Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Une comédie savoureuse.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Michel Cieutat
Woody s’amuse de toute évidence avec autant de nostalgie romantique que d’humour décapant à l’égard de ses thèmes de prédilection et surtout de sa cinéphilie éternellement dévorante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
La psychanalyse s'applique autant au double de personnage qu'au cinéaste convoquant ses maîtres (...) "Rifkin's Festival" est aussi drôle que mélancolique. La parole y est encore au cœur du récit, la mise en scène pleine du plaisir de l'emprunt, de l'invention, se jouant des codes filmiques pour les subvertir.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un crépuscule solaire, grâce à la lumière de fin de l’été sublimée par Vittorio Storaro, grand directeur de la photographie (Coppola, Bertolucci, et les derniers Allen). Drôle, nostalgique et jazzy.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Avec sa voix off, ses notes de jazz et son héros hypocondriaque et pétri de doutes existentiels, « Rifkin’s Festival » est une comédie typiquement allenienne, drôle et enlevée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Même si cette nouvelle fiction n'atteint pas le niveau des plus grands opus de son auteur, son humour joyeusement mélancolique, ses dialogues vachards et ses réjouissantes trouvailles suffiront à réjouir les amateurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Thomas Baurez
Avec cette comédie sentimentale en forme de chassé-croisé, Allen met en abîme son amour du cinéma, entre rêve et réalité, avec un esprit toujours alerte.
Positif
par Lorenzo Codelli
Rifkin’s Festival sonne comme un retour aux sources : en suivant les fantasmes cinéphiles d’un personnage qui trouve dans les films de Fellini ou de Buñuel des échos au cours et au sens de sa vie, Allen propose une fantaisie douce-amère qui n’est pas sans évoquer ses œuvres de jeunesse.
Voici
par La Rédaction
Un petit vaudeville un brin désenchanté sur fond de nostalgie, de psy, de questionnement sur "le sens de la vie", de cinéma qui ressemble à la vie, de Bergman, bien sûr, et de notes jazzy, bien entendu.
CNews
par Chloé Ronchin
Dans ce vaudeville élégant et mélancolique, Woody Allen, nostalgique, rend hommage au cinéma européen, et aux grands maîtres qui l’ont inspiré. Néanmoins, ce long-métrage aux allures testamentaires, ponctués de scènes en noir et blanc, n’offre aucune surprise.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjear
Libéré de tutelles écrasantes, réconcilié avec ses propres limites, Mort Rifkin semble plus léger. C’est cet allègement-là qui fait – encore – la valeur des films d’Allen.
Franceinfo Culture
par La rédaction
A 86 ans, l'auteur d'Annie Hall et Manhattan ne sort pas des sentiers battus. Les réparties sont parfois savoureuses, mais les situations quelque peu éculées, dans une comédie en forme d'hommage au cinéma d'auteur européen du XXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Certes, ce n’est pas le Woody Allen grand cru d’« Un jour de pluie à New York », et les mésaventures de ce critique de cinéma déprimé (...) sont bien minces. Mais le plaisir des bonnes répliques et des références (le jeu d’échecs avec la Mort) est bien là.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Pétillant, dès l’ouverture avec la traditionnelle séance chez le psy, puis caustique devant les travers du cinéma d’auteur qui se parfume aux grandes déclarations, le 49e film de Woody Allen s’enlise peu à peu dans une trame filandreuse, des dialogues sans épaisseur, des situations convenues.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par S.J.
C’est absolument sans surprise, mais ce 49e film en pilotage automatique vaut pour quelques punchlines savoureuses et l’hommage que rend Allen à ses maîtres Bergman, Welles ou Godard à travers une dizaine de scènes pastiches.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
Marivaudage cousu de fil blanc, le cinquantième film de Woody Allen (et possible dernier baroud d’honneur de son auteur ?) vaut surtout comme farandole nostalgique en guise d’hommage à un cinéma défunt : le sien et celui de ceux qu’il admire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Allen réalise l’un de ces petits films dont il a parfois le secret et qui n’ont rien de génial, mais qui nous font quand même bien rire, parce qu’Allen n’a rien perdu de sa vis comica.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Un marivaudage existentiel à la fois anachronique et folklorique.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
S’il ne s’inscrit pas parmi les œuvres majeures de Woody Allen, ce Rifkin’s Festival déploie néanmoins une malice hautement séduisante, notamment dans sa peinture piquante du microcosme du cinéma, mais surtout dans ces savoureuses vignettes hommages au 7e art, auquel le cinéaste new-yorkais a consacré sa vie.
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Rifkin's Festival relève autant du film-testament que de l'aveu d'échec d'un cinéaste à bout de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L'hommage n'est jamais loin de la parodie et aussi de l'ennui : l'idée est jolie, de faire des rêves de cinéma, mais il manque à tout cela un joyeux panache.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
(...) l'idée est jolie, de faire des rêves de cinéma, mais il manque à tout cela un joyeux panache.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Rifkin’s Festival, heureusement plus modeste, profite du déplacement pour poursuivre sa radiographie du couple intello, une étude à laquelle Allen s’est souvent prêté. D’où le côté gentiment routinier du film, qui promène sa comédie douce-amère en des zones peu turbulentes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Frédéric Foubert
Le marivaudage qui s’ensuit est plutôt quelconque, sans grâce, entrecoupé de séquences lourdaudes où les personnages rejouent des classiques du cinéma. Cette impression de pilotage automatique n’empêche pas Rifkin’s Festival d’être régulièrement dynamité par des saillies teigneuses, vachardes, parfois marrantes, souvent amères, sur le petit monde du septième art.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Hommages qui ne jouent, hélas, pas en la faveur du réalisateur américain puisqu’on mesure encore plus l’écart entre son très modeste film et les modèles justement révérés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si la trempe irrésistible de Woody Allen est perceptible dès la première séquence, cette énième variation des errements amoureux et psychanalytiques du cinéma manque cruellement d’imagination et de rythme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Lelo Jimmy Batista
C’est effectivement à un festival qu’on assiste. De plans mous, de tirades qui se vautrent au sol, d’acteurs qui grimacent, ribouldinguent, se frottent les mains, se les tapent sur le front, disent n’importe quoi [...], de situations vaudevillesques qui auraient embarrassé Georges Beller lui-même, et de psychologie à la mie de pain étalée sur une demi-douzaine de scènes de rêve [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Une comédie savoureuse.
Bande à part
Woody s’amuse de toute évidence avec autant de nostalgie romantique que d’humour décapant à l’égard de ses thèmes de prédilection et surtout de sa cinéphilie éternellement dévorante.
Culturopoing.com
La psychanalyse s'applique autant au double de personnage qu'au cinéaste convoquant ses maîtres (...) "Rifkin's Festival" est aussi drôle que mélancolique. La parole y est encore au cœur du récit, la mise en scène pleine du plaisir de l'emprunt, de l'invention, se jouant des codes filmiques pour les subvertir.
Le Figaro
Un crépuscule solaire, grâce à la lumière de fin de l’été sublimée par Vittorio Storaro, grand directeur de la photographie (Coppola, Bertolucci, et les derniers Allen). Drôle, nostalgique et jazzy.
Le Parisien
Avec sa voix off, ses notes de jazz et son héros hypocondriaque et pétri de doutes existentiels, « Rifkin’s Festival » est une comédie typiquement allenienne, drôle et enlevée.
Les Echos
Même si cette nouvelle fiction n'atteint pas le niveau des plus grands opus de son auteur, son humour joyeusement mélancolique, ses dialogues vachards et ses réjouissantes trouvailles suffiront à réjouir les amateurs.
Ouest France
Avec cette comédie sentimentale en forme de chassé-croisé, Allen met en abîme son amour du cinéma, entre rêve et réalité, avec un esprit toujours alerte.
Positif
Rifkin’s Festival sonne comme un retour aux sources : en suivant les fantasmes cinéphiles d’un personnage qui trouve dans les films de Fellini ou de Buñuel des échos au cours et au sens de sa vie, Allen propose une fantaisie douce-amère qui n’est pas sans évoquer ses œuvres de jeunesse.
Voici
Un petit vaudeville un brin désenchanté sur fond de nostalgie, de psy, de questionnement sur "le sens de la vie", de cinéma qui ressemble à la vie, de Bergman, bien sûr, et de notes jazzy, bien entendu.
CNews
Dans ce vaudeville élégant et mélancolique, Woody Allen, nostalgique, rend hommage au cinéma européen, et aux grands maîtres qui l’ont inspiré. Néanmoins, ce long-métrage aux allures testamentaires, ponctués de scènes en noir et blanc, n’offre aucune surprise.
Cahiers du Cinéma
Libéré de tutelles écrasantes, réconcilié avec ses propres limites, Mort Rifkin semble plus léger. C’est cet allègement-là qui fait – encore – la valeur des films d’Allen.
Franceinfo Culture
A 86 ans, l'auteur d'Annie Hall et Manhattan ne sort pas des sentiers battus. Les réparties sont parfois savoureuses, mais les situations quelque peu éculées, dans une comédie en forme d'hommage au cinéma d'auteur européen du XXe siècle.
L'Obs
Certes, ce n’est pas le Woody Allen grand cru d’« Un jour de pluie à New York », et les mésaventures de ce critique de cinéma déprimé (...) sont bien minces. Mais le plaisir des bonnes répliques et des références (le jeu d’échecs avec la Mort) est bien là.
La Croix
Pétillant, dès l’ouverture avec la traditionnelle séance chez le psy, puis caustique devant les travers du cinéma d’auteur qui se parfume aux grandes déclarations, le 49e film de Woody Allen s’enlise peu à peu dans une trame filandreuse, des dialogues sans épaisseur, des situations convenues.
Le Journal du Dimanche
C’est absolument sans surprise, mais ce 49e film en pilotage automatique vaut pour quelques punchlines savoureuses et l’hommage que rend Allen à ses maîtres Bergman, Welles ou Godard à travers une dizaine de scènes pastiches.
Les Fiches du Cinéma
Marivaudage cousu de fil blanc, le cinquantième film de Woody Allen (et possible dernier baroud d’honneur de son auteur ?) vaut surtout comme farandole nostalgique en guise d’hommage à un cinéma défunt : le sien et celui de ceux qu’il admire.
Les Inrockuptibles
Allen réalise l’un de ces petits films dont il a parfois le secret et qui n’ont rien de génial, mais qui nous font quand même bien rire, parce qu’Allen n’a rien perdu de sa vis comica.
Paris Match
Un marivaudage existentiel à la fois anachronique et folklorique.
Télé 7 Jours
S’il ne s’inscrit pas parmi les œuvres majeures de Woody Allen, ce Rifkin’s Festival déploie néanmoins une malice hautement séduisante, notamment dans sa peinture piquante du microcosme du cinéma, mais surtout dans ces savoureuses vignettes hommages au 7e art, auquel le cinéaste new-yorkais a consacré sa vie.
Critikat.com
Rifkin's Festival relève autant du film-testament que de l'aveu d'échec d'un cinéaste à bout de souffle.
Dernières Nouvelles d'Alsace
L'hommage n'est jamais loin de la parodie et aussi de l'ennui : l'idée est jolie, de faire des rêves de cinéma, mais il manque à tout cela un joyeux panache.
Le Dauphiné Libéré
(...) l'idée est jolie, de faire des rêves de cinéma, mais il manque à tout cela un joyeux panache.
Le Monde
Rifkin’s Festival, heureusement plus modeste, profite du déplacement pour poursuivre sa radiographie du couple intello, une étude à laquelle Allen s’est souvent prêté. D’où le côté gentiment routinier du film, qui promène sa comédie douce-amère en des zones peu turbulentes.
Première
Le marivaudage qui s’ensuit est plutôt quelconque, sans grâce, entrecoupé de séquences lourdaudes où les personnages rejouent des classiques du cinéma. Cette impression de pilotage automatique n’empêche pas Rifkin’s Festival d’être régulièrement dynamité par des saillies teigneuses, vachardes, parfois marrantes, souvent amères, sur le petit monde du septième art.
Télérama
Hommages qui ne jouent, hélas, pas en la faveur du réalisateur américain puisqu’on mesure encore plus l’écart entre son très modeste film et les modèles justement révérés.
aVoir-aLire.com
Si la trempe irrésistible de Woody Allen est perceptible dès la première séquence, cette énième variation des errements amoureux et psychanalytiques du cinéma manque cruellement d’imagination et de rythme.
Libération
C’est effectivement à un festival qu’on assiste. De plans mous, de tirades qui se vautrent au sol, d’acteurs qui grimacent, ribouldinguent, se frottent les mains, se les tapent sur le front, disent n’importe quoi [...], de situations vaudevillesques qui auraient embarrassé Georges Beller lui-même, et de psychologie à la mie de pain étalée sur une demi-douzaine de scènes de rêve [...].