Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
A la fin de la projection, le spectateur se prend à rêver d’avoir un Little Joe dans son salon.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Simon Riaux
Fable de science-fiction parano, "Little Joe" rejoue les angoisses paranoïaques de "L'Invasion des profanateurs de sépulture" et des "Femmes de Stepford", pour leur apporter un traitement de choc inattendu et sardonique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
L'élégance des couleurs, les décors épurés, la bande-son originale rappellent des séries culte anglaises de la grande époque. Très stylé.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Sans jamais vraiment se prendre au sérieux, faisant preuve d’une belle invention visuelle, et habité d’une musique expérimentale tout en référence au Kabuki japonais, "Little Joe" dégage un climat anxiogène respectueux de la veine paranoïaque de la science-fiction.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michèle Levieux
Little Joe pose la vraie question du bonheur à l’aide d’images libres. Et si le fait que les êtres qui nous sont proches changent de comportement ne venait-il pas simplement du fait que nous ne les connaissons pas aussi bien que nous le croyons ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Jessica Hausner mêle avec brio la série B et l’exercice de style.
Libération
par Olivier Lamm
[...] la magnificence formelle des cadres, des couleurs et des sons brouille les pistes des intentions là où l’on s’attendrait à ce qu’elle les surligne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Baptiste Roux
La beauté initiale de la séquence initiale [... ], l'épure des décors, l'aspect clinique des intérieurs et la parcimonie des échanges ne sont pas sans rappeler le Lynch de "Lost Highway" [...].
CNews
par La rédaction
Un ovni cinématographique aux plans d’une pureté incroyable et à la mise en scène très lente [...].
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Film bancal et à bien des égards inabouti, "Little Joe" a pourtant un pouvoir de séduction durable donnant envie de le défendre, au-delà de ses limites avérées.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Ecran Fantastique
par Ava Cahen
Effrayant.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le film, exercice envoûtant et alambiqué à la mise en scène froide et stylisée, ne tient pas toutes ses promesses (surtout à l’heure de l’excellente série Black Mirror) mais intrigue le spectateur.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une fable sur le danger des manipulations génétiques, qui n’exploite pas jusqu’au bout le sujet, préférant s’en tenir au suspense du thriller.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Le propos du film [est] moins centré sur la cruauté des situations ou des personnages (à la manière d’un Haneke dont Hausner a été la scripte, et auquel on a comparé son cinéma) que sur une histoire de spoliation. De confiscation et de retournement d’un outil de bonheur même illusoire et source d’émancipation, pour son héroïne, en arme de contrôle masculine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Collaboratrice de Michael Haneke, Jessica Hausner signe une mise en scène au scalpel qui plonge le spectateur dans une ambiance incertaine, aidée par la magnifique photographie de Martin Gschlacht et la musique expérimentale du Japonais Teiji Ito.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
Du cinéma un peu formaliste, moins inspiré sans doute qu’Amour fou (le film précédent de la réalisatrice autrichienne, satire mordante du romantisme allemand), mais où l’héroïne (Emily Beecham) ne cesse pourtant de nous fasciner.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A.V.
Un thriller très psy dans une atmosphère clinique très réussie, qui distille un malaise paranoïaque croissant.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Little Joe est, au-delà des apparences, un film anxiogène et plutôt bien écrit. Pour autant, le prix Cannois de l’interprétation féminine paraît un peu excessif.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
En travaillant l’étrangeté et le cinéma de genre, Jessica Hausner vise la sophistication extrême. Un soin à tous les éléments de la mise en images et en sons, qui enferme rapidement le film dans un glacis sans âme.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Renan Cros
Little Joe souffre d’un syndrome bien trop commun aujourd’hui : le film de genre façon film d’auteur. Soit une façon de prendre le genre – ici le film d’invasion, le film de zombie, le film parano – pour le dévitaliser et n’en garder qu’un squelette théorique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Josué Morel
Sujet parfait pour Hausner qui, inexplicablement, livre un film pourtant beaucoup plus carré et explicatif qu’à l’accoutumée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La réalisatrice autrichienne flirte avec le cinéma de genre, entre horreur et fantastique, mais sans jamais pousser ses fleurs hors du jardin de l’inquiétante étrangeté, misant tout sur un esthétisme glacé et une atmosphère sonore, au risque de figer son propos même.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
La Croix
par Céline Rouden
Au trouble dérangeant qui s’installe sur la vraie nature de cette femme, obsédée par son travail, s’ajoute une mise en scène à la froideur clinique dans laquelle on retrouve sans conteste l’influence du réalisateur Michael Haneke dont Jessica Hausner a été l’élève et l’assistante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On est séduit par l’atmosphère paranoïaque. Dommage que le suspense soit plombé par le rythme lent.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Cette histoire de plante qui rend heureux, mais pourrait bien être dangereuse, reste difficile à comprendre.
Première
par Thierry Chèze
Mais il en résulte un petit film auteurisant et lent, qui ne raconte pas grand-chose, qui ne bouge pas vraiment (on ne voit pas trop non plus ce qui a poussé le jury de Cannes 2019 à donner son prix d’interprétation à Emily Beecham, d’ailleurs).
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
La vanité formelle du film ne peut faire oublier que, sur ce sujet-là, on a déjà vu mille séries B plus excitantes.
L'Obs
par François Forestier
La phytobarbante s’aperçoit qu’en fait le dahlia (ou l’hortensia) est vachement toxique. Alerte rouge ! Les fleurs nous attaquent ! La génétique nous menace (les Chinois, les cafards et la vérole aussi). Que faire ? Ben, pas acheter de fleurs, tiens.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Pour son premier film en anglais, l’Autrichienne Jessica Hausner n’a peur de rien, surtout pas d’ennuyer avec un film froid et prétentieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Une fable de science-fiction qui passe totalement à côté de son sujet, malgré son ambition et son casting.
Mad Movies
par Fausto Fasulo
Petite chose crispante, tout en sophistication agressive et mathématisme toc [...].
Sud Ouest
par Sophie Avon
La réalisatrice autrichienne Jessica Hausner imagine une fable sur le bonheur qui malheureusement ne dépasse pas sa trame et s’en tient à une succession de situations jolies et glaciales, comme un tableau stylisé de ce qui pourrait attendre une humanité démiurge.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
20 Minutes
A la fin de la projection, le spectateur se prend à rêver d’avoir un Little Joe dans son salon.
Ecran Large
Fable de science-fiction parano, "Little Joe" rejoue les angoisses paranoïaques de "L'Invasion des profanateurs de sépulture" et des "Femmes de Stepford", pour leur apporter un traitement de choc inattendu et sardonique.
Femme Actuelle
L'élégance des couleurs, les décors épurés, la bande-son originale rappellent des séries culte anglaises de la grande époque. Très stylé.
Franceinfo Culture
Sans jamais vraiment se prendre au sérieux, faisant preuve d’une belle invention visuelle, et habité d’une musique expérimentale tout en référence au Kabuki japonais, "Little Joe" dégage un climat anxiogène respectueux de la veine paranoïaque de la science-fiction.
L'Humanité
Little Joe pose la vraie question du bonheur à l’aide d’images libres. Et si le fait que les êtres qui nous sont proches changent de comportement ne venait-il pas simplement du fait que nous ne les connaissons pas aussi bien que nous le croyons ?
Le Monde
Jessica Hausner mêle avec brio la série B et l’exercice de style.
Libération
[...] la magnificence formelle des cadres, des couleurs et des sons brouille les pistes des intentions là où l’on s’attendrait à ce qu’elle les surligne.
Positif
La beauté initiale de la séquence initiale [... ], l'épure des décors, l'aspect clinique des intérieurs et la parcimonie des échanges ne sont pas sans rappeler le Lynch de "Lost Highway" [...].
CNews
Un ovni cinématographique aux plans d’une pureté incroyable et à la mise en scène très lente [...].
Culturopoing.com
Film bancal et à bien des égards inabouti, "Little Joe" a pourtant un pouvoir de séduction durable donnant envie de le défendre, au-delà de ses limites avérées.
L'Ecran Fantastique
Effrayant.
La Voix du Nord
Le film, exercice envoûtant et alambiqué à la mise en scène froide et stylisée, ne tient pas toutes ses promesses (surtout à l’heure de l’excellente série Black Mirror) mais intrigue le spectateur.
Le Dauphiné Libéré
Une fable sur le danger des manipulations génétiques, qui n’exploite pas jusqu’au bout le sujet, préférant s’en tenir au suspense du thriller.
Les Inrockuptibles
Le propos du film [est] moins centré sur la cruauté des situations ou des personnages (à la manière d’un Haneke dont Hausner a été la scripte, et auquel on a comparé son cinéma) que sur une histoire de spoliation. De confiscation et de retournement d’un outil de bonheur même illusoire et source d’émancipation, pour son héroïne, en arme de contrôle masculine.
Paris Match
Collaboratrice de Michael Haneke, Jessica Hausner signe une mise en scène au scalpel qui plonge le spectateur dans une ambiance incertaine, aidée par la magnifique photographie de Martin Gschlacht et la musique expérimentale du Japonais Teiji Ito.
Télérama
Du cinéma un peu formaliste, moins inspiré sans doute qu’Amour fou (le film précédent de la réalisatrice autrichienne, satire mordante du romantisme allemand), mais où l’héroïne (Emily Beecham) ne cesse pourtant de nous fasciner.
Voici
Un thriller très psy dans une atmosphère clinique très réussie, qui distille un malaise paranoïaque croissant.
aVoir-aLire.com
Little Joe est, au-delà des apparences, un film anxiogène et plutôt bien écrit. Pour autant, le prix Cannois de l’interprétation féminine paraît un peu excessif.
Bande à part
En travaillant l’étrangeté et le cinéma de genre, Jessica Hausner vise la sophistication extrême. Un soin à tous les éléments de la mise en images et en sons, qui enferme rapidement le film dans un glacis sans âme.
CinemaTeaser
Little Joe souffre d’un syndrome bien trop commun aujourd’hui : le film de genre façon film d’auteur. Soit une façon de prendre le genre – ici le film d’invasion, le film de zombie, le film parano – pour le dévitaliser et n’en garder qu’un squelette théorique.
Critikat.com
Sujet parfait pour Hausner qui, inexplicablement, livre un film pourtant beaucoup plus carré et explicatif qu’à l’accoutumée.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La réalisatrice autrichienne flirte avec le cinéma de genre, entre horreur et fantastique, mais sans jamais pousser ses fleurs hors du jardin de l’inquiétante étrangeté, misant tout sur un esthétisme glacé et une atmosphère sonore, au risque de figer son propos même.
La Croix
Au trouble dérangeant qui s’installe sur la vraie nature de cette femme, obsédée par son travail, s’ajoute une mise en scène à la froideur clinique dans laquelle on retrouve sans conteste l’influence du réalisateur Michael Haneke dont Jessica Hausner a été l’élève et l’assistante.
Le Journal du Dimanche
On est séduit par l’atmosphère paranoïaque. Dommage que le suspense soit plombé par le rythme lent.
Ouest France
Cette histoire de plante qui rend heureux, mais pourrait bien être dangereuse, reste difficile à comprendre.
Première
Mais il en résulte un petit film auteurisant et lent, qui ne raconte pas grand-chose, qui ne bouge pas vraiment (on ne voit pas trop non plus ce qui a poussé le jury de Cannes 2019 à donner son prix d’interprétation à Emily Beecham, d’ailleurs).
Cahiers du Cinéma
La vanité formelle du film ne peut faire oublier que, sur ce sujet-là, on a déjà vu mille séries B plus excitantes.
L'Obs
La phytobarbante s’aperçoit qu’en fait le dahlia (ou l’hortensia) est vachement toxique. Alerte rouge ! Les fleurs nous attaquent ! La génétique nous menace (les Chinois, les cafards et la vérole aussi). Que faire ? Ben, pas acheter de fleurs, tiens.
Le Figaro
Pour son premier film en anglais, l’Autrichienne Jessica Hausner n’a peur de rien, surtout pas d’ennuyer avec un film froid et prétentieux.
Les Fiches du Cinéma
Une fable de science-fiction qui passe totalement à côté de son sujet, malgré son ambition et son casting.
Mad Movies
Petite chose crispante, tout en sophistication agressive et mathématisme toc [...].
Sud Ouest
La réalisatrice autrichienne Jessica Hausner imagine une fable sur le bonheur qui malheureusement ne dépasse pas sa trame et s’en tient à une succession de situations jolies et glaciales, comme un tableau stylisé de ce qui pourrait attendre une humanité démiurge.