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"Echo" est un film marqué par le souci d’une composition soignée. Toutefois, à la différence des saynètes satiriques et noires qui constituent "Nous, les vivants" ou "Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l’existence" du Suédois Roy Andersson, les scènes de Rúnarsson composent une suite lyrique qui réchauffe l’âme.
Des plans joliment composés réunissent de temps à autre plusieurs scènes en une seule image pour des juxtapositions édifiantes. En l’absence de trame narrative, la variété des situations sauve de l’ennui en changeant constamment le cadre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
En Islande, à la veille de Noël, Runar Runarsson met en scène des gens ordinaires dans des scènes finement ciselées, à la bizarrerie ironique ou inquiète, comme découpées dans la solitude.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Kaléidoscope de fragments de vie évoquant tour à tour le sort des plus démunis, le temps qui fout le camp ou l’ultramoderne solitude, le film de Rúnarsson brasse platement des évidences, d’où ressortent heureusement quelques belles scènes de cinéma.
D’abord circonspect devant le sens de ce collage, on se laisse emporter par la beauté de la photographie de Sophia Olsson et cette manière singulière de croquer la société islandaise en l’éparpillant tel un puzzle que chaque spectateur reconstruira à sa manière.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le réalisateur a voulu faire un film « où la réalité serait retranscrite et mise en scène ». La réalité sera toujours moins rébarbative que cet exercice de non-style.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L’idée – soufflée hors film par le réalisateur – serait que la société est en fait le personnage principal de ce film. Mais pourquoi pas ? On en accepte d’autant plus l’augure qu’on n’en avait, pour notre part, aucun autre.
Outre nous faire humer la dureté d’un climat (...), "Echo" n’est animé que par le désir d’exhiber la mesquinerie des êtres, aveugles, qui ne savent ni vivre ensemble ni se regarder, accrochés désespérément aux écrans de leurs téléphones, nouvelles et uniques fenêtres sur le monde.
Une sorte de patchwork de scènes de la vie quotidienne, pendant les fêtes de Noël islandaises. Si le projet cinématographique peut attiser une certaine curiosité, on en perçoit très vite les limites.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
Un inattendu conte de Noël philosophique qui rappelle que la vie n'est pas un cadeau.
Positif
"Echo" est un film marqué par le souci d’une composition soignée. Toutefois, à la différence des saynètes satiriques et noires qui constituent "Nous, les vivants" ou "Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l’existence" du Suédois Roy Andersson, les scènes de Rúnarsson composent une suite lyrique qui réchauffe l’âme.
Télérama
Cruauté, absurdité ou banalité des temps modernes, saisis comme sur le vif et livrés à notre contemplation fascinée.
La Croix
Des plans joliment composés réunissent de temps à autre plusieurs scènes en une seule image pour des juxtapositions édifiantes. En l’absence de trame narrative, la variété des situations sauve de l’ennui en changeant constamment le cadre.
Le Figaro
En Islande, à la veille de Noël, Runar Runarsson met en scène des gens ordinaires dans des scènes finement ciselées, à la bizarrerie ironique ou inquiète, comme découpées dans la solitude.
Le Journal du Dimanche
Un voyage gentiment décousu.
Les Fiches du Cinéma
Kaléidoscope de fragments de vie évoquant tour à tour le sort des plus démunis, le temps qui fout le camp ou l’ultramoderne solitude, le film de Rúnarsson brasse platement des évidences, d’où ressortent heureusement quelques belles scènes de cinéma.
Première
D’abord circonspect devant le sens de ce collage, on se laisse emporter par la beauté de la photographie de Sophia Olsson et cette manière singulière de croquer la société islandaise en l’éparpillant tel un puzzle que chaque spectateur reconstruira à sa manière.
L'Obs
Le réalisateur a voulu faire un film « où la réalité serait retranscrite et mise en scène ». La réalité sera toujours moins rébarbative que cet exercice de non-style.
Le Monde
L’idée – soufflée hors film par le réalisateur – serait que la société est en fait le personnage principal de ce film. Mais pourquoi pas ? On en accepte d’autant plus l’augure qu’on n’en avait, pour notre part, aucun autre.
Les Inrockuptibles
Outre nous faire humer la dureté d’un climat (...), "Echo" n’est animé que par le désir d’exhiber la mesquinerie des êtres, aveugles, qui ne savent ni vivre ensemble ni se regarder, accrochés désespérément aux écrans de leurs téléphones, nouvelles et uniques fenêtres sur le monde.
aVoir-aLire.com
Une sorte de patchwork de scènes de la vie quotidienne, pendant les fêtes de Noël islandaises. Si le projet cinématographique peut attiser une certaine curiosité, on en perçoit très vite les limites.