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    Ondine
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    kingbee49
    kingbee49

    38 abonnés 606 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2022
    Un écrin romanesque, lyrique et volontiers fantastique pour cette histoire d'obsession amoureuse. Le geste est poétique, épuré mais un peu froid, presque désincarné. Peut-être aurait -il fallu plus de passion pour qu'on y croit davantage...
    Ceci dit, les acteurs sont au diapason, avec, en premier lieu une Paula Beer troublante et habitée dont le regard ne vous quitte pas. Et il est incontestable que Christian Petzold maîtrise vraiment bien son cinéma et que chacun de ses films affirme un peu plus un univers entre réalité et fantasme.
    Roger D
    Roger D

    79 abonnés 881 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 novembre 2021
    "Ondine", Ondine est une jeune femme qui tente de trouver l'amour et quand elle le trouve forcement il part et elle veut le tuer mais elle rencontre Christoph.
    Bon bon bon en vost ben autant en anglais je gère mais en allemand cela fait bizarre...après eu peur quand je vois le logo "Arte"...et ben piou...beau avoir l'ours d'argent au festival de Berlin faut se le manger.
    Elle se fait quitter ok et? Elle fait des conférences sur l'urbanisme qu'on se tape 5-10mn à chaque fois et? Elle retrouve l'amour et? Rien...a si un peu de mouvement quand elle croise son ex avec sa nouvelle copine et il y a quelques complications qui surviennent et forcement bim son nouveau a un accident grave...dans le coma mode légume et elle ben retourne tuer son ex et se suicide et là son mec se réveil du coma comme par hazard...piou piou j'ai du raté quelque choses dans cette oeuvre...surement poétique mais bon pas été super sensible sur ce coup.
    NOTE : 2/10 (pour ses beaux yeux)
    Chatcaliban
    Chatcaliban

    32 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2020
    Ondine met un temps fou à décoller sans assumer un parti pris fantastique qu'il aurait été intéressant de pousser plus loin. Cette œuvre rejoint plusieurs films allemands joués par de jeunes acteurs pas très bons et surjouant parfois même. On a affaire là à une sorte de téléfilm à la symbolique forcée à l'image du silure qui vient visiter le film sans rien lui apporter.
    BERNARD GOLDBERG
    BERNARD GOLDBERG

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2020
    Très beau film, une histoire d'amour incroyable, à la limite du fantastique jouée par de très beaux acteurs. Visible par tous au premier ou au deuxième degré. Ce film m'a redonné de la force pour rentrer à nouveau dans une salle de cinéma.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    354 abonnés 1 790 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 octobre 2020
    J’ai trouvé ce drame très mauvais. Je n’ai strictement rien ressenti durant tout le film. C’était une sensation désagréable de regarder une œuvre ennuyante au possible, en attendant que ça se finisse pour voir si enfin il allait se passer quelque chose. Malheureusement, à aucun moment ça ne se débloque. On sent des tentatives de Christian Petzold de nous offrir des passages poétiques. Il joue avec le milieu aquatique pour nous donner sa vision du personnage mythologique d’Ondine. Une transposition dans le monde réel moderne qui en soi est une bonne idée, mais ça ne fonctionne pas. C’est beaucoup trop fade. Cela manque fortement d’intérêt. L’actrice Paula Beer fait une très belle prestation, je dois le reconnaitre. Ce n’est pas pour rien qu’elle a obtenu l’Ours d'Argent de la Meilleure actrice à la Berlinale 2020. Cependant, son personnage manque d’énergie. On aborde les thèmes de l’amour à un point qu’il devient une passion destructrice, mais ça ne ressort pas. Le niveau émotionnel reste plat. J’en attendais largement plus pour vibrer. Pour ne rien arranger, le personnage de Christoph est endormant au possible. Il est totalement vide. L’interprétation de Franz Rogowski se réduit au strict minimum. En fait le seul passage relativement sympa est quand Paula Beer nous fait une explication historique sur Berlin. Le reste, je m’en serai volontiers passé.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 janvier 2021
    Ondine est un film allemand de 2020 donc un film encore assez récent. Le réalisateur est Christian Petzold, qui est certainement l'un des cinéastes allemands qui a le plus de succès ces temps-ci et ce depuis un certain temps. Quoi qu'il en soit comme toujours avec ses œuvres il est aussi l'écrivain et son film dure ici exactement une heure et demie ce qui n'est pas trop long mais pas du tout inhabituel pour Petzold. Ce n'est pas un cinéaste connu pour ses super longs métrages. Une inclusion et une référence majeures ici est la mythologie peut-être la composante majeure. Ce n'est pas une coïncidence si le personnage central s'appelle Ondine. Par conséquent vous verrez constamment des références à l'eau dans ce film, certaines vraiment évidentes d'autres moins subtiles. Les plus évidentes sont le métier du protagoniste masculin par exemple ou encore la scène étonnamment violente dans la piscine à la fin. Les idées les moins subtiles que je n'inclurai pas ici vous pouvez les vérifier par vous-même. Il y a probablement aussi beaucoup de choses que je n'ai pas reconnues immédiatement. On ne peut jamais vraiment savoir si Ondine dans ce film est un humain normal ou une créature ancienne. Mais en même temps elle parle de manière apparemment sérieuse de la mort de son ex-petit ami parce que c'est l'histoire en même temps qu'elle se promène dans l'eau et qu'on ne la revoit plus jamais quand elle sort de l'eau d'une situation qui aurait pu facilement être mortelle pour elle et qu'elle est complètement indemne. Malheureusement je dois dire que je ne connais que très vaguement le personnage mythologique d'Ondine et j'ai pensé que si nous en savions plus sur elle il serait peut-être plus facile d'apprécier ce film. Après une demi-heure de visionnage de ce film j'ai réalisé que je faisais une grave erreur mais il était déjà trop tard pour chercher autre chose à regarder. J'ai donc continué à le regarder jusqu'à la fin...
    selenie
    selenie

    6 241 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2021
    Après des premières minutes qui entrent dans le vif du sujet, d'une efficacité redoutable où les bases du récit sont posés en quelques minutes on est soudain stoppé, comme un interlude sorti de son contexte où comment une scène de conférence est tirée en longueur pour tenir les 90mn habituelles et minimum d'un long métrage. Certe, on comprend la métaphore entre le mythe de Ondine avec la ville Berlin mais elle est un peu tirée par les cheveux, pas très convaincant, pour ne pas dire tout simplement hors sujet. On perçoit également le parallèle entre passé et modernité, symbolisé par le lac, qui n'est pas un beau lac champêtre mais un lac de barrage industriel. Un choix compréhensif mais qui retire toute magie et/ou romanesque, ce qui est problématique quand on aborde un mythe. Dommage.
    Site : Selenie
    Hotinhere
    Hotinhere

    551 abonnés 4 958 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 avril 2021
    Une fable sentimentale étrange et intrigante, ancrée dans la mythologie germanique et le contemporain, illuminée par la troublante Paula Beer.
    Guillaume
    Guillaume

    112 abonnés 1 579 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2021
    Portée par l'hypnotique Paula Beer, sublimée par une réalisation aux confins du mystique, laissons nous porter dans cette histoire brassant passion amoureuse et véracité de notre finitude. Et oublions les quelques instants de flottement d'une écriture complexe. 
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 janvier 2021
    Christian Petzold reste avanttout un cinéaste très intimiste, attaché au cinéma d'auteur et son incursion dans le fantastique avec cette version moderne de "Ondine" reste avant tout un drame psychologique lent et très écrit. Mais la qualité de ses interprètes, notamment Paula Beer impresionnante de bout en bout zt la justesse de ton fait qu'on se laisse porter par ce film qui, certes prend le temps d'installer son intrigue mais ne nous inflige pas de scènes longues et inutiles.
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2020
    Les intentions de Christian Petzold sont limpides, il ne cache rien. En revanche, la pureté de sa réinterprétation de la célèbre légende du folklore germanique a de quoi laisser sceptique, dès lors qu’il dévoile les limites de son récit avec un peu trop d’aisance. Il n’empêche que dans le fond, les sentiments existent et sont mis à profit chez le spectateur. Il nous est alors permis de douter et de se laisser bouleverser par la beauté du cadre, par la mélodie de l’eau. C’est pourquoi le portrait des personnages devient un enjeu de mise en scène incontestable dans cette fable romantique et cruelle. Cette relecture assume ainsi son message jusqu’au bout, chose qui pouvait déjà décevoir dans les eaux salées de Neil Jordan (2009).

    En s’attardant sur le verre à moitié plein, la sérénité pèse dans le rythme. Il s’agit d’un calme froid et mystérieux, à l’image d’Ondine (Paula Beer) torturée entre deux eaux, entre deux amours. Sans pour autant être incollable sur le mythe de la nymphe aquatique, il faudra rapidement saisir tout le dilemme moral de cette entité, qui par définition se nourrir d’amour pour subsister. Ce n’est qu’à la rencontre et la relation fusionnelle avec Christoph (Franz Rogowski) que l’on identifie mieux l’entendu de cette emprise enchantée et désenchantée. Et comme dans la plupart des contes, les destinées s’accomplissent et les malédictions deviennent des lignes de conduite à tenir. Dans ce sens, le parcours mélancolique de l’héroïne manque parfois d’intensité, notamment lorsqu’il s’agit de marier la curiosité fantastique et poétique. Ce qui est ironique pour certaines scènes qui sonneront comme anecdotiques et ce, malgré une narration poignante et engagée.

    Pourtant, les pistes sont nombreuses à se manifester. Ondine est une femme qui cherche encore à s’émanciper de son univers aquatique, mais cette fois-ci, c’est bien à ciel ouvert et dans ses larmes qu’elle se noie. La conférencière freelance sur le patrimoine de sa cité témoigne d’un esprit de reconstruction, basé sur l’héritage de l’Allemagne et le Berlin d’hier. Elle symbolise ce fragment de vie qui alimente les mythes et son identité, à travers des regards qui ne peuvent s’empêcher de se tourner vers la nostalgie ou bien le remords. Cette leçon réapparaît plusieurs fois, avec un séquençage qui subit une nette évolution, mais qui impose par-dessus tout une réflexion sur un amour impossible. Le cadre de Berlin s’accommode même davantage au sujet, dès lors que l’on prend en considération son histoire et ses cicatrices, qui s’effacent de plus en plus.

    Le réalisateur allemand nous fait alors don de sa clairvoyance pour mener à bien son récit et ses enjeux, affublés de tensions sous-marines, tantôt étouffantes, tantôt hargneuses. Ce qui pourrait nous surprendre dans la compréhension de sa « Ondine » (Undine) s’assimile plus à de l’accessibilité au grand public, mais le film réussit tout de même à gagner de la subtilité au fur et à mesure où l’on accepte la chute de nos héros. La modernité de la légende séduit donc par bien des aspects, mais ce qu’il faudra retenir, ce n’est pas son souffle, mais bien la structure qui lie le mysticisme et l’émotion, quelque chose d’audacieux et souvent non miscibles.
    Loïck G.
    Loïck G.

    336 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2021
    Le mythe d’Ondine très présent dans la culture germanique revient au cinéma avec un réalisateur allemand très respectueux de ses origines. Même si la fantasmagorie plonge dans les eaux profondes du lac où la nymphe va et vient, le récit demeure toujours dans la tradition revisitée dans des élans fantastiques d’une poésie romanesque. C’est elle qui séduit tout autant que la belle Ondine abandonnée par Johannes qu’elle se promet de tuer. Le personnage campé par Paula Beer l’est admirablement bien, éternel dans son atypie, si fragile dans sa vérité de femme . Quand elle rencontre Christoph, un scaphandrier, comme celui récupéré dans l’aquarium qu’elle a brisé après la séparation, elle sait que la vie repart de plus belle. Mais tout en conservant précieusement son nouvel amant, il lui faut tuer le précédent. Un dénouement aussi dramatique que prophétique, la renaissance d’un homme et d’une mythologie jamais chahutée par un cinéaste respectueux de son Histoire. Franz Rogowski et Paula Beer forment ce couple déjà réuni par Petzold dans « Transit » . Il serait intéressant de développer cette nouvelle relation . Quelques similitudes dans les attentes et les intentions… L’Histoire du cinéma ne finit jamais
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Jonathan M
    Jonathan M

    131 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juin 2021
    Avant d'écrire cette brève critique, je me suis attardé sur celle faite sur Barbara, seul film du cinéaste que j'avais vu jusqu'alors. Quelques années ont passé, et étonnement le film en question m'avait laissé le souvenir d'un instant agréable sans pour autant recoller les morceaux de l'histoire dans mon cerveau. Rien de marquant oui, mais Nina Hoss m'avait irradié, si je me fie aux quelques lignes sur le sujet. Et bien curieusement, même impression avec Ondine. Paula Beer explose la pellicule par sa beauté naturelle et son sourire parfait. Son histoire d'amour pudique avec Franz Rogowski est plaisante. Le réalisateur allemand cherche, dans la seconde partie du film, à creuser son récit par une ellipse narrative volontaire pour noircir son tableau si tendre pourtant. Cette douce amertume qui fait le sel des mélo poignant, manque d'envergure pour nous meurtrir et devenir saillant. Qu'importe, c'était quand même agréable.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mars 2023
    Le film est déroutant si on ne connait pas le personnage d’Ondine, issue de légendes populaires des pays germaniques et revisitée par l’Autrichienne Ingeborg BACHMANN (1926-1973) dans sa nouvelle « Ondine s’en va » du recueil « La trentième année » (1961), elle-même inspirée du conte « Ondine » (1811) de l’Allemand Friedrich de la MOTTE- FOUQUÉ (1777-1843) où un génie féminin des eaux, Ondine, cherche à épouser un chevalier pour acquérir son âme dont elle est dépourvue. L’action se déroule à Berlin, de nos jours, autour d’Undine Wibeau (Paula BEER et qui a obtenu, pour ce rôle, à la Berlinale 2020, l’Ours d’Argent de la meilleure actrice), conférencière en histoire, dont le destin est de se venger des amants (l’un d’eux est Franz ROGOWSKI) qui l’ont quittée. C’est une tragédie un peu froide qui met de la distance avec le spectateur, d’où l’ennui (malgré une durée de 90 mn) qui peut s’en dégager [atténué par l’adagio du « Concerto pour clavecin en ré mineur, BWV 974 » de Jean-Sébastien Bach et qui est la transcription du « Concerto pour hautbois et cordes en ré mineur » (1708) d’Alessandro Marcello (1673-1747].
    mat niro
    mat niro

    354 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2021
    Le début du film est assez ennuyeux : on peut y voir Ondine, larguée par son ami, donner à des touristes d'interminables détails et précisions sur l'histoire de la ville de Berlin. Puis la rencontre avec Christoph (Franz Rogowski) donne à cette oeuvre un élan nouveau où Paula Beer (Ondine) rayonne par son jeu d'actrice et sa beauté. Le cinéma allemand ne se distingue que trop peu dans des films de genre entre poésie et fantastique. "Ondine" flirte parfois avec la grâce et son réalisateur Cristian Petzold revisite à sa manière ce mythe germanique.
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