

    257 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juillet 2022
    Woody Allen revisite les grand classique du cinéma, avec son humour et sa touche habituel.
    Un cru qui n'est pas parmi les meilleurs mais ça reste un Woody Allen et donc au dessus du lot.
    cortomanu
    cortomanu

    74 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juillet 2022
    Les amoureux du cinéma de Woody Allen retrouveront l'humour et l'ironie, les dialogues et les personnages, la touche de fantastique et un savoir faire des films unique.
    Allen en profite pour rererevisiter ses obsessions (désir, hypocondrie, névroses, succès...), et passer en revue ce qui nourrit ses films depuis si longtemps. Y compris en réglant quelques comptes au passage.
    Mais le tout avec humour et la jolie idée d'insérer des scènes rejouées de ses films préférés par exemple.
    Sans doute un peu trop bavard mais tellement au dessus du lot de la majorité de la production actuelle.
    remyll
    remyll

    188 abonnés 433 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juillet 2022
    Le charme et la douceur de vivre exceptionnelles à Saint Sébastien ruissellent avec bonheur tout le long du film où sans grande surprise l’humour un brin cynique de Woody Allen embellit des situations de couples assez tragiques. J’ai bien aimé.
    Pamolico - blog
    Pamolico - blog

    11 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2022
    Certes hommage aux maîtres du cinéma noir-et-blanc, à Goddard et Buñuel, à Bergman et à Truffaut, ce nouveau pas de deux dansé à quatre se transforme bien vite en errance, entre rêveries, fantasmes et mélancolie latente sous le soleil espagnol. Les cartes postales de San Sebastian vont ainsi moins bien à Woody Allen que les instantanés lunaires et pluvieux de Paris et de New-York ; le spectateur s'ennuie un peu devant ce qui ressemble finalement à une redite, l'ode au cinéma en plus (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/07/19/rifkins-festival-woody-allen/)
    selenie
    selenie

    6 209 abonnés 6 178 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juillet 2022
    Le cinéaste joue une énième fois sur les tribulations psycho-philosophique d'un alter ego. Une énième variation donc de ses films qu'il revisite souvent avec délectation et fantaisie. Pourtant aussitôt on a bien du mal à croire au couple Shawn/Gershon, aussi bien vis à vis de l'âge que de leur style. Une "presque" erreur de casting, à contrario on jubile avec un Louis Garrel en pleine auto-dérision dans le rôle d'un cinéaste français génial au narcissisme infect, ou un Sergi Lopez en peintre coureur de jupon joyeusement caricatural ou l'apparition hommage de Christoph Waltz dans une séquence aussi onirique que cinéphile. D'ailleurs, Woody Allen en profite pour placer la cinéphilie en bonne place citant plusieurs maîtres mais on peut aussi regretter que la grande majorité des références restent à l'état de simple citation. Dans les déambulations doucement solitaires de Mort Rifkin/Shawn on aime le parallèle entre la réalité du jour et les nuits émaillées de rêves dans un séduisant Noir et Blanc plus ou moins désagréables mais jamais dénués d'un humour "allenien".
    Site : Selenie
    joelle g
    joelle g

    88 abonnés 869 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2022
    Pas le meilleur de Woody Allen...un film fourre-tout...qui en devient ennuyeux. On a l'impression que Allen utilise ses personnages pour tenter de répondre à une foule de questions existentielles...
    Où allons nous ? Qui sommes nous ? Que voulons nous? La fidélité dans le couple ?
    Un peu compliqué et fatigant à suivre...heureusement le film n'est pas trop long....
    Nad8786
    Nad8786

    3 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2022
    J'étais impatiente de voir ce film que j'attendais depuis 2020 !...Entre temps, il est sorti sur une plateforme puis-enfin- en ce moment !. J'avais vu la bande-annonce pas franchement alléchante, j'avais lu ou entendu des critiques sévères. Mais je ne rate jamais la sortie d'un Woody Allen !. Eh bien ! Je confirme : vraiment pas le meilleur film du cinéaste. Et pourtant, le choix de la carte postale espagnole à San Sebastian était séduisant.Hélas ! elle n'a pas le charme de celle de Barcelone. Et puis, le scénario est très pauvre, vu et revu, une comédie théâtrale genre vaudeville sans la maestria et le charme des comédies du cinéaste. En outre, l'avatar de Woody Allen est fort déplaisant !...Restent la thématique très marquée de l' autodérision et puis le grand hommage (mais pas toujours adroit) au cinéma européen, référence des films de Woody Allen ....bref pas désagréable à voir quand même, sans prise de tête, mais très moyen et un brin paresseux...Le cinéaste prend de l'âge mais , je crois, à encore des projets...alors à très bientôt Mr Allen !

    .
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 juillet 2022
    La sortie se fait discrète, à l’image d’un cinéaste qui ne semble plus pouvoir vivre avec son temps. L’identité de Woody Allen n’est plus un mystère, mais dans le paysage cinématographique actuel, il est bon de se rappeler d’où vient ce New-Yorkais. Son attrait pour les grandes cités est indéniable et il revient ici avec un décor assez atypique, ou presque, car dans la plupart de ses univers, il les aborde sous l’angle d’une carte postale, doublée d’une lettre romantique. S’il s’agit souvent du fond des récits, il convient alors de broder des personnages, dont un alter ego de lui-même, quand bien même il est prêt à enfiler cette double casquette. Ce passionné de littérature et de cinéma européen débarque ainsi sur San Sebastian, où la fréquentation annuelle est à son pic.

    Ce choix n’est par arbitraire et met le doigt sur ses premiers amours, dont on constatera les références, plus ou moins ludiques, alors que le monde de Mort Rifkin (Wallace Shawn) s’écroule. La culture d’autrefois n’est plus et ce double du cinéaste insiste sur l’ermite qu’il représente, incapable de comprendre la mutation du septième art, qui défile sous ses yeux, entre cocktails et soirées musicales dont il se serait bien passé. Le cadre du festival ne l’intéresse plus, car les films témoignent d’un ton trop réaliste, plus politisé et trop caricatural. C’est ce qui se vend et c’est ce qui gagne à être adulé. Hélas, toute la place laissée pour communiquer et faire interagir deux époques est substituer par cette même rengaine sentimentale, éphémère, pleine d’espoir et de désillusion. Le cinéaste s’en amuse, mais rares seront les moments où il nous fera entrer dans son film et dans son commentaire au cœur brisé.

    On ouvre avec un psychologue, qui écoute attentivement les maux de Rifkin et le spectateur est prié de faire de même, en les pesant et en les interprétant à son tour. C’est ce que l’on pourrait croire, mais le récit nous mâche le travail, sans subtilités, en balançant du Citizen Kane à-tout-va. La rêverie du personnage est donc à la hauteur de ses contradictions, lui qui commence à s’éloigner de sa femme pour se rapprocher d’une autre. Cette escapade est marquée par une visite touristique de San Sebastian, sans superposition cohérente comme Allen l’a très bien fait avec des villes vivantes et parfois bruyantes. Mais il agonise ici, en même temps que son œuvre, finalement inachevé, dont il partage de désarroi aux côtés de Mort, un romancier qui n’arrive pas à percer sur une scène plus grande qu’une salle de classe. Exit Truffaut, Godard, Bergmann, Chabrol, Lelouch, Buñuel, Fellini, etc. Tout cela appartient au passé ou au monde des fantasmes, qu’il pastiche avec un zèle reconnaissable, mais sans l’étincelle cinéphile qui rendrait la chute plus conséquente.

    Que devient-on lorsque nous sommes dépassés par l’histoire que l’on partage depuis des années ? Il n’a plus rien à construire et « Rifkin’s Festival » constitue un de ses chants du cygne les plus évidents, avec uniquement de la pauvreté comme argument d’un manque d’inspiration. Dans tous les cas, le résultat n’est satisfaisant pour personne et ce serait dommage de s’attarder trop longtemps sur cet entracte, un peu trop monolithique sur les réserves d’un cinéaste qui semble avoir répondu à ses propres interrogations. Si la mort n’est pas encore prête à venir le récupérer lui et sa carrière, il reste une infime chance de découvrir cet ultime testament qu’il attise tant.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 973 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 juillet 2022
    Qu’il tombe bien bas Woody Allen. On reconnaît ses films par leur style, leur mises en scènes, leurs musiques permanentes et has been mais alors dans ce film, c’est un festival ! On se situe justement dans un festival de film où Mort Rifkin, célèbre critique se rend compte que sa femme, attachée de presse le trompe avec son jeune poulain, réalisateur français en vogue. Rien ne va dans ce film au scénario ringard et à la réalisation fade.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 951 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 avril 2023
    Le chant du cygne pour un Woody assez fatigué qui ressasse ses classiques avec nostalgie, mais sans magie.
    gabdias
    gabdias

    85 abonnés 1 800 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 avril 2023
    Cinquantième film du grand Woody et c’est encore du grand Woody, bavard, conceptuel avec un chassé-croisé amoureux digne d’une romance d’adolescent. Le tout sous le charme de la belle San Sebastian.Un vaudeville qui mêle aussi un côté onirique et des scènes rétro en noir et blanc. Un beau film nostalgique et sympatoche
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