Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Le Figaro
par Eric Neuhoff
C’est du rare, du costaud. On est là pour éprouver des sentiments plus grands que nature. L’ambition est palpable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Samuel Douhaire
Ces portraits de femmes blessées ne seraient pas aussi admirables sans les personnages secondaires que le réalisateur parvient à faire exister en quelques scènes inoubliables.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Hélène Robert
"Une grande fille" nous emmène malgré nous dans un territoire hostile et plein d’imprévus. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Après Tesnota, Kantemir Balagov confirme la singularité de son regard.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un film asphyxiant aux couleurs éclatantes.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film sidérant avance à tâtons au cœur de l’âme, toujours palpitante au milieu des ruines.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Cela ne va pas sans lenteur, et la route est longue, parfois même lassante. Mais une puissance dramatique tire le récit vers l’avant. Vers une fin, qui pourrait n’en être pas une.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Mais c’est parce qu’on est happé par leur terrible destin que ce film, si beau dans son esthétique du cadre et si cruel dans ses sentiments, prend aux tripes.
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Les deux actrices apportent tout leur charme et leur mystérieuse beauté slave à ce drame très russe.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Kantemir Balagov paraphe une partition cruelle et trouble entre celle qui voulait un enfant et celle qui n'en voulait pas. Brillant, tranchant, bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Anne Dastakian
Un road movie féministe empreint d'émotion et de douceur.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Yannick Vely
C'est beau, fort, d'une radicalité dans la mise en scène (récompensée dans la section Un Certain Regard du dernier Festival de Cannes) qui laissent souvent pantois d'admiration.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
Mais l'intelligence de [la] démarche [de Kantemir Balagov], son goût pour les personnages féminins transgressifs (quel directeur d'actrices !) et surtout l'inspiration formelle de son univers (avec un emploi toujours visionnaire de la couleur) font de ce film une expérience mémorable [...].
Voici
par Daniel Blois
Un drame tragique et romanesque, superbement interprété.
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
S’éloignant toujours plus de son élan initial pour se perdre en détours narratifs, le film fait pourtant mine de se clore par un retour à la confrontation primaire des corps : mais, désormais, les jeux sensibles de couleurs et de regards ne sont plus que surfaces symboliques à décoder.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cette grande fille étrange mérite donc le détour, en attendant le prochain film du cinéaste, qu’on souhaite plus contemporain.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Pendant un long moment Une grande fille ressemble à un fleuve au dégel, qui reprend son mouvement, mais libère aussi les vestiges de catastrophes passées, jusqu’ici prises dans les glaces.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Fatalisme, épuisement, habitude de voir les hommes, les femmes, les enfants, les proches tomber : c’est ce que décrit "Une grande fille", avec des excès de mise en scène, des lenteurs pesantes (parfois quinze secondes entre chaque réplique...), une accumulation de drames sans fin, mais avec efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Louise Dumas
Balagov entend ainsi dénoncer, comme dans "Tesnota", l'enfermement des femmes dans des cadres étriqués. Sauf que cette fois-ci, son film contribue à cette mise à l'étroit.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Second long-métrage pour Kantemir Balagov : un film de costumes au demeurant très classique. Peut-être un peu trop pour ceux qui regretteront son rythme monocorde. Et pourtant, le propos féministe sous-jacent que portent ses deux héroïnes en fait un film on-ne-peut-plus moderne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
En dépit de qualités certaines, Une grande fille aura fait du legs de ses aînés la feuille de route d’un chemin paradoxalement bien trop fléché.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Sylvestre Picard
Non, Une grande fille ne manque pas de caractère, mais sans doute de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
C’est du rare, du costaud. On est là pour éprouver des sentiments plus grands que nature. L’ambition est palpable.
Télérama
Ces portraits de femmes blessées ne seraient pas aussi admirables sans les personnages secondaires que le réalisateur parvient à faire exister en quelques scènes inoubliables.
Bande à part
"Une grande fille" nous emmène malgré nous dans un territoire hostile et plein d’imprévus. Une réussite.
CinemaTeaser
Après Tesnota, Kantemir Balagov confirme la singularité de son regard.
L'Obs
Un film asphyxiant aux couleurs éclatantes.
La Croix
Ce film sidérant avance à tâtons au cœur de l’âme, toujours palpitante au milieu des ruines.
Le Dauphiné Libéré
Cela ne va pas sans lenteur, et la route est longue, parfois même lassante. Mais une puissance dramatique tire le récit vers l’avant. Vers une fin, qui pourrait n’en être pas une.
Le Journal du Dimanche
Mais c’est parce qu’on est happé par leur terrible destin que ce film, si beau dans son esthétique du cadre et si cruel dans ses sentiments, prend aux tripes.
Le Point
Les deux actrices apportent tout leur charme et leur mystérieuse beauté slave à ce drame très russe.
Les Fiches du Cinéma
Kantemir Balagov paraphe une partition cruelle et trouble entre celle qui voulait un enfant et celle qui n'en voulait pas. Brillant, tranchant, bouleversant.
Marianne
Un road movie féministe empreint d'émotion et de douceur.
Paris Match
C'est beau, fort, d'une radicalité dans la mise en scène (récompensée dans la section Un Certain Regard du dernier Festival de Cannes) qui laissent souvent pantois d'admiration.
Positif
Mais l'intelligence de [la] démarche [de Kantemir Balagov], son goût pour les personnages féminins transgressifs (quel directeur d'actrices !) et surtout l'inspiration formelle de son univers (avec un emploi toujours visionnaire de la couleur) font de ce film une expérience mémorable [...].
Voici
Un drame tragique et romanesque, superbement interprété.
Cahiers du Cinéma
S’éloignant toujours plus de son élan initial pour se perdre en détours narratifs, le film fait pourtant mine de se clore par un retour à la confrontation primaire des corps : mais, désormais, les jeux sensibles de couleurs et de regards ne sont plus que surfaces symboliques à décoder.
L'Humanité
Cette grande fille étrange mérite donc le détour, en attendant le prochain film du cinéaste, qu’on souhaite plus contemporain.
Le Monde
Pendant un long moment Une grande fille ressemble à un fleuve au dégel, qui reprend son mouvement, mais libère aussi les vestiges de catastrophes passées, jusqu’ici prises dans les glaces.
Les Inrockuptibles
Fatalisme, épuisement, habitude de voir les hommes, les femmes, les enfants, les proches tomber : c’est ce que décrit "Une grande fille", avec des excès de mise en scène, des lenteurs pesantes (parfois quinze secondes entre chaque réplique...), une accumulation de drames sans fin, mais avec efficacité.
Transfuge
Balagov entend ainsi dénoncer, comme dans "Tesnota", l'enfermement des femmes dans des cadres étriqués. Sauf que cette fois-ci, son film contribue à cette mise à l'étroit.
aVoir-aLire.com
Second long-métrage pour Kantemir Balagov : un film de costumes au demeurant très classique. Peut-être un peu trop pour ceux qui regretteront son rythme monocorde. Et pourtant, le propos féministe sous-jacent que portent ses deux héroïnes en fait un film on-ne-peut-plus moderne.
Critikat.com
En dépit de qualités certaines, Une grande fille aura fait du legs de ses aînés la feuille de route d’un chemin paradoxalement bien trop fléché.
Première
Non, Une grande fille ne manque pas de caractère, mais sans doute de souffle.